Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Détails sur la torture et la mort du pratiquant de Falun Dafa M. Wang

    Wang a été détenu dans un hôtel pendant 11 jours, à partir du 19 juillet 1999. Il était allé à Beijing pour faire appel pour Dafa, mais le bureau d'appel de Beijing avait changé d'endroit pour faciliter l'arrestation des pratiquants de Falun Dafa. Après avoir été arrêté à la maison, M. Wang avait été brutaleme battu jusqu’à tomber par terre, battu à coups de pied, avec des bâtons en bois, électrocuté par des matraques électriques et fouetté avec des ceintures en cuir. Plusieurs officiers de police l’avaient piétiné avec leurs bottes, écrasant sa tête, ses mains et ses pieds contre le sol. Les morceaux sanglants de ses vêtements avaient été laissés sur le sol. Il s'était évanoui de douleur. La police avait versé de l'eau froide sur lui puis continué la torture. ..
  • Wang Weihe et sa famille sont brutalement battus par la police et envoyés dans un hôpital psychiatrique pour y être torturés

    L’hôpital psychiatrique administre aussi des traitements d’électrochocs pour torturer les pratiquants de Dafa, utilisation de ce traitement en complète opposition aux règles internationales. Dans cette torture, un pratiquant est attaché à un lit, et relié à un courant électrique qui commence doucement et augmente graduellement, amenant le corps entier à e convulser. Les convulsions sont tellement fortes que les organes internes des pratiquants sont violemment attaqués, et font que la victime hurle de douleur. En réponse, les tortionnaires rient tout simplement. Au lieu de guérir les gens, sous l’influence de Zhang Yuanfu et de Liu Zhuojin, un hôpital a été transformé en enfer pour les pratiquants du Falun Dafa. C’est un endroit ou les médecins deviennent des meurtriers violents et irresponsables.
  • Mort de mme Xiao Yali en résultat de la persécution au Centre de Détention de la Cité de Shuangcheng, son enfant reste orphelin

    La pratiquante de Dafa, mme Xiao Yali, 36 ans, vivait dans les environs de la Cité de Shuangcheng, dans la province de Heilongjiang. Mme Xiao fut arrêtée le 28 février 2004 et est morte en résultat de la persécution qui lui a été infligée au Centre de Détention de la Cité de Shuangcheng. Son enfant de six ans reste seul.
  • Crimes commis par les policiers Cai Jiang et Cai Qingzhu du Comté de Nongan, Province de Jilin

    Ces policiers ont kidnappé le couple et les ont emmenés au commissariat. Cai Jiang a traîné la femme de Wang à côté et l’a violemment battue jusqu’à lui casser le bras. Puis d’un coup de poing un policier a envoyé Wang Guojun à terre, Cai Qingzhu lui a piétiné le visage. En même temps plusieurs autres policiers se sont attroupés autour. En lui donnant des coups de pied et le frappant, ils l’ont interrogé à tour de rôle, « As-tu des contacts avec d’autres pratiquants ? » N’obtenant pas de réponses, ils ont brutalement battu Wang Guojun jusqu’à ce qu’il s’évanouisse. Craignant d’être responsable d’une mort, ils ont paniqué et se sont précipités pour appuyer sur le point d’acupuncture philtrum de Wang [un point sensible à la base du nez] pour le faire revenir à lui. Cela a pris un long moment pour que Wang reprenne conscience. Ils ont alors déclaré que Wang avait des problèmes mentaux et l’ont envoyé chez lui dans une voiture de police.
  • Les pratiquants sont forcés de porter de lourds fers au second centre de détention de la Ville de Pingxiang dans la Province de Jiangxi (Illustration)

    Le second centre de détention de la Ville de Pingxiang dans la Province de Jiangxi brave le règlement et contraint les détenus et les pratiquants de Dafa à faire du travail manuel chaque jour de 5h00 du matin à minuit, et même jusqu'à 1 ou 2 heures du matin. Si quelqu'un ne travaille pas, on lui met des fers qui pèsent 15 ou 30 Kg. Liu Yuan, un médecin connu pour sa cruauté, piétine aussi les fers avec ses pieds. Les fers appuient sur l'os, ce qui est extrêmement douloureux, mais les policiers hurlent simplement en riant. La police force également les pratiquants de Dafa à courir pendant qu'ils portent les fers. En hiver, ils forcent les pratiquantes à s'agenouiller pendant un long moment sur le sol recouvert de neige.
  • Les disciples de Dafa de la Ville de Huling de la Région de Yingchun dans la Province de Heilongjiang fournissent des preuves pour poursuivre Jiang; la police prend sa revanche

    Au printemps 2003, quand les pratiquants de Dafa de la Ville de Huling dans la Province de Heilongjiang ont appris que les pratiquants du Falun Gong intentaient une poursuite judiciaire contre Jiang Zemin à la Cour Internationale Criminelle, ils ont pris l'initiative de fournir quelques preuves supplémentaires. Dans la seule région de Yingchun, les pratiquants du Falun Gong ont préparé plus de 90 lettres avec des accusations spécifiques, mais ces lettres ont été interceptées par le « bureau 610. »(1)
  • Un pratiquant à Dalian, dans la province de Lioning est torturé jusqu’à la démence dans le Camp de Travail Forcé de Dandong

    Après un mois de « Cellule à Gestion Stricte », la police a relâché Wang Qiang, mais il avait déjà été torturé si sévèrement qu’il demeurait dans un état de démence. Alors qu’il était dans la « Cellule de Gestion Stricte », Wang Qiang a fait une grève de la faim, et ils l’ont gavé. L’officier de police Dai (surnom) également chef de l’hôpital du camp, a utilisé des tenailles pour faire tomber les dents de devant de Wang Qiang durant le gavage parce que Wang n’ouvrait pas sa bouche. Le sang a giclé partout et Wang Qiang a perdu conscience. La santé de Wang Qiang s’est régulièrement détériorée. En octobre 2000, après un examen médical dans un hôpital, Wang Qiang a été diagnostiqué comme ayant une « nécrose des tissus musculaires » et une « schizophrénie sévère. » En réalité, Wang Qiang s’était effondré mentalement en résultat de la torture qu’il avait endurée.
  • Quinze pratiquants subissent la persécution après la télédiffusion de la clarification de la vérité à la télévision dans la province de Gansu

    Au mois d’août de l’an 2002, les pratiquants ont réussi à télédiffuser deux clip vidéo au sujet du Falun Gong, "Témoins" et "Procès de l’Histoire", sur le câble de TV à Xining, Province de Qinghai et dans certaines régions de Lanzhou, Province de Gansu. La télédiffusion a duré une demi-heure. Par la suite, le groupe de Jiang a commencé des représailles frénétiques, arrêtant quinze pratiquants du Falun Gong. Un pratiquant a été condamné à vingt ans d’emprisonnement. Un des pratiquants impliqué dans la diffusion, M. He Wanji, est mort à la suite des tortures dans la Prison de Haomen, Province de Qinghai.
  • Exposer la Vérité sur un Reportage TV en 1999 qui Diffamait le Falun Gong

    En Août 1999, l'émission « Gens ordinaires » diffusée sur une Station TV de la Province de Liaoning a faussement rapporté que Chang Xiufang a divorcé avec son mari Song Yongqing parce qu'elle pratiquait le Falun Gong. Je suis Chang Xiufang. Ce reportage était faux. Laissez-moi vous raconter la vraie histoire.
  • Mort de Mme Liao Furong de la ville de Chongqing en résultat de la torture au Centre de Détention du comté de Pengshui.

    Le 19 novembre 2000, Lio Furong alla place Tienanmen avec un autre pratiquant pour y dérouler une banderole avec les mots « Authenticité-Compassion-Tolérance ». Mme Liao fut arrêtée et souffrit une sévère torture au Centre de Détention du comté de Pengshui. Plus tard elle fut condamnée à quatre ans et demi de travail forcé. Cependant la Prison pour Femmes de Yongchuan refusa de l’accepter du fait de ses blessures suite aux coups. Elle fut libérée sous « caution pour traitement médical » dans la deuxième moitié de l’année 2001, et décéda à l’hôpital début 2002.
  • La mort de Han Chunyuan – Causée par un gavage brutal dans la prison pour femmes de la province de Jilin

    Un jour au début du mois d’août, plus d’une dizaine de détenus gavèrent brutalement Han Chunyuan sans la présence d’un médecin. Jiang Lihu ouvrit de force la bouche de Han Chunyuan avec un paire de tenailles lui cassant une dent. Les détenus Cheng Yan, Wang Lihua et d’autres s’assirent de tout leur poids sur le corps de Han Chunyuan. Le détenu Zhao Tianrui chevaucha même Han Chunyuan. Il y avait plus d’une dizaine de détenus qui l’entouraient et essayaient de la maintenir à terre. Certains étouffèrent Han et lui firent perdre conscience. Un écume blanche sortit de sa bouche, et elle ne put plus refermer la bouche.
  • Népal: le groupe de Jiang étend la persécution jusqu’au Népal – une pratiquante du Falun Gong de Taiwan est suivie et menacée

    " Les ambassades chinoises, consulats et employés ont utilisé différentes approches pour participer à la persécution du Falun Gong. Les approches employées ont été si basses et méprisables qu’il est choquant d’apprendre jusqu’où sont allés leurs efforts. Pour empêcher ce genre de persécution de s’étendre, et protéger les droits des personnes et pratiquants de Falun Gong outre-mer, ces deux organisations ont commencé une course contre la montre. Ils ont enquêté sur la responsabilité légale des ambassades chinoises, consulats et de leur personnel dans la participation de la persécution du Falun Gong, et ont commencé à collecter des preuves de leurs activités à travers le monde. Cette information sera corroborée et utilisée comme preuve des crimes perpétrés, pour prendre des mesures légales contre eux dans le futur."
  • La persécution implacable de Yu Yingzhang, un professeur à la retraite de l’école pour aveugles et sourds de Zaozhuang, et de son fils Zhang Peng

    A midi le 30 avril 2001, cinq policiers sont soudainement entrés par effraction dans sa résidence. Sans mandat, ils ont fouillé sa maison et confisqué tous ses livres et cassettes de Dafa. Ils ont aussi illégalement détenu Yu Yingzhang au camp de travail No. 2 de Zaozhuang pendant 28 jours. Yu Yingzhang a refusé les demandes insensées de la police. Cependant, la police l’a illégalement condamnée à deux ans de camp de travail. Plus tard, après que son mari soit intervenu en sa faveur, elle est retournée à la maison après avoir payé une caution de trois mille yuan. Malgré ça, la police a encore demandé qu’elle se rende à leur bureau et signe son nom trois fois par jours, et il lui était interdit de quitter sa résidence. Son employeur a arrangé que les gens la surveillent 24 heures/24, et elle n’avait aucune liberté. Le 24 septembre 2002, Yu Yingzhang a été arrêtée et amenée par quatre personnes à une session de lavage de cerveau.. Elle a été menacée des travaux forcés et de renvoie de son travail.
  • Les pratiquants détenus au centre de détention de Handan dans la Province de Hebei sont forcés d’emballer des « baguettes stériles » qui sont en fait contaminées

    "Notre tâche principale était d’emballer des paires de baguettes stériles dans des sacs scellés pour utilisation dans des restaurants. Cependant, la production d’emballage se faisait dans un environnement contaminé – les cellules de la prison. Ces cellules sont petites, sombres et humides, avec l’aménagement de la salle de bain et de la salle à manger au même endroit. Une grande cellule mesure environ 200 pieds carré, mais environ 20 ou quelquefois 30 personnes y sont entassées. Une petite cellule est de 100 pieds carrés, mais une douzaine de personnes sont enfermées dans cet espace étroit. Avec une douzaine de sacs de jute de baguettes entassés dans la cellule, les gens pouvaient à peine bouger. A cause de la contrainte de temps, les gens devaient continuer à travailler sans se laver les mains, même après être allés aux toilettes ou s’être mouché le nez."
  • Autres détails sur la mort de Mme Tong Guijie, pratiquante de Dafa

    Nous avons appris des membres de famille de l’ancien directeur du commissariat de Xingfu qu’avant d’envoyer mme Tong à Changchun, la police avait demandé au directeur du « Bureau 610 » local , « Elle est dans une condition critique, voulez vous toujours l’envoyer en camp de travail ? » La réponse fut, « Oui, envoyez la même si elle meurt. Personne ne sera responsable pour sa mort. » Après la mort de mme Tong, le centre de détention a menti, ils ont dit qu’ elle était morte d’une attaque cardiaque. Nous enquêtons encore sur les détails des abus que mme Tong à soufferts.