Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • La mort de Han Chunyuan – Causée par un gavage brutal dans la prison pour femmes de la province de Jilin

    Un jour au début du mois d’août, plus d’une dizaine de détenus gavèrent brutalement Han Chunyuan sans la présence d’un médecin. Jiang Lihu ouvrit de force la bouche de Han Chunyuan avec un paire de tenailles lui cassant une dent. Les détenus Cheng Yan, Wang Lihua et d’autres s’assirent de tout leur poids sur le corps de Han Chunyuan. Le détenu Zhao Tianrui chevaucha même Han Chunyuan. Il y avait plus d’une dizaine de détenus qui l’entouraient et essayaient de la maintenir à terre. Certains étouffèrent Han et lui firent perdre conscience. Un écume blanche sortit de sa bouche, et elle ne put plus refermer la bouche.
  • Népal: le groupe de Jiang étend la persécution jusqu’au Népal – une pratiquante du Falun Gong de Taiwan est suivie et menacée

    " Les ambassades chinoises, consulats et employés ont utilisé différentes approches pour participer à la persécution du Falun Gong. Les approches employées ont été si basses et méprisables qu’il est choquant d’apprendre jusqu’où sont allés leurs efforts. Pour empêcher ce genre de persécution de s’étendre, et protéger les droits des personnes et pratiquants de Falun Gong outre-mer, ces deux organisations ont commencé une course contre la montre. Ils ont enquêté sur la responsabilité légale des ambassades chinoises, consulats et de leur personnel dans la participation de la persécution du Falun Gong, et ont commencé à collecter des preuves de leurs activités à travers le monde. Cette information sera corroborée et utilisée comme preuve des crimes perpétrés, pour prendre des mesures légales contre eux dans le futur."
  • La persécution implacable de Yu Yingzhang, un professeur à la retraite de l’école pour aveugles et sourds de Zaozhuang, et de son fils Zhang Peng

    A midi le 30 avril 2001, cinq policiers sont soudainement entrés par effraction dans sa résidence. Sans mandat, ils ont fouillé sa maison et confisqué tous ses livres et cassettes de Dafa. Ils ont aussi illégalement détenu Yu Yingzhang au camp de travail No. 2 de Zaozhuang pendant 28 jours. Yu Yingzhang a refusé les demandes insensées de la police. Cependant, la police l’a illégalement condamnée à deux ans de camp de travail. Plus tard, après que son mari soit intervenu en sa faveur, elle est retournée à la maison après avoir payé une caution de trois mille yuan. Malgré ça, la police a encore demandé qu’elle se rende à leur bureau et signe son nom trois fois par jours, et il lui était interdit de quitter sa résidence. Son employeur a arrangé que les gens la surveillent 24 heures/24, et elle n’avait aucune liberté. Le 24 septembre 2002, Yu Yingzhang a été arrêtée et amenée par quatre personnes à une session de lavage de cerveau.. Elle a été menacée des travaux forcés et de renvoie de son travail.
  • Les pratiquants détenus au centre de détention de Handan dans la Province de Hebei sont forcés d’emballer des « baguettes stériles » qui sont en fait contaminées

    "Notre tâche principale était d’emballer des paires de baguettes stériles dans des sacs scellés pour utilisation dans des restaurants. Cependant, la production d’emballage se faisait dans un environnement contaminé – les cellules de la prison. Ces cellules sont petites, sombres et humides, avec l’aménagement de la salle de bain et de la salle à manger au même endroit. Une grande cellule mesure environ 200 pieds carré, mais environ 20 ou quelquefois 30 personnes y sont entassées. Une petite cellule est de 100 pieds carrés, mais une douzaine de personnes sont enfermées dans cet espace étroit. Avec une douzaine de sacs de jute de baguettes entassés dans la cellule, les gens pouvaient à peine bouger. A cause de la contrainte de temps, les gens devaient continuer à travailler sans se laver les mains, même après être allés aux toilettes ou s’être mouché le nez."
  • Autres détails sur la mort de Mme Tong Guijie, pratiquante de Dafa

    Nous avons appris des membres de famille de l’ancien directeur du commissariat de Xingfu qu’avant d’envoyer mme Tong à Changchun, la police avait demandé au directeur du « Bureau 610 » local , « Elle est dans une condition critique, voulez vous toujours l’envoyer en camp de travail ? » La réponse fut, « Oui, envoyez la même si elle meurt. Personne ne sera responsable pour sa mort. » Après la mort de mme Tong, le centre de détention a menti, ils ont dit qu’ elle était morte d’une attaque cardiaque. Nous enquêtons encore sur les détails des abus que mme Tong à soufferts.
  • Davantage de faits concernant la torture à mort de la pratiquante Mme Cao Yali de la province de Jilin

    La police lui banda les yeux et l’emprisonna dans un établissement secret pour les interrogatoires. Là ils la torturèrent pendant un jour et une nuit en la mettant sur un « banc du tigre »(1) en la frappant et l’électrocutant avec des bâtons électriques, lui mettant un sceau sur la tête et frappant le sceau violemment, la laissant geler dehors par des températures de –20°c [-40F] avec un juste un sweater de coton, et la privant de sommeil. Puis, sans présenter aucune preuve légale, ils la condamnèrent à deux ans de camp de travail forcé au Centre de Détention pour Femmes de Heizuizi. Elle fut détenue dans la Brigade N°4. Au Centre de Détention de Heizuizi, parce que mme Cao refusait de renoncer au Falun Dafa, la police la tortura mentalement et physiquement. Elle souffrit d’hypertension et fut relâchée pour raisons médicales. En août 2003 elle était apparemment mourante. Elle mourut de complications le 6 février 2004 résultant d’une torture prolongée et des mauvais traitements qu’elle avait endurés.
  • Le pratiquant de Dafa de la ville de Changchun M. Yu Xianjiang a été torturé et renvoyé de l’Hôpital pour mourir (Photo)

    Le 20 février 2002 il a été condamné à un an d’ "éducation par le travail" et a été envoyé au camp de travail forcé de Chaoyanggou de la ville de Changchun où il a été brutalement torturé. Le 27 juin 2002 ses deux jambes ont été cassés sous les coups. Pour ne pas être tenu responsable le camp l’a libéré le même jour. Le 15 août 2002, il a été de nouveau enlevé de chez lui et envoyé au centre de lavage de cerveau de Xinglongshan. Le 10 octobre 2002, il a été transféré au camp de travaux forcé de Chaoyanggou. A cause de la torture prolongée il était extrêmement faible. Le 3 mai 2003, il a été envoyé à l’hôpital dans une situation critique. Etant célibataire et n’ayant aucun revenu à cause de la persécution, il n’avait plus la possibilité de rester à l’hôpital. Aussi il a été renvoyé de l’hôpital avant qu’il ne soit guéri. Quinze jours plus tard il est mort seul la veille du Nouvel An chinois .
  • Le camp de travaux forcés de Longshan et de Zhangshi, dans la ville de Shenyang, force le public à marcher sur l'image du Maître, violant les statuts de la loi civile chinoise

    "Nation riche de cinq mille ans d'histoire culturelle, la Chine a transmis un code moral de plusieurs millénaires. Génération après génération elle a produit tant de travaux classiques célèbres, guidant la moralité de générations successives - il est difficile de comprendre que les administrations nationales aient dégénéré au point de commettre réellement de tels actes honteux. Leur comportement se moque non seulement de la loi, mais ternit aussi la civilisation chinoise et sa moralité."
  • Des pratiquants de Guiyang sont illégalement condamnés pour avoir diffusé les faits au sujet de la persécution du Falun Gong à la télévision

    Les autorités du camp de travail pour femmes à Guiyang ont commencé à prolonger arbitrairement les peines d'emprisonnement des pratiquantes détenues là-bas vers la fin de 2003. Wu Mingju, une ancienne enseignante d'anglais au Collège Iron de Guiyang et Zhang Juying de la centrale électrique de Guiyang ont eu un prolongement de leurs sentences sans aucune raison. Les cas de persécution à l'encontre des pratiquantes au camp de travaux forcés de Guiyang s'intensifient en raison des directives venant d'en haut.
  • La police torture des pratiquants avec des matraques électriques dans le camp de travaux forcés de Xidayingzi à Zhaoyang, province du Liaoning

    "Torturé par sept matraques électriques, Liu Xue en a perdu le souffle, son visage est devenu blanc et il souffrait de douleurs atroces. Yang Xiufan est un homme de 62 ans, mais la police n’a eu aucune pitié pour lui. Un gardien de la prison a donné l’ordre au prisonnier Shen Qingli de maintenir Yang par terre. Un policier lui a fait des électrochocs à la tête, à la nuque et au cœur. M. Yang hurlait de douleur, sa tête, sa nuque et le côté gauche de sa poitrine jusque dans le dos étaient couverts de plaies et de cloques ."
  • M. Zheng Zhong, pratiquant de 70 ans, meurt après avoir été détenu cinq fois et contraint à vivre sans domicile

    A cause de la brutale persécution du Falun Gong par le régime de Jiang, la police de Huangzhou détint Zheng Zhong dans le centre de détention cinq fois de suite. Une fois, il fut détenu pendant 70 jours au-delà de son terme originel. En octobre 2002, la police détruisit un atelier qui fabriquait des documents clarifiant la vérité et Zheng Zhong et sa femme durent quitter leur maison pour échapper à la persécution. La police et le personnel du « Bureau 610* » surveillèrent et suivirent les deux fils de Zheng Zhong pendant longtemps. Ils mirent son téléphone sur écoute, et harcelèrent et menacèrent sa belle fille et ses parents. Usé par les épreuves et la souffrance d’être séparé des siens et sans domicile, Zheng Zhong est mort le 9 mars 2004.
  • Faits choquants sur la condition d’une pratiquante dans la prison pour femmes de Masanjia – Jambes paralysées, vie en danger.

    Les autorités de la prison pour femmes de Masanjia, dans la province de Liaoning, ont perpétré une persécution horrible contre les pratiquantes de Dafa. La police a prétendu, « Nous pouvons faire que les pratiquants de Falun Gong n’aient plus nulle part où faire appel et nulle part ou demander justice. Nous pouvons même rendre folle une personne saine. Nous vous tuerons sans raison et les membres de vos familles ne pourront pas même retrouver vos corps. »
  • Un chauffeur de taxi est témoin d’une mise en scène mensongère ; une pratiquante prétendue morte à la suite d’une maladie avait en fait été torturée à mort

    Un jour, j'ai pris un taxi et je lui ai clarifié la vérité au sujet de la persécution du Falun Gong. Je lui ai dit que tout ce qu’il voyait à la télévision, par exemple les pratiquants se suicidant ou se brûlant à mort, n’étaient que des mensonges destinés à diaboliser le Falun Gong. Il m’a répondu : « je vous crois. Je les [les autorités] ai vu mettre en scène un mensonge ».
  • Duan Xiangdi, pratiquante de Falun Gong de Nanjing souffre de la persécution dans un hôpital psychiatrique et un camp de travaux forcés

    Parce que je pratique le Falun Gong, la police m’a envoyée dans une salle du 9e district de l’hôpital psychiatrique de Nanjing, où j’ai été maltraitée pendant plus de deux mois et subi des tortures médicales indescriptibles. Quelques mois après ma libération, la police m’a de nouveau arrêtée sans raison et m’a condamnée à un an dans un camp de travaux forcés, sans procès, car je ne renonçais pas en ma croyance en Falun Gong.
  • Mme Xie Caile meurt en résultat de la torture soufferte dans le Centre de Détention de Chengdu

    Mme. Xie Caile, la trentaine, était du district de Xindu, Cité de Chengdu, Province de Sichuan. Elle fut illégalement condamnée à cinq ans de prison en juin 2003. Mme Xie fit une grève de l faim au Centre de Détention de Chengdu et fut nourrie de force par intubation. Un mois plus tard, alors qu’il n’était même plus question de la nourrir de force, les gardes refusaient toujours de la relâcher. Elle est morte en octobre 2003. En 2000, elle avait dit aux gens les faits concernant la persécution contre le Falun Gong. Elle fut envoyée au Camp de Travail pour Femmes de Nanmusi dans la Province de Sichuan.