Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Deux femmes injustement condamnées dix ans de prison dans la province de Jilin

    Incité par Xiao Bin de l’équipe de sécurité, Jin Yongyi (notoire pour sa cruauté, Huang et Piao ont employé les méthodes suivantes pour torturer brutalement les deux femmes :1. Menotter par derrière: menotter les deux mains derrière le dos de la victime et les forcer à s’agenouiller par terre, avec les deux pieds fixés au barreau horizontal d’une chaise. Ils continuent la torture jusqu’à ce que les victimes ne puissent plus bouger et finissent par s’ évanouir.2. Les forcer à faire un certain mouvement de danse, en séparant les jambes le plus possible et garder cette position jusqu’à ce qu’elles s’évanouissent de douleur.3. Piquer les mains, le corps et les jambes avec une aiguille . 4. Brûler leurs poignets avec des cigarettes. Les blessures ont laissé des cicatrices.5. Les suspendre en l’air leurs pieds ne touchant pas le sol.
  • Les pratiquants résistent à la séance de lavage de cerveau par les acteurs de la scène de « l'auto-immolation »

    Un pratiquant de la ville de Kaifeng s'est avancé vers eux et les a pointés du doigt en disant : « Wang Jindong, je ne te connais pas, mais je connais Xue Hongjun. Nous venons de la même région. Tu n'es pas du tout un pratiquant. Non seulement tu fumes, mais tu joues. De plus, tu m’as emprunté des céréales mais tu ne me les as jamais retournées comme promis. » Xue Hongjun était choqué et est resté bouche bée. Plus tard, Wang Jindong devait faire une causerie. Il y avait beaucoup de gardiens dans cette salle. Ils avaient l'air très sévères et nerveux, comme s'ils étaient dans une situation critique. La première phrase prononcée par Wang Jindong diffamait directement le fondateur du Falun Gong. La pratiquante He Aiyun, détenue dans l'équipe no 4 s'est avancée immédiatement pour l'en empêcher
  • Mme. Yang Sulan est torturée à mort dans le Camp de Travail Forcé de Zhangshi

    Sa famille alla voir le chef du « Bureau 610 », M. Liu, dans la section de Huanggu et par la suite s’entendit dire que Mme Yang assistait à une classe de lavage de cerveau dans le Camp de Travail Forcé de Zhangshi. Ils l’empêchèrent de dormir, l’insultèrent verbalement et resserrèrent le haut de son corps pour lui causer une grande douleur et une difficulté quand elle respirait où levait les mains. Ils la menacèrent de lui donner un travail pénible si elle ne renonçait pas à sa croyance. Après avoir été torturée pendant plus de 50 jours, elle fut relâchée, mais le harcèlement a continué. Le 1er juin 2003, elle est décédée chez elle.
  • Yoko Kaneko se souvient des 548 jours suivant son Enlèvement Par les suppôts de Jiang Zemin et Son Régime (Partie 2)

    L'Hôpital Tiantanghe est l'hôpital désigné pour la Section d’Expédition du Camp de travail Forcé pour Femmes de Beijing. La plupart des détenus qui ne sont pas consommateurs de drogue sont pratiquants de Falun Gong. Beaucoup de ces consommateurs de drogue souffrent de maladies contagieuses comme le SIDA, les maladies de foie ou la tuberculose pulmonaire. Cependant, tous les détenus doivent vivre ensemble, et les contagieux ne sont pas isolés. Les conditions sont très mauvaises et la police surveille de prés les pratiquants de Falun Gong. Ils ne leur permettent pas de parler entre eux, et sont surveillés par les criminels toxicomanes.
  • La Thorazine utilisée comme brimade : Une pratiquante souffre de dysfonctionnement cognitif après des injections

    Les mesures de brimade ont abouti à des affections sérieuses pour Mme Chen Chujun, tels que des problèmes cérébraux et cognitifs graves. Avant le 16 ème congrès national, Mm Chen alla à Beijing encore une fois, essayant de clarifier la vérité à propos de la persécution contre le Falun Dafa. Malheureusement, elle fut enlevée et emmenée dans un centre de détention secret des chemins de fer et plus tard illégalement condamnée à trois ans de prison par le Tribunal des Transports de Huaitie dans la province de Hunan. Tout au long du jugement illégal, deux huissiers tenaient Mm Chan par les bras pour l’empêcher de tomber. Elle semblait encore souffrir de problèmes cognitifs graves, car elle avait perdu la capacité de parler. L’endroit où Mme Chen se trouve est inconnu. Personne ne sait si elle est encore vivante.
  • CIEFG: A propos de la Couverture Médiatique des Reportages Fabriqués par le Porte-parole du P. C. Chinois

    La nuit passée, l’Agence de Presse chinoise Xinhua, porte-parole du Parti communiste chinois a publié un article à propos d'un individu qui a été condamné à mort pour un certain nombre de tueries qu'il a commises et que Xinhua dit " avoir été inspirées par Falun Gong ». Ce matin la BBC, CBC et Reuters ont repris la nouvelle comme si Xinhua était une source d’informations crédible sur le Falun Gong.En publiant ce genre de reportage qui répète tout simplement les affirmations extravagantes et non fondées du régime chinois, la BBC, la CBC et Reuters sont entrain de propager sans en avoir conscience cette même campagne de haine que Jiang Zemin a utilisée pendant plus de quatre années pour tourner les Chinois les uns contre les autres et les inciter à apporter leur aide dans sa lutte contre le Falun Gong. Campagne à travers laquelle d’innombrables citoyens chinois ont été amenés à aider à persécuter leurs propres compatriotes.
  • Torture, travaux forcés, et manipulations dans le camp de travail pour femmes de la ville de Nanning

    On inflige des tortures féroces aux pratiquantes fermes de Falun Dafa : privation de sommeil, se tenir debout pendant de longues périodes de temps, rester accroupies. Les pratiquantes qui font les exercices de Falun Gong ont les mains attachées au niveau du lit supérieur. Durant notre détention, une pratiquante nommée Lin Tiemei était très ferme. La police perverse l’a torturée sévèrement. Ils ont fait des choses telles que lui attacher les mains derrière le dos, la forcer de porter un chapeau de métal et lui sceller la bouche avec du papier collant. Une fois, j’ai constaté qu’elle avait été torturée jusqu’à ce que son corps soit couvert de blessures pourpres et noires. La police lui a également fait subir des chocs électriques avec des matraques. Mme Lin Tiemei est toujours détenue au camp de travail pour femmes et souffre toujours de la torture. Je fais appel à tous les pratiquants de Falun Dafa d’émettre des pensées droites pour l’aider.
  • Mme Wang Kaiying de la Province de Henan est illégalement détenue, torturée et envoyée à un camp de travaux forcés

    Sa détention fut prolongée pour plusieurs jours, et elle fut envoyée au Centre de Détention du Comté de Changhuan. Le directeur du Centre de détention battait chaque pratiquant de Falun Gong qui y arrivait. Le directeur battit Wang encore plus durement. Après une gifle le directeur demanda : « Vas tu renoncer [à sa croyance en Falun Gong] ou pas ? » Wang Kaiying répondit fermement, « Jamais ! » Le directeur continua la torture. Quand il commença à avoir mal à la main, il la tapa avec une planche de bois. La torture ne s’arrêta que quand le directeur se fatigua et laissa tomber la planche. Le visage de Wang Kaiying était horriblement défiguré, en sang et terriblement blessé. Son visage, son nez, ses yeux étaient devenus violets et enflés démesurément.
  • Tactiques brutales utilisées par les gardes de prison du camp de travaux forcés de Wanjia pour torturer les pratiquants

    Mme Dai Rui, une étudiante dans la vingtaine de l’université de Heilongjiang, a été brutalement torturée pendant 10 jours pour avoir dit la vérité lors d'un interrogatoire. Bei Yulian, un détenu criminel, l’a battue jusqu’à ce que le sang sorte de sa bouche. Mme Yang Yue, directeur du programme de loisirs à la station de télévision de Heilongjiang, a été torturée avec la « Grande Suspension » pendant quatre jours. Toutes les fois que les policiers de la prison ont torturé les pratiquants de Dafa, ils ont tourné le volume des haut-parleurs au maximum pour masquer leurs crimes. Les policiers de la prison ont également forcé les pratiquants de Falun Dafa à écrire des lettre d’application pour devenir membres du Parti et les forçaient à promettre leur loyauté au Parti chaque matin et chaque soir.
  • Les actes criminels de torture commis à l’encontre des pratiquants de Dafa dans le Poste de Police de la rue Renmin dans la ville de Shiyan, province de Hubei

    « Quand je suis monté à l’étage , la scène s’offrant à moi était encore plus dramatique. L’autre chef ducommissariat de police, M. Liu, a ordonné à six policiers de la pendre dans la position de « porter une épée derrière le dos », exactement de la même manière que l’autre vieille dame à l’étage inférieur. Les 7 personnes la torturaient à tour de rôle, et de manière encore plus horrible. Les tortures qu’ils ont utilisées en ma présence incluaient lui donner des coups avec des ceintures, lui gifler violemment le visage et la choquer sur tout son corps avec plusieurs bâtons électriques. C’est probablement la scène la plus insupportable dont une personne puisse être témoin. Mon coeur s’est rempli de grand respect et d’admiration pour ces deux femmes pratiquantes de Dafa. Malgré les tortures inhumaines, elles n’ont jamais pleuré ou demandé grâce. La brutalité de la police a échoué. A côté des policiers, ces deux femmes paraissaient remarquablement nobles et magnifiques. »
  • Crimes commis par la Police de la Province de Shanxi: on force des pratiquants de Dafa à avaler des excréments et de l’urine, beaucoup ont été torturés à mort

    "A Datong, nous les pratiquants, avons reçu des menaces et des intimidations. Nos familles ont été touchées aussi. On nous a suivis, surveillés, on nous a détenus arbitrairement, on nous a soumis à des lavages de cerveau et on nous a même humiliés en nous faisant défiler dans les rues de différentes manières. Simplement parce que nous pratiquons le Falun Gong, certains d’entre nous ont dû quitter leur foyer et d’autres ont été détenus plusieurs fois et se sont vus imposer de lourdes amendes. Des pratiquants ont été détenus dans des centres de détention. La police de la Préfecture de Datong nous a violemment battus à coups de matraques. Ils nous ont passé de lourdes chaînes (qui pèsent quelques dizaines de kilos) autour du cou et des mains, ils nous ont ainsi forcés à marcher dans la cour. On ne pouvait même pas redresser le dos, on ne bougeait que centimètre par centimètre. Ensuite, on nous a empêchés de sortir. En hiver quand il faisait très froid, on nous a forcés à rester dehors. Le Deuxième Centre de Détention de la ville de Datong nous a transféré au Camp de Travaux Forcés de Taiyuan un jour où il neigeait et gelait, on a dû sortir pieds nus, avec une seule épaisseur de vêtements."
  • Mme Zhou Ainuu est Mentalement Traumatisée suite aux tortures subies dans le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de Moganshan dans la Province de Zhejiang

    "En Décembre 2002, la police de la brigade de "surveillance spéciale" (un endroit spécial pour persécuter les pratiquants de Dafa) lui a fait subir de force le lavage de cerveau. Pendant ce temps, elle a été privée de sommeil pendant huit jours, mais Mme Zhou n’a pas abandonné sa pratique de Dafa. Vers le mois d’août 2003, la police du camp de travail l’a à nouveau torturée en la privant de sommeil pendant 15 jours. Des témoins rapportent que mme Zhou Ainuu s'est effondrée mentalement et fait une dépression nerveuse."
  • La Cour de la ville de Dehui emploie la violence à l’encontre de membres de familles de pratiquants de Dafa

    Le 14 novembre 2003, la Cour de la ville de Dehui a tenu un procès illégal contre 13 pratiquants de Falun Gong illégalement détenus au centre de détention de la ville de Dehui. Puisque la Cour a violé la loi en refusant de libérer les 13 pratiquants après que leur période de détention légale fut écoulée, quelques membres de leur famille se faisaient du souci quand à la sécurité des pratiquants et sont allés à la Cour faire appel et demander la libération de ces pratiquants. Toutefois, la Cour avait déjà édicté une loi illégale permettant de refuser toute demande d’entretien de la part des familles des pratiquants.
  • Le camp de travail de Masanjia estropie les gens et interdit aux femmes de se changer et de se laver pendant les menstruations

    Les mains et les pieds de certaines pratiquantes étaient attachés, assumant ainsi la position assise en méditation. La police mettait le livre Zhuan Falun, que tous les pratiquants de Dafa considèrent très précieux, sous leur corps. Elles étaient attachées et ne pouvaient pas bouger. Ce qui a causé aux pratiquantes de Dafa une souffrance non seulement physique lancinante mais également une grande agonie mentale é. Une pratiquante de Dafa a été attachée pendant 24 heures. Lorsqu’elle a été détachée, tout son corps était incapable de bouger.
  • La tactique brutale employée par les gardiens du camp de réclusion et de travaux forcés de Wanjia pour torturer les pratiquants de Falun Dafa

    Du côté Est de la cafétéria de Wanjia il y a la 12ème brigade, les brigades masculines, et l'hôpital. Du côté Ouest c’est la 7ème brigade. Le premier étage du bâtiment latéral ouest loge les ateliers, au second étage les cellules de prison, et le troisième étage la brigade féminine de ré-éducation, qui est surveillée par les surveillants du département, Zhao Yuqing, l’instructeur Yao, et Wu. Les nouveaux détenus et les pratiquants de Dafa des différentes brigades qui sont considérés persistants sont envoyés ici pour la torture brutale et le lavage de cerveau forcé. Les gardiens de prison passent des cassettes diffamant le Maître et Dafa toute la journée. Celui qui refuse de coopérer est brutalement et sans interruption torturé avec la tactique du « grand accroché » * en étant choqué avec des matraques électriques à haute tension, devant s'accroupir sans dire un mot, et battus brutalement par des criminels.