Révéler la persécution

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  • CIFD: Femmes pendues au plafond, les bras retournés, harcelées sexuellement avec des bâtons - Tentative d'attendre le Quota de "Réforme"

    Pour tenter d'atteindre le quota de pratiquants de Falun Gong "réformés" fixé par le gouvernement, les camps de travaux forcés à travers la Chine ont reçu du "bureau"6-10" l'ordre de faire signer aux pratiquants de Falun Gong des "déclarations de repentir" dans lesquelles ils renoncent à leurs convictions en la pratique. Au Camp de Rééducation de Dalian, pour atteindre le quota de "réforme", on utilise quotidiennement des vidéos diffamatoires sur le Falun Gong que l'on passe en boucle aux pratiquantes. On les prive de sommeil, on les soumet à des températures extrêmes, glaciales, brûlantes, on les bat avec des matraques électriques, on les torture par la méthode du gavage forcé et on les harcèle sexuellement.
  • Diverses formes de tromperie au Camp de Travail pour Femmes de Changchun dans la province de Jilin

    Les policiers forcent tous les pratiquants, qu’ils soient jeunes ou vieux, à travailler continuellement 17 à 18 heures par jour, mais la police force ceux qui sont « transformés » à écrire sur un registre qu’ils « travaillent 8 heures par jour, font des siestes dans l’après midi, et ne travaillent ni le samedi ni le dimanche. » puis à signer leurs noms. Quelque fois la police utilise les personnes « transformées » et ces pratiquants qui renoncent à Dafa par peur de la torture pour organiser une « réunion familiale » à grande échelle. Ils choisissent dans ce groupe les gens qui ont le plus haut niveau d’éducation et leur font écrire des articles louant le camp de travail pour les lire à la réunion. Les membres de famille qui ne connaissent pas la vérité sont ainsi habituellement touchés par l’atmosphère de bienveillance superficielle et les mots agréables. Les gardes au camp de travail passent souvent de façon intermittente une chanson appelée « Dévotion avec amour », et trompent ces familles qui ne connaissent pas la vérité. La famille est induite à accepter les choses horribles que fait la police et devient ainsi hostile envers le Falun Gong.
  • Les excuses ridicules au camp de travaux forcés de Jiamusi : Mutiler une pratiquante « pour sa propre sécurité »

    La pratiquante de Dafa Mme Qiu Yuxia est détenue au camp de travaux forcés de Jiamusi depuis presque trois ans. En août 2003 sa famille était très inquiète après avoir appris que Yuxia avait perdu l'usage de ses deux mains suite aux tortures et qu'elle ne pouvait plus prendre soin d'elle. Les sœurs de Yuxia sont allées de nouveau au camp de travaux forcés pour voir leur sœur. La police du camp a refusé. Désespérées, elles ont dit à la police du camp qu'elles feraient appel auprès d'instances plus hautes si l'on ne répondait pas à leur demande, et que les dirigeants du camp porteraient la responsabilité si quelque chose arrivait à Yuxia. Les policiers du camp savaient qu'ils avaient tort, ils ont donc fait venir Yuxia pour qu'elles la voient. Quand elles ont vu que Yuxia avaient les deux bras qui pendaient comme s'ils étaient paralysés, elles lui ont demandé ce qui lui était arrivé. Yuxia leur a dit que c'était parce qu'elle avait été torturée aux mains des gardiens du camp, elle avait été pendue, les bras passés par dessous les épaules et derrière le dos.
  • L'attrait de l'argent encourage la police à maltraiter des pratiquants de Dafa dans les camps de travaux forcés

    Une information venant d'un des camps de travail forcé en Chine mentionne que le régime de Jiang récompense un policier de 500 Yuan * s'il arrête un pratiquant de Falun Gong. Si les gardiens de prison soumettent avec succès un pratiquant à un lavage de cerveau, ils reçoivent 1.000 Yuan, mais ils sont condamnés à 3.000 Yuan d'amende si le pratiquant ou la pratiquante revient dans les six mois.
  • Au camp de travail de Jiutai – percer des trous dans la chair avec des tubes en plastique et appliquer du sel et du poivre sur les blessures

    Ils ont frappé les pratiquants avec des matraques électriques, ils les ont brûlés avec des cigarettes et ils ont percé des trous sous leurs bras, leurs cuisses et à d’autres endroits du corps où la chair est tendre avec les bords tailladés de tubes en plastique de 6 cm. de diamètre. Ensuite, ils ont utilisé des brosses à dent pour étaler du dentifrice, du poivre, du sel et d’autres substances à même la chair. Ils ont aussi percé les poitrines de M. Liu Qinghua et de M. Huang Yuedong, qui sont restés fermes dans leur croyance malgré la cruelle torture.
  • La mission diabolique du service correctionnel de Jiamusi : Éducation et correction par la force et la torture

    La mission des policiers au service correctionnel de Jiamusi s’intitule: « éducation et correction à l'aide des instruments de torture. Incinérez les personnes qui refuseront de se conformer. » Motivés par cette devise, ils torturent les pratiquants du Falun Gong sans retenue. Leurs méthodes sont extrêmement cruelles. Par exemple ils attachent des pratiquants à un lit de torture, ou ils forcent des pratiquants à s'asseoir en hiver sur une chaise en métal sur laquelle ils verseront de l’eau froide.
  • Zhao Guoyun et cinq autres pratiquants de Dafa de Beipiao, Province de Liaoning ont été illégalement condamnés

    Le 15 août 2003, Wang Wenfu a été enlevé parce que quelqu'un a rapporté à la police le lieu où il se trouvait. C'était la sixième fois que ce vieil homme de 70 ans était illégalement détenu. La police a essayé d'extorquer 3.000 Yuan à sa famille (le revenu mensuel moyen pour un ouvrier urbain en Chine est de 500 Yuan) afin d'obtenir sa libération, mais ils ont refusé de payer le dessous de table. En ce moment le vieil homme est encore retenu au centre de détention de la ville de Beipiao.
  • Le camp de travail de Dalian agit de connivence avec des chaînes de Télévision et des journalistes pour concevoir de la propagande cachant la vérité au sujet de la persécution.

    Les médias ont filmé et photographié les pratiquantes qui avaient été forcées de s'engager dans diverses activités afin d’impressionner, de tromper la presse et les autorités provinciales. Les chaînes de télévision et les journaux ont plus tard retransmis et publié des histoires au sujet du camp de travail, dépeignant l’enfer vivant de ce lieu comme si s'était en vérité un hôtel de luxe ou en quelque sorte un centre de soin pour les citoyens âgés.
  • Corruption institutionnalisée dans la province d’Hebei: les policiers de la ville de Bazhou accumulent de l’argent clandestinement dans la persécution contre le Falun Gong

    Le Bureau de la Sécurité Publique de la Ville de Bazhou a ordonné aux stations de police locale de la Ville de Nanmeng et du Village de Kangxian de kidnapper les pratiquants du Falun Gong les uns après les autres. Ils ont imposé des amendes aux pratiquants et ne les relâchaient pas à moins de recevoir de l’argent.
  • La prison de Minxi utilise la méthode connue sous le nom de "toute la journée, toutes les directions, et entièrement enfermer" pour torturer les pratiquants de Dafa

    Ils ont employé des menottes et des menottes de pouces pour attacher Jiang Sheng sur les barres en métal de la fenêtre. Les orteils de Jiang Sheng touchaient à peine le plancher. Il était relâché seulement pour les repas ou aller aux toilettes. Les pieds de Jiang Sheng ont été tellement gonflés qu'il ne pouvait pas mettre ses chaussures. Deng, l'instructeur politique, disait toujours, "Si vous osez encore pratiquer, je vous torturerai à mort. Après, je trouverai quelques prisonniers pour dire que vous êtes mort de la pratique des exercices !"
  • Détails sur la manière dont la pratiquante de Dafa Mme Chen Yuqing, originaire du Comté de Weiyuan, dans la Province du Sichuan, a été enfermée dans un hôpital psychiatrique et torturée

    En février, le Poste de Police de Chengdong du Conté de Weiyuan m’a forcée à assister à une séance de lavage de cerveau qui a duré deux mois. Durant la séance, mi-mars, mes employeurs du Département de l’Industrie et du Commerce du Conté de Weiyuan ont vu que le lavage de cerveau n’avait aucun effet sur moi, ils m’ont donc envoyée à l’Hôpital Psychiatrique de Zigong... Ils m’ont attaché les deux mains et le torse; ensuite ils m’ont fait une perfusion intraveineuse. Après la transfusion, ils m’ont laissée attachée, même quand j’avais besoin d’aller aux toilettes. Je devais faire mes besoins sur le lit, dans une bassine que me donnait un patient malade mental. J’étais ainsi attachée pendant 16 heures par jour. En même temps, ils me forçaient à prendre des poignées de médicaments trois fois par jour. J’avais de violentes réactions aux médicaments et aux perfusions; j’avais la nausée et une envie de vomir. La plupart du temps j’avais des vertiges. J’avais perdu la force dans mes mains et dans mes pieds et ne pouvais plus marcher, je perdais aussi la mémoire. Progressivement j’ai oublié les Hong Yin (un recueil de poèmes de Maître), que j’avais mémorisés et savais réciter par cœur.
  • Enquête sur la persécution des pratiquants dans la région de Yueyang, province du Hunan (1ère partie)

    Au cours des quatre années depuis juillet 1999, au moins quatre pratiquantes de Falun Dafa ont été torturées à mort dans la région de Yueyang, province du Hunan, elles ont été torturées à mort simplement parce qu’elles croyaient en « Vérité, Bienveillance et Tolérance ».
  • Crimes brutaux commis par une chef d’équipe, l’officier Zhang Xiaofang, dans le camp de travaux forcés Nanmusi de la province de Sichuan

    Les pratiquantes doivent se lever à 5h du matin. et se coucher entre 2 et 3 heures du matin. Elles doivent se tenir debout, s’asseoir ou s’accroupir face à un mur toute la journée. Leurs nez et orteils doivent toucher le mur, leurs yeux doivent rester ouverts et leurs genoux ne doivent pas fléchir. Aucun mouvement n’est toléré. Tenir cette position pendant des heures est une forme sévère de torture. Lorsque les pratiquantes ne peuvent pas maintenir la position telle que demandée, elles sont battues et reçoivent des coups de pieds par les gardes. Les pratiquantes qui doivent endurer cette forme de torture en ressortent avec des dommages physiques aux jambes et genoux qui les laissent enflés et les rendent incapables de se tenir droit.
  • Les résidents du village de Nanguan, Ville de Sanhe, dans la province de Hebei, témoignent de la persécution de Xin Baodong et de sa famille

    La persécution illégale de Xin Baodong s'est étendue aux membres de sa famille, parenté, voisins et autres personnes. Une soeur aînée et une dame âgée de plus de 70 ans qui l'avaient aidé auparavant ont été arrêtées et emmenées au Bureau de la Sécurité Publique. la police est allée à leurs demeures et a illégalement interrogé les membres de leurs familles.
  • Des « camisoles de forces » utilisées comme instrument de torture dans les camps de travaux forcés chinois

    Des camisoles de force ont été utilisées comme moyen de torture au camp de travail pour femmes de Shibalihe dans le Henan, en Chine, pour obliger les pratiquantes de Falun Gong déterminées à renoncer à leur foi. Les bras sont enroulés devant le corps et attachés derrière. Les jambes sont liées ensemble et alors ils suspendent les mains attachées à des barres de métal. Les deux bras de la victime sont immédiatement blessés. Les tendons et les os des épaules, les coudes et les poignets sont déchirés et fracturés. Quand la torture se prolonge, le cordon médullaire est rompu entraînant une mort extrêmement douloureuse.