Sagesse traditionnelle

  • Confucius apprenant du Livre des Changements

    Confucius lisait le livre Yi (également appelé Zhou Yi, Yi Jing traduit par Le Livre des Changements). En lisant le chapitre traitant des prédictions de la chance ou de la malchance, il laissa échapper un soupir ...
  • Les rayons illuminés de pourpre venant de l’Est

    Un matin, Yin Xi regardait au loin en direction de l’est depuis un terre-plein en face de sa maison. Contemplant les rayons de la lumière du soleil briller à travers une épaisseur de nuages de l'autre côté de la source de la rivière, il vit jaillir une roue de soleil rouge matinal avec tous ses rayons éblouissants - phénomène plus ou moins naturel - Yon Xin, qui était un adepte de l’interprétation des signes, découvrit quelque chose d’inhabituel ...
  • "L’Admiration de l’harmonie" dans la culture de la Chine antique

    L’harmonie est essentielle dans les relations entre individus et entre pays. Elle est également impérative dans les relations qu’ont les hommes avec la nature. La signification première du mot harmonie est la paix et la coordination ...
  • Réflexions en lisant "Confucius sur la vertu de l'eau"

    Confucius se plaisait à regarder attentivement la rivière dévaler vers l'est. Zi Gong lui demanda : "Un homme de bien qui regarde l'eau comme cela y prendra assurément du plaisir . Pourquoi en est-il ainsi?" Confucius répondit : "Parce que la grande eau peut aller continuellement de l'avant sans s'arrêter. Elle est si bienveillante en irriguant les terres partout où elle passe, pourtant elle ne considère pas avoir accompli des exploits remarquables. C'est exactement comme la vertu."...
  • Conseiller franchement et préserver l’intégrité morale

    Ji Ying (? - 112 Ap. J.C) également appelé Chang Ru, vivait dans le Comté de Puyang Durant la Dynastie Han de l’Ouest (206 av J.C. - 9 Ap.J.C). Il admirait les principes enseignés par Huang Di et Lao Zi, et était un homme droit et direct. Chaque génération dans sa famille avait obtenu un emploi ministériel. En tant que fonctionnaire, il donnait toujours priorité au bien de son pays et de son peuple sans s’inquiéter de sa sécurité personnelle, et conseillait franchement l’empereur. Il devint connu pour son comportement désinteressé.
  • Histoires de la Chine ancienne : Elever les enfants avec des principes droits

    Whang Zhaoping avait une manière vraiment unique d'élever ses enfants. Il n'utilisait jamais de mots forts ni ne se mettait en colère. Chaque fois que ses enfants ne se conduisaient pas correctement, il leur apprenait calmement comment se comporter et il les guidait patiemment ...
  • Ne pas être affecté fût-ce face à une faveur ou confronté à l'humiliation, ne rechercher ni gloire ni richesse, demeurer dans la tranquillité et la paix

    La phrase chinoise : "Chong Ru Bu Jing " signifie que l'on reste imperturbable face à une faveur ou à l'humiliation, et que l'on garde toujours son calme et son aise ; on peut abandonner l'intérêt à la perte et au gain. Si l'on peut accomplir l'état de "Chong Ru Bu Jing " on doit être ouvert d'esprit, avec un grand coeur, magnanime, et prêter peu d'attention au renom et au profit.
  • Comment les anciens considéraient le fait de réparer ses erreurs

    Les anciens pensaient qu’il était très important de réparer ses propres erreurs – c’était une façon de cultiver la vertu. C’était aussi une importante question d’introspection et de cultivation. Les anciens croyaient que même un saint pouvait faire des erreurs. Dans " les Classiques " il est dit que nul homme n’est infaillible, et qu'être capable de corriger ses erreurs est la plus noble des vertus ...
  • Une promenade à travers la littérature et l’histoire: Confucius valorisait la vertu et prônait l’Éducation (2eme Partie)

    Si quelque chose d’anormal survient dans la nature, les humains devraient réfléchir à leurs mauvais comportements. Si les êtres humains violent les lois du ciel, ils n’auront pas de bénédiction même s’ils prient. Un homme vertueux devrait savoir comment suivre les lois du ciel. Un homme qui y aspire devrait être proche des saints, des vertueux et de ceux qui suivent le Tao, ainsi il pourra apprendre de leurs enseignements ...
  • Une promenade à travers la littérature et l’histoire: Confucius valorisait la vertu et prônait l’éducation (1ere Partie)

    Confucius dédiait sa vie à faire avancer et à prôner la culture traditionnelle chinoise en faisant de la culture et de l’éducation une partie importante de la vie. Il éduquait les gens, leur enseignait le comportement humain approprié et insistait sur la façon morale de gérer les affaires courantes et de résoudre les problèmes de la vie. Ci-dessous quelques histoires tirées des Analectes de Confucius et des Préceptes de Confucius pour sa famille....
  • Une leçon tirée de la récitation des Soutras bouddhistes par le général Qi Jiguang

    Qi Jiguang était un général connu pour avoir fait battre en retraite les pirates Japonais sous la Dynastie Ming. Le général Qi n'était pas seulement un protecteur du pays et une personne qui prenait soin des citoyens, mais aussi un croyant bouddhiste...
  • Révérer le ciel, accepter son destin et remplir ses devoirs

    Han Qi,Premier ministre sous le règne de trois empereurs pendant la dynastie Song, disait : " Je suis les principes de loyauté et de maîtrise de soi, donc lors de situations difficiles je n’ai pas peur de la vie ou de la mort. J’ai de la chance d’être en vie et d’avoir accompli une mission. Mes accomplissements viennent des bénédictions du ciel, non de ma compétence. " ...
  • La chance de Zhang Baozang

    Zhang Baozang était un petit fonctionnaire de gouvernement qui vivait à Jinwu durant la Dynastie Tang. Un jour alors qu’il rentrait chez lui, il vit un jeune homme qui chassait. Le jeune homme se restaurait et avait apporté avec lui de la viande fraîche. Zhang Baozang s’appuya contre un arbre soupira profondément, "Moi, Zhang Baozhang, j’ai presque 70 ans. Je n’ai jamais pu me permettre de manger de la viande et de boire du vin comme cela. Quel malheur."...
  • Strict avec soi-même et indulgent avec les autres

    Fan Chunren (1027~1101 après J.C, second fils de Fan Zhongyan, auteur prestigieux dans l’histoire chinoise) était un célèbre érudit et une figure politique importante sous la dynastie Song (960~ 1279 après J.C). Il a toujours mis ses fils en garde : ‘’La personne la plus stupide peut être très claire d’esprit s'agissant de trouver des fautes chez les autres, et la personne la plus intelligente peut avoir l’esprit confus en se pardonnant ses propres erreurs ...
  • La voie de la "Tolérance" dans la culture traditionnelle chinoise

    La nation chinoise a une grande capacité de tolérance. Être capable de tolérer et de s’accommoder est considéré comme une vertu traditionnelle dans la culture chinoise depuis les temps les plus anciens. Le Confucianisme prône la sainteté intérieure, le Daoisme insiste sur le maintien de la douceur, et l’école de Bouddha parle de compassion. Les trois enseignements portent la connotation intérieure de "Tolérance. "...