Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Les crimes de Gong Chuanxing, capitaine de la brigade de la sécurité nationale à l’encontre des pratiquants de Falun Gong

    Durant les quatre dernières années, le capitaine de la brigade de la sécurité nationale, Gong Chuanxing et ses hommes ont persécuté de nombreux pratiquants de la région et leur famille. Dans l’intention d’exposer leurs crimes et d’aider à arrêter la persécution nous allons établir une liste des crimes commis à ce jour et nous continuerons à faire de même dans le futur.
  • Les fonctionnaires de la ville de Daqing dans la région de Datong essaient de fabriquer un « Suicide du Falun Gong ».

    Les fonctionnaires de Datong ont appris la mort de Kong et sont venus avec un docteur chez lui.. Ils ont immédiatement voulu ouvrir l'estomac de l'homme décédé. Ils ont demandé à la famille de Kong de dire que Kong Zhaoyuan était devenu fou en raison de la pratique du Falun Gong. Ils leur ont même garanti de payer le coût des funérailles s'ils disaient cela . La famille de Kong Zhaoyuan a refusé, disant que le vieil homme ne pouvait aller aux funérailles avec une blessure à l’estomac « infligée par lui-même » , et il n'y avait aucun pratiquant de Falun Gong dans le village. Les fonctionnaires de Datong les ont alors menacés en disant « Si vous ne faites pas ce que l’on vous demande, nous vous accuserons d’avoir maltraité le vieil homme. »
  • Des méthodes de tortures sordides sont utilisées par la police au camp de travaux forcés no.3, dans la province de Henan

    Les brutes ont pour contraindre les pratiquants à renoncer à leur croyance utilisé la violence, les torturant et persécutant mentalement et physiquement par toutes sortes de moyens : les abus physiques, les coups, les attacher avec des cordes, l’électricité, les coups de matraque, les faire se tenir debout face au mur, « griller un mouton entier » [le garde menotte les pieds et les mains du pratiquant, puis suspend les menottes sur un bâton horizontal. Ils ont soumis les pratiquants à cette cruelle torture pendant des périodes aussi longues que 11 heures], l'interdiction de dormir pendant de longues périodes, incitant les prisonniers toxicomanes et les voleurs à torturer les pratiquants de Falun Gong.
  • Le Camp de Travail Forcé de Changlinzi utilise des pratiquants comme esclaves, les forçant à produire des bâtons de police pour la circulation et des cure-dents

    Le camp de travail les force à travailler jusqu’à 16 ou 17 heures par jour. Ceux qui ne peuvent pas travailler aussi vite finissent par devoir travailler jour et nuit. Des pâtes et du pain sont la seul nourriture à laquelle ils dont droit. On ne les a nourri un peu mieux que le 24 avril, jour où les cadres supérieurs sont venus inspecter le camp. Ils sont constamment torturés à l’électricité et battus. Ici la police a totalement perdu contrôle en persécutant les pratiquants de Falun Gong. Ils commencent souvent à torturer les pratiquants après le repas. Certains on même gavé les pratiquants de force avec de l’alcool.
  • Mme Xiao Yali est brutalement alimentée de force dans le Centre de Détention de la Ville de Shuangcheng

    La police demanda que le corps soit incinéré immédiatement, mais les proches protestèrent énergiquement. Ils se rendirent au bureau judiciaire de la Ville de Harbin pour demander de l’aide, seulement pour s’entendre dire que les avocats n’étaient pas autorisés à représenter les pratiquants de Falun Gong. Le 13 mars, le corps de Xiao Yali fut incinéré. Par la suite, un garde du centre de détention révéla que la personne responsable de l’alimentation forcée de mme Xiao était un médecin du nom de Wang Shiyuan de l’Hôpital du Peuple N°3 de la Ville de Shuangcheng.
  • La pratiquante Zhang Haiyan originaire du Comté de Heishan, dans la Province de Liaoning, est morte après avoir été soumise à des persécutions inhumaines au Camp de Travaux Forcés de Masanjia

    D’après certaines sources, durant sa détention Zhang Haiyan a refusé de renoncer à ses convictions au Falun Gong, elle a entamé une grève de la faim pour protester de cette détention illégale. Suite à cela, elle a été menottée et pendue [1], attachée par des cordes, et violemment battue. Les policiers ont essayé de la forcer à abandonner ses convictions. Pendant plus de deux ans elle a été violemment torturée. Elle en est restée psychologiquement dévastée et le corps couvert de plaies. Le 21 mars 2003, alors que sa famille la ramenait chez elle, elle était déjà trop affectée mentalement et ne pouvait plus prendre soin d’elle-même. Elle avait des plaies à la tête, sur les mains et d’autres parties du corps. Elle est morte le 18 janvier 2004.
  • Meurtre de Gu Xiuxian pratiquant de Dafa et d’autres en résultat de la torture aux mains de la police de la ville de Shuangcheng

    Avant le 10 mars, plus de cinquante pratiquants de Dafa ont été illégalement arrêtés. La plupart d’entre eux ont été kidnappés chez eux dans les régions rurales. On sait que trois pratiquants de Dafa sont morts en détention. Mme Gu Xiuxian, environ 35 ans, une résidente de la ville de Shuangcheng, a été torturée à mort durant une alimentation forcée par intubation. Les détails des autres morts sont en attente d’enquête.
  • Une conférencière Li Xianghong condamnée à onze ans de Prison

    Le 20 juillet 1999, le régime de Jiang a lancé la persécution contre les pratiquants de Falun Gong, mais Li Xianghong n’a pas renoncé à sa croyance. En octobre 1999, elle a été placée de force dans le Quatrième Hôpital de Xinjiang (un hôpital pour malades mentaux) malgré qu’elle n’ait aucun antécédent de maladie mentale, et y a été détenue pendant deux mois, où on lui a injecté de force des produits dommageables pour le système nerveux.
  • Une famille de pratiquants de Falun Gong est brutalement persécutée pour leur croyance; incapable de soutenir la persécution, les deux parents meurent

    Après que j'aie été libérée, j'ai été choquée d’apprendre ce qui s'était produit avec ma famille. Ma vieille mère n’avait pu supporter la grande pression mentale et elle était morte. Le 20 juillet, ma fille a été sans justification arrêtée. Seulement mon mari, mon petit-fils de 2 ans et moi avons été laissés à la maison. Après avoir fini les arrangements funèbres, mon mari et moi sommes allés partout pour savoir où était ma fille. Pour obtenir plus d'argent, la police a envoyé ma fille au centre de détention 1 de la ville de Shijiazhuang et a prétendu qu'ils libéreraient ma fille seulement après le paiement de 5.000 Yuan.
  • Mme. Wang Shupei est torturée par le personnel du « bureau 610 » dans le centre de lavage de cerveau de la ville de Zhaoyuan

    À présent, après une longue période de persécution par le personnel du "bureau 610", Wang Shupei est agonisante et elle a été admise à l’hôpital pour traitement d’urgence. Les faits sur les raisons de son état ont été expliqués aux médecins, mais ils n'ont exprimé aucune inquiétude. Un électrocardiogramme a clairement montré les dommages provoqués par la torture, mais tous les médecins, effrayés des représailles par les autorités du "bureau 610", ont dit que sa santé était bonne.
  • Une pratiquante détenue sept fois en deux ans alors que deux membres de sa famille sont décédés.

    Pendant ma détention au camp de travaux forcés, mon père était seul. Il parlait à quiconque il rencontrait. Dés qu’il voyait un agent de police, il demandait à cette personne de nous transmettre de bons mots au camp de travaux forcés, et il exprimait son souhait de me voir. Après que j’ai été jetée dans le camp de travaux forcés, il a été hospitalisé et était mourrant. Mon mari est venu au camp de travaux forcés pour essayer de me faire rentrer et rendre visite à mon père, mais le camp de travaux forcés a refusé. Ainsi, mon père est décédé quand j’étais emprisonnée.
  • La famille de pratiquants de Falun Gong est brutalement persécutée pour leur croyance; incapable de soutenir la persécution, les deux parents meurent

    Pendant cette détention d'un mois, j'ai été soumise à toutes sortes de torture. Après que j'aie été libérée du centre de détention, les autorités du commissariat de police m'ont détenue 20 jours de plus. On ne m'a pas permis de dormir. J'ai été menottée 24 heures sur 24. Mes mollets sont devenues enflés et aussi épais que mes cuisses, ainsi je ne pouvais pas plier mes jambes. Le chef de police Zhang Guohui et l'instructeur politique Zhang Jianliang ont extorqué 5.000 Yuan à mes membres de famille avant de me libérer. Après que j'aie été torturée pendant plus de 2 mois, mon père qui avait plus de 70 ans, m’a vue et a été plein de peine et d’indignation. Le neuvième jour après ma libération, il est mort.
  • Mme Zou Wenyu perd la vue après qu’on lui ait injecté des substances inconnues au camp de travaux forcés de Baimalong.

    Les pratiquants de Falun Gong sont torturés de manière inhumaine en détention. Le personnel du camp de travaux forcés de Baimalong dans la ville Zhuzhou, province de Human, a injecté des substances inconnues à Mme Zou. En conséquence elle est devenue aveugle et sourde. Elle est maintenant handicapée et a du mal à s’occuper d’elle même. Le camp de travaux forcés n’a pas demandé au mari de Mme Zou de venir la chercher - son état a empiré et sa santé s’est détériorée.
  • La pratiquante de Dafa Mme Ma Liqin se retrouve paralysée après avoir été torturée par la police

    Le 5 mars 2002, Mme Ma fut arrêtée par le policier Qin Yong du Poste de Police Dongfeng du District de Xinxing parce qu'elle pratique le Falun Gong. Elle fut envoyée plus tard au Centre de Détention N° 2 de Beishan. Le 15 mars, le directeur du Centre de Détention N° 2, Yin Zhongliang, entraîna de force Mme Ma dans son bureau et la tortura violemment. Il lui donna des coups de pieds, écrasa sa tête contre le mur, et cogna son visage. La torture provoqua des contusions sur tout son corps, et sa tête devint terriblement enflée. Mme Ma perdit conscience sur place. Mme Ma reprit conscience quatre jours plus tard, mais elle ne pouvait plus bouger.
  • Un policier de la ville de Baochang, en Mongolie, enlève brutalement une frêle pratiquante

    "Vers 4 ou 5 heure de l’après midi, une journée en avril, alors que je passais devant l’édifice du bureau des Grains, une scène devant une boutique de vêtements m'interpella. Je vis 4 ou 5 hommes entourer une femme; un des hommes l'a empoigné d' une main et l’a jetée à terre du haut d’un escalier. Un comportement aussi cruel et violant m’a sidéré. En regardant de plus près, j’ai découvert que l’homme était le policier, Zhao Baoming, en civil, suivi de près par deux autres policiers en civil également. Les trois hommes ont traîné de force cette femme dans une camionnette. Évidemment, elle ne voulait pas les suivre . Elle s’est débattue de toute ses forces en criant : « Je pratique le Falun Gong. Je suis une bonne personne. C’est une persécution ! »