Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Une fillette de cinq ans de la ville de Dalian veut que son père rentre à la maison (Photos)

    M. Miao Junjie vit dans la région de Jinzhou, ville de Dalian, province de Liaoning. Il a été condamné à neuf ans dans la neuvième section de la prison de Wafangdian. Le personnel de la prison empêche non seulement sa famille de lui apporter quoi que ce soit, mais ils ne permettent pas non plus à sa mère de lui rendre visite. Sa fille de cinq ans, Zhenzhen, ne peut le voir qu’une fois par mois avec sa mère pour une demie heure chaque fois. Lorsque Zhenzhen voit les pères venir chercher d’autres enfants à la maternelle, elle demande toujours à sa mère « Quand reviendra mon papa ? Papa me manque ! »
  • Secours d'urgence demandé pour Sun Yongsheng, qui est près de la mort dans la seconde prison de la ville de Shenyang

    D'après les dernières nouvelles, M. Sun Yongsheng, pratiquant de Falun Gong de la ville de Fushun, Province Liaoning, après avoir été persécuté dans une cellule obscure de la 2nd prison de Shenyang, a fait une grève de la faim pendant plus de 13 jours et sa vie est en danger.
  • Mme Liang Tingting, pratiquante de Falun Dafa de Guangzhou, est de nouveau arrétée après avoir été persécutée pratiquement à mort par le Bureau 610

    Fin 2001, Liang Tingting a été kidnappée par les autorités et emmenée au Poste de Police d'où elle a été transférée dans la soi-disant "Ecole d'Education par la Loi de Dongshan", qui est en fait une classe de lavage de cerveau.. Mme Liang a refusé de renoncer au Falun Dafa. En novembre 2002, elle a entamé une grève de la faim qui a duré presque trois mois afin de protester contre la persécution. En conséquence, Liang Tingting a été envoyée dans une autre "école d'éducation par la loi" à Guangzhou. Là-bas, elle a subi davantage de torture inhumaine et brutale. Quand elle a finalement regagné sa liberté le 10 mars 2003, Liang ne pesait plus que trente kilos et était au seuil de la mort.
  • Dernières nouvelles au sujet du fils de Zhang Zhongrong, une pratiquante de Falun Gong de la ville de Deyang, province de Sichuan, qui a été torturée à mort

    Les malfaiteurs ont eux-mêmes conduit une autopsie et incinéré le corps de Zhang Zhongrong. Ils ont donné 12.000 yuans à la famille de Zhang Zhongrong comme compensation et ils se sont occupés de la cérémonie funèbre pour arranger l’affaire. On dit que le mari de Zhang Zhongrong a souffert d’un effondrement mental. Leurs récoltes sont laissées sans surveillance et leur famille est dans une situation très difficile. Leur fils est livré à lui-même.
  • La persécution du pratiquant M. Zhao et de toute sa famille à Shuangcheng (Photos)

    Je m’appelle Zhao Dehua et je suis un pratiquant du Falun Dafa de la ville de Shuangcheng, province de Heilongjiang. Le 30 décembre de l’an 2000, ma mère, ma femme, mes deux filles et moi sommes allés faire appel à Pékin pour le Falun Dafa. La police du commissariat de Tian An Men nous a arrêtés et nous a demandé nos noms. Je leur ai dit que mes actions de clarifier la vérité au sujet du Falun Dafa étaient légales et qu’ils ne devraient pas nous arrêter. Je ne leur ai donc donné ni mon nom ni mon empreinte digitale. La police a répliqué en me frappant à coups de poings et à coups de pied en me jetant au sol. Ils ont continué à me battre à terre pendant une demi-heure. Puis ils ont pris mon empreinte digitale de force.
  • Méthodes de tortures utilisées au camp de travaux forcés de Huanxiling, province de Jilin (photos de reconstitution)

  • Mme Zhang Yufen, pratiquante de Changchun est condamnée à la prison et on lui refuse un dernier au-revoir à son mari mourant

    Mme Zhang Yufen, 52 ans, est une pratiquante de Falun Dafa de Changchun, dans la province de Jilin. Le 16 septembre 2002, des officiers de police virent l’arrêter chez elle. Elle fut par la suite condamnée à cinq ans de prison et détenue à la prison pour femmes de Heizuizi. Après son arrestation, son mari de plus en plus anxieux et effrayé développa un cancer du foi et mourut le 5 octobre 2004. Tout au long de sa maladie terminale, les autorités de la prison interdirent à Mme Zhang de voir son mari. Elle ne put pas même lui faire ses derniers adieux.
  • Les pratiquantes de Falun Gong Mmes Ni Shuqin et Jiang Guiron de la Chine du Nord sont mortes suite à la torture

    Mme Ni Shuqin, de la province de Liaoning, a été arrêtée et détenue par la police à plusieurs reprises parce qu’elle refusait de renoncer à sa croyance en Falun Dafa. Elle a été torturée au point d’en être sérieusement malade et extrêmement faible.Mme Ni a été libérée sous caution pour traitement médical. Elle est morte le 13 mars 2005.
  • Matériel de référence: Le discours d’ Accuracy in Media sur le grand pare-feu de contrôle de l’information de la Chine

    Ce qui suit sont les remarques faites par Sherrie Gossett le 12 avril 2005 lors d’un forum au Club de la Presse à New York. Le thème était la décision du fournisseur satellite Français Eutelsat de cesser la diffusion de la télévision indépendante de langue Chinoise NTDTV en Chine, à la suite de contrats commerciaux lucratifs avec la Chine. Il a été aussi question de la situation générale du contrôle de l’information par Pékin.
  • M. Xu Chengben de la ville de Yantai, dans la province de Shandong est torturé au centre de detention Haidian de Pékin

    Alors que j’étais en chemin vers Pékin, j’ai été arrêté et envoyé au centre de détention Haidian de Pékin. Parce que je refusais de coopérer avec eux, la police a commandé à des détenus de me torturer. Je n’ai pas été autorisé à dormir. Dès que je m’assoupissais, ils me giflaient le visage. Ils ont utilisé un morceau de papier roulé qu’ils m’ont fourré dans le nez et les oreilles.. En novembre alors qu’il faisait déjà froid à Pékin, ils m’ont complètement déshabillé et à un endroit où personne ne pouvait voir, ils m’ont continuellement arrosé d’eau glacé pendant une heure. . Puis j’ai été forcé à étendre les bras sur un mur, avec la tête penchée. Mes jambes touchaient à peine le sol, les détenus ont utilisé un couteau pour me lacérer les fesses pendant plus d’une heure. Ils ont aussi rempli une bouteille de coca et l’ont attaché à mon pénis avec une corde.
  • Le Camp de Travaux forcés Longshan de Shenyang a utilisé des prisonniers pour persécuter Gao Rongrong

    Le 27 avril 2004, une détenue criminelle, Bi Shuhua, a torturé de manière répétée Mme Gao Rongrong. L’officier de police Teng Jiliang qui a vu cela lui a crié : « Vas-y, tu as mon soutien ! » Après que Teng soit parti, un autre officier, Wang Chunmei, a aussi crié : « Bi, c’est toi qui t’occupe de cela maintenant. Frappe-la à l’endroit que tu veux. »
  • Madame Yao Mei, pratiquante de Dafa de Liaoning, a été torturée brutalement par les policiers du Bureau de la Sécurité Publique de Liaoyang

    Au bureau public de sécurité de Liaoyang, la police l'a attachée à l’accoudoir d'un sofa et lui a demandé son nom. Yao Mei a refusé de répondre, alors le fonctionnaire Gao Fenghua a commencé à gifler son visage avec dureté. Après que sa main ait enflé, il a commencé à la gifler avec une paire de pantoufles et l'a forcée à donner son nom. Yao Mei n'a jamais coopéré. Plusieurs policiers lui ont alors attaché les deux mains derrière le dos. Ils lui ont plaqué le dos contre une chaise. Ils lui ont levé les mains (derrière le dos de la chaise) et les ont appuyées contre une boîte en bois. Un autre officier a pris une bassine et l’a retournée, puis ils lui ont mis les jambes sur la bassine. Gao Fenghua s'est assis devant elle. Dans cette posture douloureuse, Yao Mei pouvait à peine respirer ...
  • Un gardien de prison : « Je peux te tuer de la manière qu’il me plaira et déclarer ta mort comme un suicide »

    Le camp de travaux forcé de Qingdao dans la province de Shandong persécute les pratiquants depuis le 20 juillet 1999. Une unité spéciale qui a pour seul but de les torturer a été mise sur pied. Ils regroupent les pratiquants et les envoient dans des classes de lavage de cerveau. Un gardien de prison a dit à l'un d'eux : « Je peux te tuer de la manière qu’il me plaira et déclarer ta mort comme un suicide »
  • Dans l'hôpital de Xi'an Ankang, les pratiquants de Dafa se voient administrés des injections de drogues inconnues

    Xi’iang Ankang est l' hôpital d'un camp de travaux forcés sous la juridiction de la sécurité publique et du département législatif. Ce n'est pas un endroit où on soigne les gens, mais plutôt un endroit malveillant où des pratiquants sont torturés. Beaucoup d'entre eux qui ont fait des grèves de la faim sont envoyés là pour être persécutés davantage. Des pratiquants qui sont arrivés l’esprit clair ont reçu des injections de drogues inconnues employées pour traiter des maladies mentales. Ensuite ils sont devenus hagards et ils se sont mis à baver de façon incontrôlable. Actuellement, il y a là trois pratiquants qui y sont encore torturés.
  • La police locale de la ville de Shuangcheng a faussement incriminé un frère et une soeur et leur a imposés une lourde peine

    Kong Qingman a attaqué la demeure de An le 5 novembre 2001 et a enlevé An Ling et An Xing et exigé que leur frère An Yong lui donne de l’argent pour la rançon. Kong voulait huit mille yuans pour An Ling et dix mille yuans pour An Xing. Kong a menacé de les condamner à sept ou huit ans de prison. An Yong a refusé de coopérer. Kong a commencé à fabriquer des preuves contre Ling et Xing et les a également soumis à des tortures cruelles. An Xing a dû endurer la “grande pendaison.” Lors de cette torture chaque membre est menotté à un lit superposé et les lits sont ensuite tirés dans des directions opposées. Xing a souffert de douleurs insupportables. Il a également été battu avec des tuyaux remplis de sable.