Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Diriger l’attention de la communauté internationale sur la situation de Jiang Rengzheng d’Allemagne, qui a été renvoyé en Chine et est maintenant dans un camp de travail forcé

    Il a été confirmé que le pratiquant de Falun Gong Jiang Renzheng, qui a été renvoyé en Chine d’Allemagne, a été emmené le 8 avril par cinq policiers du commissariat de Benxi dans la province de Liaoning. Deux des policiers étaient Li Zipping et Qu Yuanjun. Les membres de la famille de Jiang ont été informés par le poste de police qu’il avait été détenu dans le camp de travail forcé de Benxi. Nous appelons le Gouvernement allemand, le Parlement européen, la Commission des droits de l’homme des Nations Unies et tous ceux qui sont en quête de paix et de justice à défendre les droits de l’homme fondamentaux de Jiang Renzheng et de sa femme et à mettre fin à la persécution inhumaine.
  • Techniques de Torture au Camp de Travaux Forcés de Changlinzi dans la ville de Harbin utilisées contre les pratiquants du Falun Gong (Photos de reconstitution)

    De quatre à cinq détenus criminels (1) forcent un pratiquant au sol, le visage vers le bas; les bras sont tirés vers l'arrière et tenus par deux détenus; deux autres détenus tiennent les jambes tout en tordant les pieds aux chevilles, ainsi les orteils se dirigent à l'extérieur. Les deux détenus tenant les bras forcent alors les bras pour aller à l’encontre de la courbure normale des jointures. Ils poussent les bras de force jusqu'à ce qu'ils soient à un angle de 90 à 180 degrés avec le dos.
  • Atrocités commises au moment du Nouvel An dans la prison pour femmes de Harbin, province du Heilongjiang

    Du 21 au 31 décembre 2004, parce que les pratiquantes de Dafa du premier quartier de la prison pour femmes de Harbin ont refusé de coopérer avec l'oppresseur, de porter l'uniforme de la prison ou d'être fouillées, elles ont subi divers types de torture. La prison s'est constituée elle-même comme un centre de lavage de cerveau. Les fonctionnaires adoptent des moyens toujours plus cruels pour torturer les pratiquantes de Dafa.
  • A la prison de Harbin, on stimule le cœur d’une pratiquante sans connaissance pour la torturer de nouveau

    La loi chinoise défend explicitement de pratiquer la torture de la « grande pendaison ». Mais Xu Longjiang et Liu Zhiqiang, les chefs de la Prison pour femmes de Harbin, recourent souvent à cette forme de torture pour persécuter les pratiquantes de Falun Gong. La « grande pendaison » consiste à attacher les mains de la victime dans son dos, avec un bras passant au dessus des épaules et l’autre par en bas. On suspend ensuite la victime en laissant seulement ses orteils toucher le sol. La douleur causée est telle qu’elle s’évanouit rapidement.
  • Les persécuteurs de la prison de Jilin ont persécuté Liu Jingxin, pratiquant de Changchun et l’ont laissé avec un corps affaibli et des yeux sans vie

    Au moment où ses proches ont pu lui rendre visite, Liu avait déjà souffert pendant 36 jours, dont 12 jours de torture intense. Il fut menotté au lit pendant trois jours à la suite et les neufs jours suivants ont inclus « assis sur la planche » où il fut forcé à s’asseoir sans bouger d’un millimètre dans la même position pendant 18 heures ou risquer d’être frappé. Il fut aussi sujet à d’autres formes d’abus physiques et mentaux.
  • La pratiquante de Falun Dafa, Mme. Chen Huixuan, est torturée à mort

    Mme. Chen Huixuan était une pratiquante de Falun Dafa de 57 ans. Elle cultivait fermement le Falun Dafa et a été arrêtée par la police à de nombreuses reprises. Elle a été kidnappée et condamnée à 3 ans de travaux forcés au camp de Wanjia. Après avoir été torturée mentalement et physiquement, elle est morte le 21 mars 2005.
  • Ne pouvant supporter la persécution, le mari d’une pratiquante met fin à sa vie

    En 2002, la pratiquante de Falun Gong Zhang Min de la ville de Weifang, province de Shandog, a été rapportée aux autorités lorsqu’elle distribuait des documents clarifiant la vérité. Elle s’est échappée mais son mari Chu Zhiming, qui n’est pas pratiquant, a été emmené par la police. Chu Zhiming ne pouvait supporter la persécution et il a pris du poison pour se suicider. Afin d’éviter la persécution, Zhang Min a quitté la maison et elle est à présent encore sans-abri.
  • Le régime pervers de Jiang, vu à travers la souffrance d'une femme de 70 ans.

    Je suis une femme de soixante dix ans qui a été forcée à être sans abri pendant prés de trois ans, simplement parce que j'ai distribué des dépliants qui exposent les mensonges à propos du Falun Gong . Le 7 janvier 2002, je suis sortie pour distribuer des documents de clarification de la vérité . Tout se passait bien jusqu'à ce que j'affiche un dépliant avec les vœux de Bonne Année sur un mur. Un policier m'a empoignée. Il m'a interrogée et a demandé où j'avais eu le matériel. Je ne lui ai pas dit. Il a dit, « j'ai des moyens de vous faire parler . Je peux vous faire mourir une fois que j'aurai les informations»
  • Un couple de la ville de Dezhou a été envoyé aux camps de travaux forcés ; leur fils de 10 ans a de nouveau perdu ses parents

    Au milieu du mois de décembre 2004, la police a arrêté M. Luo Yulin et Mme Meng Qingwen, un couple de la ville de Dezhou, province de Shandong, et les a envoyés dans un camp de travaux forcés. Leur fils de 10 ans Luo Daming a été alors privé des soins de ses parents. La mère de M. Luo est âgée de plus de 80 ans et sa condition physique est si mauvaise qu’elle est presque dans le coma ; sa belle mère a des problèmes cardiaques. Toutes deux ont besoin de soins. Cependant personne ne peut s’occuper de Luo Daming et des deux femmes âgées.
  • J'ai été torturée dans le sous-sol de l’hôpital de la police de Pékin

    Le 19 décembre 2004, j'ai été illégalement arrêtée et envoyée au centre de détention du canton de Xuanwu pour avoir clarifié la vérité et distribué des documents. J'ai commencé une grève de la faim immédiatement pour protester contre mon arrestation et ma détention illégales. Après cinq jours, j'ai été envoyée au sous-sol de l'hôpital de la police de Pékin. J'ai été traînée dans une salle où deux policières ont arraché mes vêtements et ont commencé à me jeter de l'eau froide sur tout le corps. Il faisait très froid, on était en décembre. Alors elles m'ont forcée à me coucher sur un lit en métal et ont attaché mes mains et mes chevilles aux barrières latérales du lit. Après, elles m'ont injecté des drogues par IV qui m’ont donné une sensation de froid intense. Pendant ce temps, trois patientes criminelles dans la même salle essayaient de me soutirer mon nom et mon adresse pour la police.
  • Des fonctionnaires corrompus en Mongolie Intérieure conspirent pour priver une pratiquante de Falun Gong de sa terre

    Je suis pratiquante de Falun Gong depuis 1998. Après le 20 juillet 1999, je suis allée paisiblement et en toute légalité faire appel pour Falun Gong à Beijing. Les fonctionnaires corrompus du Parti Communiste Chinois (PCC) de mon village sont venus me harceler chez moi, nuit et jour. Même à minuit, ils m’ont obligée à aller aux bureaux gouvernementaux du village, pour un interrogatoire. Ils ont monté un coup et introduit une discrimination contre moi ainsi que mon fils et ma fille. A cette époque, mon fils n’avait que 16 ans et ma fille, 12.
  • Déterminés dans leur quête de justice et restant fermes dans leur croyance face à la brutalité

    Les pratiquants ont été illégalement jugés ou même envoyés dans les camps de travaux forcés, centres de détention et centres de lavage de cerveau sans juste procès. Il est interdit aux avocats qu’ils engagent de présenter un plaidoyer d’innocence pour leur défense. Les auditions devant la cour sont à huis clos et il est interdit aux famille de faire réviser le bien-fondé de leur jugement. Il est interdit aux pratiquants de faire appel aux cours supérieures. Dans de telles conditions, les pratiquants à travers le pays, leur famille et les gens dans le domaine judiciaire et légal, y compris les avocats, n’ont pas abandonné leur quête de justice et le dépôt des poursuites judiciaires contre leurs persécuteurs.
  • Comment les malfaiteurs dans les commissariats de police, les camps de travaux forcés et le comité du Parti dévastent la conscience et assassinent l'esprit

    Ci-dessous une histoire vraie concernant la persécution sauvage et impitoyable d'une pratiquante de Falun Gong, Mme Wang Zhijun, qui a finalement trahi sa conscience et qui, d'une bonne et honnête personne, est devenue une personne qui diffame le Falun Gong et persécute les pratiquants pour venir en aide à ses bourreaux. Elle n'a pas le courage d’admettre qu’elle a été torturée en raison de la contrainte et de la pression qui lui ont été imposées.
  • Les organes génitaux de Zhou Bin ont été gravement blessés dans la prison de Tilanqiao, à Shanghai

    Dans la prison de Tilanqiao de Shanghai, le 24 février 2005, le pratiquant de Falun Dafa M. Zhou, qui était menotté dans une petite cellule, a été brutalement battu par le détenu de garde sous les ordres des gardiens de prison. Les organes génitaux de Zhou Bin ont été gravement blessés. Quand le gardien de prison a vu que Zhou Bin allait peut-être mourir, ils l’ont envoyé à l’hôpital. Après avoir commis un crime d’une telle brutalité, ces policiers ont essayé de camoufler la vérité et ont dit aux autres prisonniers de mentir
  • En 2002 on a tiré sur des pratiquants, puis on les a arrêtés et torturés dans le centre de détention de la ville de Liaoyang en 2003

    Le 12 octobre 2002, les pratiquants de Dafa Wang Jingchun et Wang Jinping un couple qui vivait dans la ville de Liaoying dans la province de Liaoning était parti en motocyclette pour coller des dépliants clarifiant les faits de la persécution sur une autoroute. La police les a vus et a décidé de les arrêter. Pendant l’arrestation illégale, la police a tiré deux fois sur eux (les ordres des autorités supérieures sont – quand la police voit des pratiquants coller des dépliants exposant la persécution elle peut tirer à vue).