Sagesse traditionnelle
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Culture traditionnelle : Se contrôler et éliminer la colère
2006-12-17Hu Anguo était un célèbre théoricien et écrivain de la Dynastie Song. Toute sa vie il a essayé de se conformer à la conduite d’un sage. Il a servi son pays à plusieurs niveaux, dont le plus haut en tant qu’« Erudit de Baowenge ». Quand il était jeune il n’avait aucune patience. Un jour fou de rage il a frappé un soldat. Le soldat a riposté. Hu a alors réalisé qu’être en colère n’était pas une bonne méthode pour régler un problème, alors il a pris un carnet de note et a commencé à transcrire des histoires tirées de la littérature en rapport avec la tolérance. Graduellement il est devenu de plus en plus patient et son esprit est devenu aussi plus tolérant.
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Culture traditionnelle : Les gens de bien s’intéressent peu à la perte et au gain
2006-11-13Pendant la Dynastie Tang (618-907 A.C) la coupe d’argent de M. Liu Gongquan (778-856A.C) fut volée par un serviteur. Quand le serviteur fut nterrogé il dit n’avoir rien à faire avec cette histoire. Liu Gongquan sourit et dit : « « La coupe d’argent a dû s’élever au ciel en devenant une déité. » Dans la période Liang (502-557 A.C.) de la Dynastie Tang (420-589 A.C.), Zhang Shuai envoya son serviteur chercher trois mille livres de riz. Quand il revint il n’y avait plus que la moitié du riz. Le serviteur lui dit que les oiseaux et les souris avaient volé la moitié du riz. Zhuang Shuai sourit et dit : « Ces oiseaux et ces souris ont beaucoup de capacité ! » Liu Gongquan et Zhang Shuai ne cherchèrent pas à récupérer les biens qu’ils avaient perdu ce qui leur permit d’éviter les conflits en manifestant beaucoup de tolérance.
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Culture traditionnelle chinoise : "Les gens bienveillants apprécient les montagnes tandis que les sages aiment l'eau"
2006-11-12Confucius disait à ses étudiants: "Les gens sages aiment l'eau tandis que les gens bienveillants aiment les montagnes. Les sages ont une personnalité aussi pleine de vie que l'eau alors que les personnes bienveillantes sont aussi tranquilles que les montagnes. Les sages vivent heureux tandis que les personnes bienveillantes jouissent de la longévité."
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Histoires de la Chine ancienne: La sincérité et la révérence peuvent remuer les cieux
2006-11-08Durant l'été de l'année Qingli à l'ère de Song Renzong, il y eut une terrible sécheresse dans la capitale. Le fonctionnaire des Admonestations Wang Su demanda à l'Empereur Song Renzong de prier personnellement pour la pluie. L'Empereur dit: "Le responsable de l'astronomie a déclaré qu'il pleuvrait le deuxième jour de ce mois, aussi je me préparerai à prier pour la pluie le premier jour." Wang Su répondit: "Je ne suis pas responsable de l'astronomie, mais je suis certain qu'il ne pleuvra pas ce jour là." L'Empereur demanda pourquoi.
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Culture traditionnelle chinoise: Un homme indulgent gagne le respect de tous
2006-11-06Un jour, Li Jinglue tint un banquet pour l'armée. Ren Dijian arriva en retard pour le banquet; aussi fut-il obligé de boire une grande coupe de vin en punition. Cependant, le serveur prit par mégarde une bouteille de vinaigre en guise de vin et il lui versa une grande coupe de vinaigre. Ren Dijian sut que c'était du vinaigre quant il leva la coupe à ses lèvres. Mais il savait que Li Jinglue était un homme austère et strict. Si Li Jinglue apprenait que le serviteur lui avait donné du vinaigre au lieu de vin, ce dernier aurait certainement été exécuté ...
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Récits du Bouddhisme : N'accepter les offrandes que des riches
2006-10-26Le disciple de Bouddha Subhuti ne demandait l’aumône que de ceux qui étaient riches. Il ne s’est jamais rendu chez les pauvres parce qu’il savait qu’ils vivaient déjà dans les épreuves et qu’il leur serait très difficile d’offrir en plus des offrandes. Ainsi lorsque les disciples de Bouddha quittaient le temple pour aller quémander, Subhuti s’en allait seul. Peu importe la distance qu’il devait couvrir et la faim qui le tenaillait, il ne s’est jamais rendu chez les pauvres leur demander des offrandes.
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Un conte mongol : Hailibu, le chasseur au grand coeur
2006-10-24Dans les prairies mongoles il y avait un chasseur au grand coeur du nom de Hailibu. Après chaque chasse, il partageait la viande entre les villageois et ne gardait qu'une petite portion pour lui-même. Son attention pour les autres lui valait un grand respect dans le village.
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Histoires de la Chine ancienne : L’adversité mène à des histoires de succès
2006-10-23La plupart de ceux qui dans les temps anciens avaient de l’ambition ont accompli de grandes choses après avoir appris la ténacité et la persévérance à travers les adversités. Bien qu’ils aient souffert dans un environnement médiocre et dur, ils ont fermement gardé leur croyance avec une grande volonté et une persévérance. Ils sont devenus des modèles pour les générations futures. On se rappelle toujours de leurs histoires qui encouragent les gens à dépasser les difficultés et les épreuves jusqu’au succès.
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Accumuler de la vertu apporte des bénédictions alors que perdre de la vertu amène le malheur
2006-10-17Chen Gongcai était un homme au talent littéraire remarquable. Un jour dans un rêve, un être divin lui dit qu'il était" l'Erudit Numéro Un parmi les Ivrognes," et devrait continuer à passer les examens impériaux aux différents niveaux. Après s'être réveillé, il se sentit perplexe, il interrogea d’autres personnes à propos de ce rêve. Quelqu'un dit: "Le caractère (chinois) 'ivre' n'est-il pas constitué de deux parties Xin et You, et quand ils sont combinés, Xin et You n'indiquent ils pas une année particulière dans le calendrier lunaire chinois? Cela veut probablement dire que vous deviendrez l'Erudit Numéro Un au plus haut examen impérial dans l'année de Xinyou."
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Le bien et le mal naissent d'une seule pensée spontanée ; La rétribution karmique est toujours juste
2006-10-14Yuan Zishi de la province de Shandong naquit à l'ère Zhizheng ( 1341 ¡V 1368 Ap JC.) pendant le règne de l'empereur Huizhong de la dynastie Yuan ( 1271 ¡V 1368 AP JC.). Il avait un ami proche appelé Miu Qianhu. Miu a eu besoin d'une grosse somme d'argent pour voyager dans le sud de la province de Fujian pour décrocher un poste de surveillance dans le gouvernement local. Yuan lui prêta avec bonté 300 pièces d' argent. Ils avaient été de bons amis depuis l'enfance, ainsi Yuan Zishi ne demanda même pas à Miu de certificat d'endettement...
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Changer son destin en accumulant de la vertu
2006-10-08Dans les premières années de la Dynastie Ming, il y avait un homme appelé Zheng Xingr. Il travaillait en tant que serviteur dans la maison d'un fonctionnaire de la cour dont le nom était Wang. Zheng Xingr était très honnête et diligent et son maître le traitait également très bien. Un jour, un célèbre diseur de bonne aventure, Yuan Shangbao, arriva dans la maison de Wang, et après qu'il ait vu Zheng Xingr, dit à Wang que celui-ci lui apporterait de la malchance s'il le gardait sous son toit. Avec grand regret, Wang demanda à son serviteur de quitter sa maison et de chercher ailleurs son gagne-pain ...
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Le Ciel protège les bonnes personnes
2006-10-06Au début du règne de l'Empereur Jiajing (1507-1576) dans la Dynastie Ming (1368-1644), M. Jin avait un boutique de prêteur sur gage dans une ville du comté de Yizhen. Une fois, presque toutes les riches familles de la ville furent volées, mais la boutique de M. Jin ne fut pas touchée. Le Chef du comté pensait que les voleurs devaient connaître M. Jin, et que c'était la raison pour laquelle ils avaient épargné sa maison.
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"Le Moine le saura si vous développez une pensée déviée"
2006-10-05Dans le livre: Livres Anciens, Règle Miraculeuse, volume 125, il y des contes d'un moine respecté de l'Inde, nommé Fotudeng, qui est resté en Chine pendant presque 40 ans. Il avait un haut niveau de vertu et il manifestait de nombreux pouvoirs divins, tel que la faculté de voir le passé, celle de la clairvoyance et la faculté de télépathie ...
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Une histoire de cultivation de la Chine ancienne - Avaler le Dan
2006-10-04Le monde est rempli d'illusions et il se peut que ce que vous voyez avec vos propres yeux ne soit pas vrai. Il y a longtemps de ça, Wei Boyang de l’état de Wu, avait pris trois disciples pour cultiver le Tao et le Dan (1) dans les montagnes. Après plusieurs années d’une cultivation pénible, le Dan fut finalement complètement nourri. Au moment d’avaler le Dan, Wei Boyang découvrit que certains de ses disciples n’avaient pas complètement éliminé leurs mentalités de personnes ordinaires et alors il leur dit : " Le Dan a été complètement nourri et je ne sais pas s' il peut être consommé ou pas. Laissons le chien en manger d’abord un grain et si le chien monte au ciel, alors nous pourrons le manger et si le chien meurt alors nous ne pouvons pas l’avaler. "
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La piété filiale entretient la gentillesse
2006-10-02Traiter les personnes âgées de la famille avec obéissance et gentillesse est une vertu traditionnelle de la nation chinoise et un critère de moralité. Pourquoi les anciens mettaient-ils l'accent sur la piété filiale et lui donnaient-t-ils une telle importance? Parce que la piété filiale est liée de près à l'élévation de ses propres critères moraux. Pour être capable de pratiquer la piété filiale, la personne doit avoir un cœur bienveillant, le quel est une vertu nécessaire pour échanger avec les autres en société. Ceci est le plus important. La piété filiale inclut d'autres vertus telles qu'être reconnaissant, rendre la gentillesse, se souvenir de ses racines, respecter les anciens, et avoir la considération des autres.