Sagesse traditionnelle

  • Tenir sa famille strictement mais avec intégrité

    Dans la dynastie Tang (616-907 Av.J.C), il y avait un gentleman du nom de Li Jingrang, qui vivait dans la cité de Loyang, dans ce qui est aujourd’hui la province du Henan. Son père était mort jeune et sa mère, Zheng Shi (qui signifie que son nom de jeune fille est Zheng mais que son prénom est inconnu), tenait sa famille avec discipline mais aussi avec intégrité, et ses trois fils avaient réussi brillamment.
  • Histoires de la Chine ancienne : Un fonctionnaire sage et tolérant

    Wang Dan, un fonctionnaire de haut rang pendant la Dynastie Song, a recommandé Kou Zhun pour la position de Premier Ministre à l'Empereur. Après qu'il soit devenu Premier Ministre, Kou Zhun critiquait souvent les imperfections de Wang Dan devant l'Empereur, alors que Wang Dan félicitait toujours Kou Zhun devant l'Empereur...
  • Personnages de l’Histoire : Han Qi un homme franc à la grande tolérance

    Han Qi était le Duc de Wei Guo et un premier ministre dans la Dynastie Song. Quand il séjourna dans la ville de Xiangzhou, il passa une nuit dans une auberge locale pendant sa visite au temple de Confucius. Un voleur entra dans sa chambre avec un couteau et dit à Han Qi : « Je n’ai rien à manger, je vous demande votre aide. » ...
  • Histoires de la Chine ancienne : Juste et Injuste — L’histoire d’une fillette au bon coeur

    Une rivière coulait en lisière du village, et les villageois devaient traverser à gué pour aller chercher du bois de chauffage ou cultiver la terre de l’autre côté de la rivière. Dans les saisons pluvieuses, la rivière était souvent intraversable. Les villageois s’étaient habitués à vivre avec cet inconvénient, mais la petite fille avait une autre idée. Chaque jour, elle ramassait des cailloux alentours et les empilait sur la berge. Elle disait qu’elle voulait aider à construire un pont de pierre de sorte que les gens puissent traverser la rivière plus facilement. Les adultes commencèrent par rire de son rêve ...
  • De bonnes actions sont récompensées par la chance; de mauvaises actions blessent soi-même et ses descendants

    Un jour, une personne de Meizhou vola quelques navets. Il blessa accidentellement la propriétaire des navets avec son couteau. Un petit fonctionnaire local voulut faire montre de sa stricte application de la loi et pensa devoir accuser le voleur de vol avec violence. Le fonctionnaire acheta le gardien de prison et incarcéra le voleur pour vol avec violence. Lorsque les fonctionnaires du comté révisèrent les procès des prisonniers, le voleur sanglotait tant dans les couloirs que ses vêtements étaient trempés. Cheng Renba se trouva passer devant lui et pensa que le prisonnier avait pu être accusé injustement ...
  • Histoires de la Chine ancienne : Les recommandations sages et désintéressées de Qi Xi

    Dans la troisième année du règne du Duc Xiang de l’Etat de Lu lors de la Période Printemps et Automne (722-481 avant J-C) un officier militaire de haut-rang nommé Qi Xi décida de prendre sa retraite et de rentrer chez lui. Avant de partir, le Duc Dao de l’Etat de Jin lui demanda de lui recommander quelqu’un pour le remplacer. Qi Xi lui recommanda Jie Hu, en dépit même du fait qu’il fut son ennemi numéro un.
  • Histoires de l’ancienne Chine: L’humiliation de ramper entre les jambes d’une brute

    Han Xin, célèbre général sous la Dynastie des Han, il y a prés de 2200 ans, a fait de grandes contributions en aidant l’Empereur Liu Bang à établir la dynastie. Les accomplissements de Han Xin ont été loués par les Chinois jusque de nos jours, ainsi que sa grande capacité à endurer l’humiliation. Han Xin était habile dans le maniement de l’épée. Un jour, alors qu’il marchait dans la rue, portant son sabre, il fut arrêté par quelques hommes, faisant apparemment partie d’un gang. L’un d’entre eux, intimidant et rude, cria après Han Xin :’’ Eh ! Regarde-toi, tu ressembles à un lâche ! Pourquoi portes-tu une épée ?’’ ...
  • Ancienne histoire de cultivation : Compassion

    "Un jour d’hiver très froid, un homme démuni alla voir un moine au temple. Il tremblait de faim et de froid.L’homme dit au moine, “Vous pouvez voir comme j’ai faim et froid. Toute ma famille est malade et se trouve en danger de mort. Si vous pouvez faire quoi que ce soit pour que nous puissions rester en vie ne serait ce qu’un jour de plus, s’il vous plait, aidez-nous avec votre pitié et votre compassion...
  • Histoires de l’ancienne Chine : Exercer une retenue, laisser les bénéfices aux autres

    L’Empereur Guangwu Di ( 6 Avant J.C- 57 Après J.C), premier empereur de la Dynastie Han de l’Est, avait établi un institut avancé pour les enseignements du Confucianisme. Les principaux enseignants de l’institut étaient appelés Boshi. Parmi ces professeurs se trouvait Zhen Yu, érudit au cœur pur, droit, qui avait peu de désirs et qui souvent, déclinait modestement les bénéfices personnels.
  • A propos du "charme"

    Les gens d'aujourd'hui, qu'ils soient des hommes ou des femmes, veulent tous être "charmants". Cependant, le caractère chinois pour "charme" comprend le caractère "fantôme", lequel indique à l'origine le pouvoir d'illusion des esprits.
  • Anciennes histoires de cultivation : Devenir une nonne

    Il y a longtemps, dans l’agglomération de Taxila, il y avait un vieil homme respecté qui avait une fille très belle. Lorsque la fille eut seize ans, ses parents la marièrent à un élégant jeune homme. La vie était paisible. Peu après le mariage, la fille tomba enceinte. Mais bientôt son père mourut. Sa mère eut une relation charnelle avec son beau-fils. Lorsque la fille le découvrit, elle fut très triste, et quitta la famille après avoir donné naissance à sa fille.
  • Histoires de la Chine Ancienne : Faire un don à un monastère

    "Rohula était l’un des disciples de Sakyamuni. Parmi de nombreux pratiquants, il était le seul à avoir atteint un état spirituel considérablement élevé et les autres moines faisaient donc son éloge. Ceux qui pratiquaient le Bouddhisme à la maison lui vouaient un respect particulier. Par conséquent, Rohula recevait le plus de donations...
  • You Ruo échoue à obéir aux enseignements de Confucius

    L’échec de You Ruo à obéir à Confucius fut exposé peu de temps après qu'il soit devenu professeur. Incapable de répondre à beaucoup de questions des disciples, il fut secoué n’arrivant plus à trouver ses mots Dés lors, les disciples s’éveillèrent et lui demandèrent de céder sa position d’enseignant. Ils dirent : ‘’ Lorsque le Maître était vivant, quelles que soient les questions des disciples, il apportait des réponses avec perfection et subtilité, qui inspiraient réellement nos esprits. Tu ornes simplement tes réponses et ne comprends pas la subtilité du Tao. Tu ne mérites pas d’être notre professeur !’’
  • L’existence invisible

    Il était une fois un disciple d’une école bouddhiste qui pratiquait la cultivation avec son Maître. Un jour, le disciple était en train de méditer avec le Maître lorsqu’il lui demanda tout à coup : "Maître, Je ne peux pas voir le paradis de l’Ultime Félicité. Comment puis-je croire qu’il existe ?"
  • Les mots d'un philosophe chinois à propos de la piété filiale

    Le concept de piété filiale est essentiel dans le confucianisme, Zeng Zi, un philosophe et élève de Confucius a dit: « Il y a trois niveaux de piété filiale. Le meilleur est le respect de ses propres parents, le second est de ne pas ternir le nom des ses parents, et le niveau le plus bas est de subvenir à leurs besoins. »