Dans les camps de travail

  • Monsieur Peng Derong souffre d’un effondrement mental dû à des injections de drogues au camp de travaux forcés

    A la fin 2001, Zhou Jiangbo, un chef de section du département de police de Dong’an et d’autres policiers, dont Ji Liu ont arrêté Mr. Peng parce qu’il distribuait de tracts expliquant les faits à propos du Falun Gong. En détention, monsieur Peng refusa de renoncer au Falun Gong et fut envoyé au camp de travail forcé à Changsha dans la province du Hunan pour un an. Monsieur Peng s'est effondré mentalement à son retour chez lui. Quand il a retrouvé ses facultés après plus d'un mois il s'est souvenu avoir reçu des injections de drogues inconnues avant d’être relâché du camp de travaux forcés de Changsha
  • Mme Fuli perd l'usage de ses mains en résultat de la torture au camp de travail de Wanjia (photos)

    Au camp de travail forcé de Wanjia, Mme Fuli a enduré un traitement inhumain. Elle a été suspendue par les pouces, mise en isolation et torturée de diverses façons. Pour la suspendre par les pouces, la police lui a enroulé une corde autour des pouces et l'a ensuite suspendue avec la corde. Ses pouces ont dû supporter tout le poids du corps ! Après avoir été suspendue ainsi pendant une longue période, elle a eu les pouces déformés et a perdu l'usage de ses mains.
  • Liu Dianqin, pratiquante du Falun Gong, a souffert des abus inhumains au camp de travail forcé de Masanjia

    Cet article décrit les abus physiques et mentaux soufferts par Liu Dianqin pratiquante de la ville de Beipiao dans la province de Liaoning, sous la persécution, en particulier dans le camp de travail forcé de Masanjia. Madame Liu a été relâchée, mais demeure handicapée du fait des tortures subies.
  • Une méthode de torture utilisée sur les pratiquants du Falun Dafa au camp de travail de Wanjian : suspendre avec les deux mains menottées derrière

    Les policiers menottent les mains du pratiquants de Falun Dafa derrière le dos et attachent un morceau de corde sur le métal des menottes. Deux policiers prennent alors le pratiquant et utilisent la corde pour le suspendre à un tuyau en métal qui se trouve à trois mètre du sol. Le pratiquant est alors suspendu en l’air les pieds ne touchant pas terre et tout son poids est porté par ses épaules, ses bras et ses poignets.
  • Certaines des atrocités commises par le Centre d’Expédition du Camp de Travail Forcé de Beijing, le Camp de Travail de Tuanhe

    "Je suis un pratiquant de Falun Gong de Beijing. J’ai commencé à pratiquer le Falun Gong en 1997. Après que la persécution ait commencé, j’ai été détenu illégalement par la police locale cinq fois puis envoyé en camp de travail forcé. J’ai été détenu parce que j’ai appelé à la justice en faveur du Falun Gong, parce que je pratique le Falun Gong, et pour avoir distribué des matériaux pour clarifier les faits sur la persécution. Ma santé mentale et physique a été sérieusement endommagée pendant mon emprisonnement illégal dans le camp de travail forcé."
  • "Voulez-vous être brûlé à mort ou enterré vivant" hurlent les gardes du Camp de Travail forcé de Gaoyang

    Un soir entre le 20 et le 23 avril 2003, près de 30 gardes de prison ont emmené cinq pratiquants de Falun Gong dans un champ désert, et les ont poussés vers cinq feus de jardin en train de brûler. Chaque feu était séparé des autres par environ 3 mètres, avec à côté d’eux des trous déjà creusés. Il y avait 5 à 6 gardes près de chaque feu. Les gardes hurlaient aux pratiquants " Voulez vous être brûlés à mort ou enterré vivant ? Une mort rapide signifie moins de souffrance qu’une mort lente :" Sans terminer la phrase les gardes se tenant à côté des trous ont poussé Li Jinling dans le trou. Ils ont pelleté la terre jusqu’au niveau de sa poitrine. Une autre pratiquante, Son Guixian a été enterrée jusqu’au cou. Ensuite les gardes l’ont sortie du trou et soulevée juste au-dessus du feu. Des ampoules causées par le feu couvraient son dos. La torture a continué jusqu’au lever du jour.
  • L'épouse du pratiquant Huang Wenbiao, harcelée, a disparu, alors qu'il est emprisonné dans un camp de travaux forcés

    Le pratiquant de Falun Gong, M. Huang Wenbiao, est retourné dans la ville de Shenzhen, Chine, en 1997, après avoir étudié à l'étranger en Australie. Le caractère modeste et courtois de Huang lui a permis d'entretenir de bonnes relations avec ses connaissances aussi bien en Australie et que dans la ville de Shenzhen.
  • Collection spéciale – Dénoncer les pratiques d’exploitation dans les camps de travail chinois (Partie 1)

    En Chine dans les petits restaurants de bord de route, les baguettes jetables largement utilisées sont désignées sous le nom de baguettes "aseptisées". Elles sont d’usage courant dans les restaurants chinois d’outre-mer. Vous pouvez voir qu'elles ont été placées ensemble dans un emballage ou ont été empaquetées séparément avec la mention " Aseptisé pour votre Sécurité!" ; Selon une enquête en Chine, plus de 80% de ces baguettes n'ont jamais été aseptisées. La féroce concurrence de marché a rendu impossible le recouvrement de tous les coûts, ainsi quelques entreprises ont omis le processus d'aseptisation.
  • Mme. Wang Yan pratiquante de la ville de Dalian est morte en résultat des mauvais traitements au Camp de Travail Forcé de Masanjia

    Mme Wang Yan, était une pratiquante de Falun Dafa de la ville de Dalian, dans la province de Liaoning. En avril 2001, elle fut illégalement arrêtée et envoyée au Camp de Travail de Masanjia. En septembre 2003, elle fut relâchée. Ses membres de famille ramenèrent son corps sur leur dos. Elle est décédée 1er octobre . Les détails sont en cours d’enquête.
  • Zhang Jingqiong souffre de la rupture d’un ovaire suite aux coups violents assénés par un détenu au camp de travail forcé Shayang

    "Quand la sœur de Zhang l’a vue, elle a supplié les autorités de la laisser revenir à la maison afin de recevoir des traitements appropriés. Un policier nommé Fang a dit : " Il n’en est pas question. Si elle ne coopère pas avec nous [et renonce au Falun Gong], on procèdera à la chirurgie de toute façon." Un autre policier a dit : "Si elle n’abandonne pas sa pratique, et ne suit pas les règlements, même si elle meurt, ce n’est pas illégal. La loi est comme cela en Chine maintenant."
  • Revenue en Allemagne Xiong Wei, pratiquante de Falun Gong, dépeint la vie quotidienne dans un camp de travail chinois

    Pour beaucoup d'allemands, " Xiong Wei" n'est pas un nom chinois inconnu. Elle est âgée maintenant de 33 ans. Elle a étudié à l'Université Technique de Berlin de 1993 à 1999. Durant cette période, Xiong Wei a commencé à pratiquer le Falun Gong. Elle est retournée en Chine en 2000 et a travaillé dans la filiale de Beijing d'une compagnie allemande. Xiong Wei a été arrêtée par des policiers en civil le 5 janvier 2002 parce qu'elle distribuait des informations au sujet de Falun Gong à Beijing. Plus tard, elle a été envoyée dans le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de Beijing et y a été détenue pendant deux ans.
  • J’ai été forcée d’avorter à cinq mois de grossesse alors que j’étais détenue dans un camp de travail.

    Ma sœur a alors été détenue à la Division N°2. Elle a entendu que des toxicomanes parlaient de moi et s’est mise à pleurer de tristesse. Elle a informé le camp de travail de ma grossesse. Quelques jours plus tard, les autorités du camp ont informé ma famille et m’ont envoyé dans un hôpital avec une prescription d’avortement. Plusieurs gardiennes de prison m’ont dit que j’étais qualifiée pour être relâchée sous caution médicale. Plus tard, une chef a dit méchamment, « Sans qu’elle soit réformée, il n’y a aucune possibilité de la laisser sortir d’ici. » J’ai de nouveau été envoyée à l’hôpital et ils m’ont injecté un produit abortif. J’ai perdu mon bébé.
  • Le camp de travaux forcés de Masanjia soumet les pratiquants au travail d'esclave (Photo)

    Du lundi au vendredi, à 7 h 30 du matin, les pratiquants ont été forcés de lire des informations et des livres diffamant le Falun Dafa. Une courte pause aux environs de midi et le travail manuel recommençait à 13 heures et durait jusqu'à 20 heures, parfois jusqu'à 22 heures. Il y avait de nouvelles assignations chaque jour et les mains des pratiquants étaient enflées par le travail intensif. Les objets artisanaux de la Section pour Femmes N°2 de Masanjia étaient manufacturés sous de telles conditions. Du 8 au 11 avril 2004, un groupe d'inspection est arrivé pour faire sa visite, mais les fonctionnaires de Masanjia ont ordonné aux détenus de dissimuler la véritable situation et d'interpréter des chants et de la danse. Après que le groupe d'inspection soit parti, le travail manuel a repris.
  • Comment le camp de travaux forcés pour femmes de Moganshan dans la province de Zheijiang persécute les pratiquantes de Falun Dafa

    La « zone sous haute surveillance» est une cellule à l’intérieur d’une cellule et est une copie du tristement célèbre camp de travaux forcés de Masanjia. Il y a six cellules mesurant environ 4 mètres carré, construites spécifiquement pour persécuter les pratiquantes de Falun Gong. Les pratiquantes qui sont détenues dans ces cellules n’ont pas l’autorisation d’utiliser les toilettes et sont obligées de déféquer et d’uriner dans leurs cellules. De simples petites planches en bois posées à même le sol font office de lit. La porte métallique est fermée toute la journée. Dans la porte il y a une petite ouverture rectangulaire pour passer la nourriture. En hiver la cellule est très froide, cependant parmi les pratiquantes détenues il y a des femmes de plus de 70 ans. La plus jeune avait plus de 40 ans.
  • La police dans la Province du Sichuan intensifie la persécution des pratiquants du Falun Gong avant la visite de Jiang Zemin

    On a su que Jiang Zemin visiterait la ville de Guang'an dans la Province du Sichuan le 22 août. Les autorités des provinces du Sichuan, de Shaanxi et de Hubei, ainsi que de la ville de Chongqing ont décidé lors d'une brève réunion de surveiller étroitement certains groupes de gens. Leurs cibles principales sont les pratiquants de Falun Gong, ainsi que d'autres groupes tels que les ouvriers congédiés qui prévoient de faire appel au gouvernement à propos des injustices qu'ils ont endurées. Les autorités ont demandé aux départements concernés de contrôler étroitement ces soi-disant "éléments dangereux." Si quelque chose se passe mal durant la visite de Jiang, les chefs du département concernés seront immédiatement renvoyés.