Dans les camps de travail

  • Mme Zou Wenyu perd la vue après qu’on lui ait injecté des substances inconnues au camp de travaux forcés de Baimalong.

    Les pratiquants de Falun Gong sont torturés de manière inhumaine en détention. Le personnel du camp de travaux forcés de Baimalong dans la ville Zhuzhou, province de Human, a injecté des substances inconnues à Mme Zou. En conséquence elle est devenue aveugle et sourde. Elle est maintenant handicapée et a du mal à s’occuper d’elle même. Le camp de travaux forcés n’a pas demandé au mari de Mme Zou de venir la chercher - son état a empiré et sa santé s’est détériorée.
  • Les pratiquants de Dafa sont brutalement torturés au Camp deTravail Forcé d e Jianxin de la Ville de Tianjin

    Dans une torture particulièrement cruelle, les gardiens de prison forcent les pratiquants de Dafa à entrer dans une très étroite boîte en bois où ils ne peuvent que se tenir debout, il y est extrêmement difficile de respirer. Ils sont enfermés debout pendant plus de dix jours et souvent plus longtemps, sans dormir, sans pouvoir utiliser les toilettes, et le plus souvent sans nourriture.
  • Des pratiquantes forcées à l’esclavage et exposées à des contaminations environnementales au camp de travaux forcés pour femmes de Qingpu, à Shanghai

    Une pratiquante, Mme. Qian, qui était sur le point d’être libérée, a été forcée de travailler tous les jours jusqu’à minuit. A ce moment là le travail était de connecter des ampoules. Une pratiquante devait relier dix huit petites ampoules avec des socles en métal, ce qui signifiait connecter deux fils pour chaque section. Le quota était un sac et demi, ou 4800 ampoules par jour. Les mains de beaucoup de gens se sont déformées, les ongles des mains cassés, et certaines ont souffert de tendinites, les articulations des doigts rigides. Les pratiquantes n’étaient pas autorisées à dormir avant que le quota soit atteint
  • Au camp de travaux forcés de Masanjia – Vies brisées (Deuxième Partie)

    Une pratiquante de Falun Gong qui est sortie vivante du camp de Masanjia a dit, « A Masanjia, le plus pervers, ce n'est pas la torture et l'humiliation – on comprend aisément que cela est horrible. Les bourreaux ne recourent pas toujours à des tactiques aussi directes parce qu'ils ont peur aussi (d'être dénoncés, etc.), alors ils attendent le meilleur moment pour faire encore pire. » « Ils recourent à la persuasion et aux menaces pour détruire les pratiquants mentalement et spirituellement. Les équipes de policiers à Masanjia isolent les pratiquants du monde extérieur. Dans ce genre d'environnement fermé, ils prétendent qu'ils sont des « travailleurs altruistes dévoués à la cause du peuple et du pays » et ils qualifient les pratiquants de « gens pervers et égoïstes qui ne cherchent qu'à aller au ciel en ignorant leur famille et leur pays. »
  • Mme. Zhang Haiyan s’effondre mentalement et meurt après avoir été torturée au Camp de Travail de Masanjia

    En février 2003, lorsque sa famille lui rendit visite, ils remarquèrent que sa tête était enveloppée dans de la gaze, que ses mains étaient sérieusement enflées et qu’elle ne pouvait plus parler. Un mois plus tard, le 21 mars 2003, le camp de travail informa sa famille de venir la reprendre. La torture à long terme avait causé de grands dommages physiques et mentaux à Zhang Haiyan. Pendant les dix mois qu’elle passa chez elle, elle n’osait parler à personne, même pas à son mari où ses enfants. Les membres de sa famille n’osaient pas parler à voix haute pour ne pas l’effrayer. Même les pleurs d’un enfant à proximité l’effrayaient au point que son visage devenait pale et qu’elle tremblait. Elle est décédée le 18 janvier 2004.
  • La persécution de Jiang Zemin contre une famille entière de pratiquants du Dafa : Père et fils sont torturés à mort dans le camp de travail forcé de Chaoyanggou

    Au cours de la troisième semaine de torture intense, les agents ont ignoré le fait que sa vie était en danger parce qu’ils voulaient plus de primes. Ils l’ont dévêtu et ont versé de l’eau glacée sur la région infectée, et les agents Zhao Dongli et Zhu Shenglin de la deuxième salle ont fouetté M. Zhang Qifa avec une ceinture jusqu'à ce que sont corps entier soit recouvert de blessures et qu’il soit à l'agonie. Puisqu’ils ne voulaient pas être responsables de sa mort, ils ont renvoyé M. Zhang Qifa à la maison le 19 janvier 2003, et il est mort le jour suivant.
  • M. Wang Zengcheng de la ville de Tianjin est battu à mort dans un Camp de Travail pour avoir refusé de trahir sa conscience

    Lorsque sa famille a examiné le corps de M. Wang Zengcheng, ils ont découvert qu’il n’avait plus de peau intacte sauf une partie de la taille d’un œuf. Ceci a été confirmé par le rapport officiel d’autopsie. Craignant d’avoir à en prendre la responsabilité, le camp de travail a compensé la famille de Wang avec 130.000 yuan dans une tentative de clore l’affaire. Du fait de la grande pression et de l’intimidation des autorités, les membres de la famille ont renoncé à poursuivre les criminels.
  • La persécution du pratiquant de Dafa Luu Jianmin du comté de Xingtai dans la province de Hebei

    Le soir du 20 octobre 2003, aux alentours de 19 heures, un groupe de policier avec Zhang Yinchao à leur tête s’est caché en dehors du village et a arrêté Luu Jianmin alors qu’il rentrait juste du travail. Ils l’ont envoyé au camp de travaux forcés de Handan. Le deuxième jour, la famille a reçu une notification sans empreintes digitales apposées ni pièces justificatives. La mère de Luu Jianmin s’est rendue au département de police du comté de Xongtai pour demander que son fils lui soit rendu, mais Zhang Yianchao l’a repoussée violamment la faisant tomber par terre.
  • Atrocités dans le Camp de travaux forcés de Dalian, province de Liaoning (illustrations)

    "Je suis un pratiquant de Falun Dafa. J’ai été enlevé et enfermé dans le Camp de travaux forcés de Dalian durant deux ans parce que j’avais distribué des dépliants clarifiant la vérité sur Falun Gong à des gens de ma région. J’ai été témoin personnellement des tortures inhumaines que les pratiquants ont souffert dans ce camp."
  • La pratiquante Mme Luo Junling de la province de Sichuan est décédée après avoir été torturée au camp de travaux forcés de Nanmusi

    Mme Luo Junling, présidente de l’Usine de sucreries du comté de Lihui de la province de Sichuan, était un membre de l'Assemblée du Peuple. En raison de sa clarification des faits à propos du Falun Gong, elle a été détenue illégalement au camp de travail pour femmes de Nanmusi pendant un an, où elle a subi de cruelles tortures. Lors de sa libération, on a trouvé qu’elle avait été mal nourrie et battue si durement que son corps était couvert de blessures qui saignaient encore. Ellle est décédée deux mois plus tard..
  • Trente pratiquants de Falun Gong en grève dans le camp de travail de Jiamusi pour protester de leur esclavage

    Il y a environ six mois, les autorités du camp de travail de Jiamusi ont établi un contrat avec une entreprise privée pour produire des boîtiers de téléphone portable. La matière brute utilisée pour les boîtiers des téléphones portables est de qualité médiocre et contient des substances toxiques dépassant de loin les limites autorisées, elle est de plus cancérigène. Les policiers et les gardiens qui supervisent le travail ont même peur de rester dans l’atelier. Mais les pratiquants de Falun Gong sont forcés de rester dans l’atelier pour fabriquer ces boîtiers. Après un certain temps, la santé des pratiquants s’est gravement détériorée à cause des substances toxiques.
  • Un camp de travail forcé du Shandong fait d’énormes profits grâce au travail d’esclaves de pratiquants de Falun Gong

    Afin de tirer profit du travail d’esclave, le Camp de Travail pour Femmes n°1 du Shandong a établi un partenariat avec plusieurs usines préparant des articles pour l’exportation, y compris des alaises, des sacs plastique pour ciment et des marques de mode cousues sur le produit final. Les pratiquants de Falun Gong travaillent comme esclaves dans un terrible environnement et souffrent physiquement et mentalement.
  • Le centre de lavage de cerveau de Huangpu paie des voyous pour torturer et tuer les pratiquants (Photos)

    "Mme Li Xiaojing, enseignante à l’Université de Guangzhou a été emmenée de force au centre de lavage de cerveau de Huangpu. Vers les 18 h00 le lendemain, une ambulance est venue soudainement au centre . Beaucoup policiers couraient dans le centre et ont forcé les pratiquants de Dafa à entrer dans une salle de réunion pour regarder des diffamations à la T.V, les enfermant sous clef dans la pièce. Par la suite ils ont bloqué les lieux autour de la chambre de Mme Li Xiaojing avec des cordes. L’ambulance est repartie à 19 h00 ; et la police est demeurée sur les lieux jusqu’à 23 h00. Il a été vérifié que Mme Li Xiaojing est décédée ce jour même. En raison du blocus d’information des autorités chinoises, nous ne savons toujours pas exactement comment Mme Li Xiaojing a été torturée à mort. "
  • Mort de mme Xiao Yali en résultat de la persécution au Centre de Détention de la Cité de Shuangcheng, son enfant reste orphelin

    La pratiquante de Dafa, mme Xiao Yali, 36 ans, vivait dans les environs de la Cité de Shuangcheng, dans la province de Heilongjiang. Mme Xiao fut arrêtée le 28 février 2004 et est morte en résultat de la persécution qui lui a été infligée au Centre de Détention de la Cité de Shuangcheng. Son enfant de six ans reste seul.
  • Un pratiquant à Dalian, dans la province de Lioning est torturé jusqu’à la démence dans le Camp de Travail Forcé de Dandong

    Après un mois de « Cellule à Gestion Stricte », la police a relâché Wang Qiang, mais il avait déjà été torturé si sévèrement qu’il demeurait dans un état de démence. Alors qu’il était dans la « Cellule de Gestion Stricte », Wang Qiang a fait une grève de la faim, et ils l’ont gavé. L’officier de police Dai (surnom) également chef de l’hôpital du camp, a utilisé des tenailles pour faire tomber les dents de devant de Wang Qiang durant le gavage parce que Wang n’ouvrait pas sa bouche. Le sang a giclé partout et Wang Qiang a perdu conscience. La santé de Wang Qiang s’est régulièrement détériorée. En octobre 2000, après un examen médical dans un hôpital, Wang Qiang a été diagnostiqué comme ayant une « nécrose des tissus musculaires » et une « schizophrénie sévère. » En réalité, Wang Qiang s’était effondré mentalement en résultat de la torture qu’il avait endurée.