Dans les camps de travail

  • Mon expérience directe des crimes contre l’humanité commis au camp de travaux forcés pour femme de Beijing

    Le groupe de Jiang a caché la brutale persécution du Falun Gong derrière une façade de slogans comme: “Nous sommes dans la meilleure période de l’histoire des droits de l’homme.” Après avoir passé presque deux ans dans un camp de travaux forcés, j’aimerais révéler la vérité qui se cache derrière ce slogan de " la bonne période des droits de l’homme"
  • La persécution endurée par M. Wang Hongtian avant de mourir dans le camp de travaux forcés de Jiutai Yinmahe

    Dans la première moitié de 2002, sans aucune explication, un groupe de policiers de Changchun a transféré M. Wang du camp de travaux forcés au sous sol d’un immeuble secret à Jingyuetan, à Changchun, dans la province de Jilin. Ce sous sol avait été spécialement conçu pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. Il y avait des « bancs du tigre » (1), des matraques électriques et d’autres instruments de torture. Ils ont attaché M. Wang à une chaise en métal et ils l’ont frappé avec une matraque électrique particulièrement grosse. La police a interrogé M. Wang pour tenter de savoir d’où il tenait son matériel de clarification. Quand ils n’ont pu obtenir aucun résultat de M. Wang, ils l’ont menotté à la chaise toute une nuit.
  • La persécution des pratiquantes du Falun Gong reflète la dépravation morale de Jiang et de ses complices (Photos)

    Une pratiquante de Dafa a été violée par un policier en plein jour sous un pont de l’autoroute. Plusieurs pratiquantes dans les camps de travaux forcés ont été déshabillées et attachées à un lit dans la position de « l’aigle écarté ». Au camp de travaux forcés de Dalian, la police utilise des matraques électriques pour électrocuter plusieurs pratiquantes, visant tout spécialement les parties génitales.
  • Les atrocités commises derrière les murs du camp de travaux forcés pour femmes de Nanmusi, à Zizhong, province de Sichuan

    Les policiers ont utilisé trois matraques électriques pour frapper Zhang Yuchun, une pratiquante originaire de Chengdu. Epuisés d’avoir frappé, les policiers ont ensuite traîné les pratiquantes dans une petite pièce et les ont menottées, les mains dans le dos, à une barre métallique. Notre compagne de pratique, Zhang Siqing de Chengdu, dans la province de Sichuan, a été menottée de la sorte et ce n’est que lorsqu’elle s’est évanouie qu’ils ont fini par la détacher. Ils l’ont ensuite persécutée davantage en la forçant à se tenir accroupie sur les orteils, avec un pied devant l’autre, et ce, pendant plus d’une heure. .
  • Travail d’esclave dans les Camps de travail chinois : l’histoire de l’intérieur

    Je suis pratiquant de Dafa et forcé à travailler dans une prison en Chine. Tout au long de ces années j’ai été confronté à la brutale réalité et ai assisté à d’innombrables incidents et circonstances inhumaines à l’intérieur de la prison. Après avoir vu le rapport d’enquête publié sur Clearharmony.net à propos des camps de travail forcé et de la vente des produits du travail d’esclave, j’ai décidé de rendre publics certains faits à l’intérieur de la prison où je travaille.
  • Document sur la persécution au camp de travaux forcés de Jinzhou

    Dans les salles de torture, on obligeait les pratiquants déterminés à porter des casques de protection et ils étaient menottés. Ensuite, on les bloquait debout dans un coin, près d’un bureau placé en diagonale. Il y avait deux policiers et un détenu par équipe ; les policiers changeaient toutes les trois heures et les détenus toutes les six heures. On obligeait les pratiquants à regarder des programmes de télévision qui insultaient Dafa et à rester debout pendant de longues périodes. Ils n’avaient ni le droit de dormir, ni le droit de fermer les yeux ou de relâcher la tête. Les détenus se tenaient avec dans les mains soit une matraque électrique, soit une planche de lit ; ils frappaient ou électrocutaient les pratiquants s’ils relâchaient la tête ou s’ils fermaient leurs yeux.
  • Les atrocités perpétuées par des gardes du camp de travaux forcés de Tumuji dans le comté de Zhalaiteqi, en Mongolie intérieure.

    De nombreux pratiquants de Dafa qui ont été emprisonnés dans le camp de travaux forcés de Tumuji dans la province de Mongolie intérieure n’ont pas renoncé sous la torture et ont continué à pratiquer le Falun Dafa. Mr Duan Heping, gardien du camp, s’est plaint de Mr Zhu Jijun, le commissaire politique [1] pour ne pas avoir été assez dur contre les pratiquants et n’avoir pas atteint le résultat qui était demandé par les autorités supérieures. Il a même déclaré que pour « transformer » [2] les pratiquants, ce n’est pas un gros problème de les frapper à mort. Zhu Jijun a donc été critiqué et a déposé sa démission.
  • Rapport sur la persécution des pratiquantes de Falun Gong au camp de travaux forcés Baimalong dans la province de Hunan

    Depuis août 2000, le camp de travaux forcés pour femmes de Baimalong a utilisé toute sortes de méthodes pour tourmenter les pratiquantes de Falun Gong mentalement et physiquement. Ces méthodes comprennent : la ségrégation, le lavage de cerveau, l’extension illégale des peines de travaux forcés, divers châtiments corporels comme la suspension, l’électrocution avec des matraques électriques, l’usage restreint des toilettes, la privation de sommeil prolongée, le confinement solitaire dans des cellules isolées et autres tortures et abus de droits humains.
  • Un fils meurt après le retour de sa mère du camp de travaux forcés

    Apres un mois et demi de camp de travaux forcés, Mme Wang est revenue à la maison pour trouver son fils entrain de mourir. Le cœur et l’estomac de Fan Guang étaient en mauvais état. Il ne pouvait rien avaler parce qu’il avait été très malade et mal nourri pendant très longtemps. Mme Wang l’amena chez plusieurs médecins, mais il était trop tard. Fan Guang est mort le 10 avril 2004. Son corps était tellement émacié et pâle que le personnel du crématorium était touché aux larmes.
  • Le docteur Liu Haibo, un pratiquant de Dafa de l’hôpital du District de Luyuan à Changchun, est mort sous les tortures qu’on lui a infligées au Camp de Travaux Forcés de Weizigou

    Liu Haibo a été accusé de fournir des cachettes aux pratiquants de Dafa qui avaient diffusé la vérité sur la persécution au moyen de la télévision nationale. C'est pour cette raison que les autorités ont violemment torturé Liu pour le faire avouer. Vers 1:00 du matin, il a été torturé au point que son cœur cesse de battre. Il a été envoyé aux urgences à l'hôpital de Changchun, mais l'équipe médicale a prétendu officiellement qu'ils ne pouvaient pas le ranimer, même si le centre était parfaitement équipé et que le personnel était formé à cela. Sa famille n'a pas été informée de sa mort. Le père de Liu Habo a plus de 70 ans et ne sait toujours pas que son fils a été torturé à mort. Son fils de 5 ans est actuellement élevé par sa grand-mère.
  • Province de Shandong : le groupe Hongye du Comté de Linqu coopère avec le camp de travaux forcés Changle pour exploiter le travail d’esclavage des pratiquants du Falun Gong

    Le groupe Hongye est une entreprise en participation Sino-Americaine qui produit des tapis tissés à la main et les exportent aux Etats-Unis. Les autorités du camp de travail forcent les pratiquants de Dafa à tisser les tapis dans un environnement fortement pollué. Les pratiquants doivent travailler plus de douze heures par jours, et ils ont à peine le temps de prendre un bain et de laver leurs vêtements. Le travail intense et la piètre nourriture endommagent la santé des pratiquants, et ils deviennent faibles et amaigris. De plus, souvent la police les soumet à des tortures brutales.
  • Actions barbares au camp de travaux forcés pour femmes de Jianxin : Les policiers utilisent des matraques électriques pour électrocuter les parties génitales des pratiquantes détenues

    Afin de protester contre cette persécution, Mme Yan Shujun a fait une grève de la faim pendant 12 jours. Le camp a alors rallongé la sentence de Mme Yan bien au-delà de la date initialement prévue de sa remise en liberté. Le 1er avril 2003, l’unité no.3 a essayé de la « transformer ». Les gardiennes ont traîné Mme Yan dans une petite cellule obscure et lui ont électrocuté tout le corps avec des matraques électriques. Puis elles l’ont portée en face des instructeurs de discipline masculins du camp afin de leur montrer le résultat de leur torture . Ensuite elles ont mis Mme Yan dans une cage de bois mesurant 1 m de large x 1 m de haut x 3 mètres de longueur. Elle devait donc se tenir dans une position semi accroupie. Mme Yan a été torturée de cette façon inhumaine pendant 8 jours. Elle a eu en conséquence de sérieux problèmes musculaires et osseux.
  • Des méthodes de tortures sordides sont utilisées par la police au camp de travaux forcés no.3, dans la province de Henan

    Les brutes ont pour contraindre les pratiquants à renoncer à leur croyance utilisé la violence, les torturant et persécutant mentalement et physiquement par toutes sortes de moyens : les abus physiques, les coups, les attacher avec des cordes, l’électricité, les coups de matraque, les faire se tenir debout face au mur, « griller un mouton entier » [le garde menotte les pieds et les mains du pratiquant, puis suspend les menottes sur un bâton horizontal. Ils ont soumis les pratiquants à cette cruelle torture pendant des périodes aussi longues que 11 heures], l'interdiction de dormir pendant de longues périodes, incitant les prisonniers toxicomanes et les voleurs à torturer les pratiquants de Falun Gong.
  • Le Camp de Travail Forcé de Changlinzi utilise des pratiquants comme esclaves, les forçant à produire des bâtons de police pour la circulation et des cure-dents

    Le camp de travail les force à travailler jusqu’à 16 ou 17 heures par jour. Ceux qui ne peuvent pas travailler aussi vite finissent par devoir travailler jour et nuit. Des pâtes et du pain sont la seul nourriture à laquelle ils dont droit. On ne les a nourri un peu mieux que le 24 avril, jour où les cadres supérieurs sont venus inspecter le camp. Ils sont constamment torturés à l’électricité et battus. Ici la police a totalement perdu contrôle en persécutant les pratiquants de Falun Gong. Ils commencent souvent à torturer les pratiquants après le repas. Certains on même gavé les pratiquants de force avec de l’alcool.
  • La pratiquante Zhang Haiyan originaire du Comté de Heishan, dans la Province de Liaoning, est morte après avoir été soumise à des persécutions inhumaines au Camp de Travaux Forcés de Masanjia

    D’après certaines sources, durant sa détention Zhang Haiyan a refusé de renoncer à ses convictions au Falun Gong, elle a entamé une grève de la faim pour protester de cette détention illégale. Suite à cela, elle a été menottée et pendue [1], attachée par des cordes, et violemment battue. Les policiers ont essayé de la forcer à abandonner ses convictions. Pendant plus de deux ans elle a été violemment torturée. Elle en est restée psychologiquement dévastée et le corps couvert de plaies. Le 21 mars 2003, alors que sa famille la ramenait chez elle, elle était déjà trop affectée mentalement et ne pouvait plus prendre soin d’elle-même. Elle avait des plaies à la tête, sur les mains et d’autres parties du corps. Elle est morte le 18 janvier 2004.