Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Les circonstances autour de la torture à mort de Mme Li Baojie sont révélées

    Mme Li Baojie, âgée de 34 ans vivait dans le canton de Panshan, ville de Panjin, province de Liaoning. Comme elle avait continué à pratiquer le Falun Gong après que la persécution ait commencée, elle a été illégalement arrêtée par la police plusieurs fois. En août 2004, elle a été dénoncée alors qu’elle clarifiait la vérité dans la ville de Dalian, province de Lioaning. Les officiers de police Zhao Laixing et Liu Yonghua de la ville de Panjin, se sont rendus dans la ville de Dalian et ont ramené Li Baojie et son époux, Pan Xushu, dans la ville de Panjin. Ils ont été alors tous les deux condamnés à trois ans de travaux forcés par la préfecture de police de la ville de Panjin. Ils étaient détenus au camp de travaux forcés de Masanjia. Après avoir souffert de graves outrages et la torture, Mme Li a été torturée à mort le 8 avril 2005.
  • Dans des conditions critiques en détention, le pratiquant M. Lei Lichun expose la persécution : son épouse est obligée de quitter la maison, les parents aînés et deux bébés sont laissés à eux-mêmes

    M. Lei Lichun, de Guan’an dans la province de Sichuan, a été arrêté en juin 2004 et condamné à quatre ans de prison à cause de sa croyance en Falun Dafa. Pendant son emprisonnement, Lei Lichun a été mentalement et physiquement torturé si sévèrement qu’il est présentement au seuil de la mort. Son épouse a été forcée d’abandonner sa maison, laissant derrière elle deux bébés de un an et ses parents âgés, sans aide. De plus, tout leur argent a été confisqué par la police. Ce qui suit est l’appel de Lei Lichun. Il demande fortement que les dirigeants concernés respectent les lois et le libèrent, parce qu’il est innocent.
  • La pratiquante Jiang Meilan est sauvée avec la coopération de tous (photos)

    Le 1er juillet 2005, Mme Jiang Meilan a été sauvée du camp de travail de Baimalong après avoir fait une grève de fla aim pendant 100 jours. Le secours s'est fait avec la coopération des pratiquants de Falun Dafa d'outre-mer, des pratiquants de Hunan, aussi bien que de sa famille. Ces photos ont été prises le lendemain du jour où Jiang Meilan a été secourue. Elle n'avait plus que la peau et les os.
  • Le travail forcé en Chine : Témoignage présenté à la Commission du Congrès Exécutif sur la Chine, le 22 juin 2005 (2ème partie)

    Selon la WOIPFG environ 10.000 détenus (y compris des dizaines de pratiquants de Falun Gong illégalement détenus) étaient forcés d’éplucher avec leurs mains l’écorce des graines de melon et devaient accomplir un travail dur intensif. Ces détenus étaient forcés de fendre les graines d'une grande variété de melons entre leurs dents, et d’éplucher la cosse avec leurs mains nues pour retirer les pépins. En hiver, ils devaient effectuer ce travail dehors par un froid glacial. Bon nombre d'entre eux ont contracté des engelures et la peau de leurs mains s'est fendue, avec le pus et le sang des blessures suintant sur les graines de melon.
  • Les pratiquants de Dafa sont battus dans la prison de Wafangdian, les autorités dissimulent leurs crimes

    Au début des années 2005, nous avons appris que plusieurs pratiquants de Dafa étaient détenus à la prison de Wafangdian dans la ville de Dalian, province de Liaoning. Pendant la détention ils ont été constamment battus par les gardiens et les détenus. En ce qui concerne les pratiquants du Falun Gong qui sont attachés sur un « lit de mort », tabassés, privés de toilettes, Wang Tao a dit « Ce n’est pas un « lit de mort », c’est un « lit multi fonctions » utilisé pour des malades contagieux.
  • Liu Yuhe, pratiquant de la ville de Huadian, province de Jilin, a été torturé sur « le Banc du Tigre » et alimenté de force avec de l’huile de moutarde

    À la brigade de sécurité nationale du bureau de sécurité publique de Huadian, le policier Liu Jingji a attaché Liu Yuhe sur « le Banc de Tigre » pendant l'interrogatoire. Ils ont mis un casque en métal sur la tête de Liu Yuhe et ils ont frappé sur le casque avec un marteau en métal sans interruption pendant 4 heures - ceci s'appelle « la machine pour secouer le cerveau. » Ce type de torture peut provoquer chez la personne un grave affaiblissement physique, la quadriplégie, la désorientation mentale, une commotion etc... Le policier Jiang Honghai a aussi participé à cette torture.
  • Une grand-mère aveugle est torturée et forcée à quitter son foyer

    Le 27 juin 2005, le secrétaire du parti communiste chinois, une femme avec le nom de famille Hou, a mené un groupe de personnes, y compris Liu Liancheng, Sun Wu, Zhao, Cao du commissariat de police de Xinfu, pour entre par effraction dans la maison de Mme Lu et ils l’ont arrêtée. En même temps, ils ont volé plusieurs affaires personnelles de Mme Lu. Dirigé par le policier Zhao, les malfaiteurs ont torturé et impitoyablement battu Mme Lu. Ils ont essayé de la forcer à révéler la source des documents de clarification de la vérité qui étaient distribués dans la région.
  • M. Wu Chunlong mort à trente ans dans le Camp de travail de Jiamusi (Photos)

    M. Wu Chunlong, pratiquant de Falun Dafa de la ville de Jiamusi, dans la province de Heilongjiang a été torturé jusqu’au seuil de la mort. Il était devenu émacié, était incapable de penser clairement, et ne pouvait plus parler lorsqu’il a été renvoyé chez lui le 30 avril 2005. Sa condition s’est graduellement améliorée grâce aux soins de sa famille, mais la police du commissariat de Songlin le surveillait étroitement. Ils l'ont constamment menacé et harcelé M. Wu Chunlong, et il est mort le 20 août 2005, il n’avait que 30 ans.
  • Le travail forcé en Chine : Témoignage présenté à la Commission du Congrès Exécutif sur la Chine, le 22 juin 2005 (Première partie)

    "Nous sommes tristes de rapporter qu'au cours des six dernières années, la persécution du Falun Gong en Chine est devenue secrète et continue à empirer. Pendant ces années, il a été rapporté qu’entre 200.000 et 1 millions de gens ont été envoyés en camps de travail forcé sans procès. Les méthodes de persécution utilisées dans de tels camps sont extrêmement cruelles, elles incluent une grande variété de tortures brutales; et cependant, le gouvernement chinois a imposé un blocus rigoureux afin d'essayer de cacher l'information et d’échapper à sa responsabilité. Les camps de travail en Chine ont l'autorité d’emprisonner les pratiquants de Falun Gong pour un maximum de trois ans sans dû procès et peuvent arbitrairement prolonger l'emprisonnement à volonté."
  • Mme Kong Fanrong torturée à mort en 2003, sa famille continue de souffrir de la persécution (Photo)

    Mme Kon Fanrong, une pratiquante de Falun Dafa de la ville Shulan, dans la province Jilin, et sa famille ont beaucoup souffert de la persécution depuis 1999. Le 11 mai 2003, Kong Fanrong est morte suite aux tortures qu’elle a reçues en détention. Son mari, Bian Hongxiang, a été arrêté en mars 2005. Avant d’être renvoyé chez lui, alors qu’il était presque mort suite aux tortures. Leur fille, Bian Lingyun, a été arrêtée fin juillet.
  • Craignant d’être dénoncées les autorités de la prison ont exigé l'incinération du corps de Yuan Qingjiang

    On a pu confirmer que le disciple de Dafa Yuan Qingjiang, qui a été torturé et tué dans la prison de Daqing, était déjà mort avant d’être envoyé à l'hôpital pour des soins d'urgence le 23 juillet. Yuan Qingjiang a été torturé par les gardiens de prison au point de frôler la mort, mais les autorités de Daqing lui ont refusé le droit aux soins médicaux. De plus, ils ont intentionnellement retardé le processus lui permettant de recevoir des traitements d'urgence.
  • Faits récents sur Li Jieming, fils orphelin des pratiquants Li Baoying et Wang Hong

    Li Jieming a perdu ses parents, des pratiquants du Falun Dafa, M. Li Baoying et son épouse Mme Wang Hong, qui habitaient le village de Dongchang dans la ville de Changtan du comté de Liaozhong dans la province de Liaoning. Son oncle ne s'occupe plus de lui maintenant. Nous demandons aux pratiquants en dehors de la Chine de ne plus lui expédier de colis parce qu’il ne peut plus les réceptionner.
  • M. Yue Huimin de la ville de Qiqihar meurt suite aux tortures qu’il a subies au camp de travaux forcés Fuyu

    Le pratiquant de Falun Dafa M. Yue Huimin de la ville de Qiqihar, province de Heilongjiang a été torturé pendant plus de deux ans au camp de travaux forcés Fuyu au point que sa vie était en danger. Il a failli perdre la vue et tout son corps était couvert d’oedèmes. Il est mort le 18 mars 2005.
  • La vie de M. Wang Dianren est en danger, il est soumis à des persécutions

    Après que Wang Dianren ait été envoyé au centre de détention de Changliu, les gardes cruels de la prison l'ont battu à plusieurs reprises. A une occasion, le gardien de la prison, Liu Jian, lui a donné un grand coup de pied parce qu'il avait crié « Falun Dafa est bon ! » Sa rate a été atteinte. Sous la douleur extrême, il s’est affaibli et il n’est pas encore rétabli. Sans avis préalable donné aux membres de la famille, la cour a condamné Wang Dianren à trois ans et demi d'emprisonnement. La police a essayé de l’envoyer en prison le 8 août 2005. Wang Dianren est maintenant en grève de la faim pour protester contre la persécution et sa vie est en danger.
  • Un pratiquant dans sa soixantaine est sauvagement maltraité à la prison de Zigong, province de Sichuan

    En janvier 2004, M. Zhang Liujun, qui a été sévèrement puni pour avoir écrit « Falun Dafa est bon ! » sur le mur et déclaré que la pratique du Falun Gong n’était pas criminelle, a une fois de plus été emprisonné. Il a été menotté au lit de la punition pendant environ deux mois et a été surveillé par six ou sept prisonniers criminels. Trois ou quatre officiers l’interrogeaient à tour de rôle tous les jours. Ils le maltraitaient verbalement pendant la journée et les prisonniers criminels le maltraitaient le soir. Un prisonnier criminel a dit que beaucoup de « vrais hommes » craignaient le lit de la punition, mais ce vieil homme de plus de 60 ans ne s’était pas effondré après y avoir été menotté pendant deux mois.