Sagesse traditionnelle

  • Un fonctionnaire de la Dynastie Qing s'est souvenu de ses réincarnations

    Les athées pensent, "Un homme meurt tout comme une lampe s'éteint." Je pense que ce point de vue est faux. L'être véritable ne disparaît pas lorsque le corps meurt. Nos ancêtres croyaient que la réincarnation et la rétribution existaient réellement. On reçoit une rétribution lorsque l'on commet une mauvaise action. Je voudrais vous raconter une histoire vraie, selon un livre écrit durant la période de la Dynastie Qing ...
  • Histoires de résistance à la luxure de la Chine ancienne

    Le poète Yang Wanli s'est un jour moqué de ceux qui s'adonnaient à la luxure: "Le roi des enfers ne vous a pas convoqués et pourtant vous vous êtes escortés vous-mêmes jusqu'à lui. Pourquoi cela? " ...
  • Histoires du Bouddhisme : Vous avez tous raison

    Un jour, un moine méditait sur un coussin, un serviteur à ses côtés. De l’autre côté de la porte, deux disciples du moine avaient un sérieux conflit. Aucun des deux ne voulait céder à l’autre et chacun restait enferré dans sa propre position. Tous les deux pensaient que seul ce qu'ils avaient compris était correct...
  • Histoires de la Chine ancienne : Inspiré de l’histoire d’un enfant aveugle qui construisit un pont

    L’histoire est arrivée quand le célèbre Bao Zheng était premier ministre de la Dynastie Song du Nord de la Chine. Il y avait un orphelin d’environ dix ans dans un certain village. Il était handicapé avec des jambes brisées et vivait une vie de mendiant très pauvre. A l’entrée du village, il y avait une rivière sans pont ...
  • Leçons apprises de deux hauts fonctionnaires de la dynastie Tang

    L’empereur Taizong de la dynastie Tang est l'un des empereurs les plus célèbres de l'histoire chinoise. Il gardait au pavillon Lingyan les portraits de ses 24 fonctionnaires les plus accomplis afin de rendre hommage à leurs contributions, tant en matière de stratégie politique que de succès sur le champ de bataille ...
  • Les historiographes consciencieux préfèraient mourir plutôt que déformer la vérité

    Le caractère moral des chinois s'est transmis à travers des centaines de générations. L'éclat de leur intégrité morale brille à travers cinq mille ans d'histoire et appartient à la culture divine chinoise. En Chine aujourd'hui, les gens sont devenus indifférents à l'intégrité morale suite à la dévastation causée par le Parti communiste chinois. Un célèbre poème : "Chant de la droiture" écrit par M. Wen Tianxiang (1236-1283, un premier ministre de la Dynastie Song et l'un des héros patriotiques les plus célèbres dans l'histoire chinoise) raconte l'histoire de la famille d'un historiographe ...
  • Anciennes histoires de cultivation : Luu Miao-Dien

    Miao-Dien était une déité qui vivait sur le Mont Jiou Yi. Elle était née intelligente avec de hauts standards moraux. Étant enfant, elle ne mangeait pas de viande et ne touchait jamais à l’alcool. Dans sa dixième année, elle dit à sa mère : " L’odeur de la nourriture me donne des maux de têtes. Je ne veux plus manger. " ...
  • Un récit historique: Jiang Xinkui enseigne un principe du ciel à travers la mort de son fils

    Durant la 54ème année du règne de l'Empereur Qianlong, Jiang Xinhui devint gouverneur du comté de Yiliang à Diannan. Un meurtre se produisit dans le comté. La victime était d'une famille pauvre. La personne qui avait commis le meurtre d'une famille aisée et puissante, qui offrit d'acheter Jiang Xinhui afin d'étouffer l'affaire. Jiang refusa le pot de vin mais son fils l'accepta en secret sans le lui dire ...
  • Note sur les Analectes

    Les huit analectes, également désignées comme vertus, sont les principes laissés par Confucius aux générations futures afin de suivre le système de cultivation qu'il avait enseigné. Ces huit analectes comprennent "la piété filiale, le respect envers les frères et sœurs, la loyauté, le fait de tenir ses promesses, la courtoisie, la justice/l'équité, être incorruptible et avoir du courage". On dit que quiconque n’a pas ou ignore ces vertus ne peut plus être considéré comme humain, et a perdu la protection des entités divines ...
  • Une bonne maîtrise de soi

    Se conduire avec droiture représente le niveau le plus élevé de la vie humaine. Traiter une question de manière juste est le plus grand défi de l'apprentissage de la vie. Vers la fin de la dynastie de Qing, le Général Zeng Guofang rentra à Hunan pour rétablir l'armée de Hunan...
  • Histoire de la Chine ancienne - J’ai frappé les Tyrans Jie et Zhou, pas mon Roi

    Un jour, alors que Shi Jin jouait de la cithare chinoise pour la Marquise Wen de l’Etat de Wei, le Roi très heureux commença à danser et chanter avec la musique. Graduellement il se perdit dans l’exultation et s'écria : "Tout le monde doit m’obéir ! " Celui qui ose aller contre moi sera puni ! " En entendant cela, Shi Jin arrêta de jouer et lança la cithare sur le Roi. La cithare frappa la couronne et fendit en morceau les glands de jade sur la couronne ...
  • Les actes du passé déterminent les expériences d’aujourd’hui

    Il y avait autrefois à Hangzhou un magasin d’étoffes. À l’âge de 50 ans, le propriétaire avait tenu son commerce depuis déjà plusieurs dizaines d’années. Mais Malheureusement, son avarice n’avait pas diminué avec l'âge. Une année, il y eut un incendie dans le quartier qui toucha le magasin...
  • Une histoire de la Dynastie Ming – Toutes les dettes doivent être remboursées

    Voici une histoire qui a secoué la Chine du temps de la dynastie Ming (1368 – 1644). Mao Ji (environ 1426 – 1465) était un lettré respecté. Il avait la charge du Département de la Justice de la circonscription de Guangdong et d'une partie de la Garde Royale. Mao Ji était noble et juste ...
  • Respecter une personne de grande vertu tient l'ennemi à distance

    Durant la période des Royaumes combattants en Chine (Zhan'guo, 475BC - 221BC), vivait un homme appelé Duan Ganmu qui quitta l'état de Jin pour se rendre dans l'état de Wei. Il s'agissait d'une personne de grande vertu éminemment respectée du peuple ...
  • Histoire de l'histoire : Zeng Guofan décryptait une personne de la juste manière

    Zen Guofan était un fonctionnaire réputé dans la Dynastie Qing. Alors qu'il étudiait encore dans l''Académie Hanlin, il se rendit un jour dans une librairie du village de Haiwang. Deux personnes achetaient des livres. Une d'elle fit tomber une pièce, et l'autre marcha immédiatement dessus et la dissimula sous son pied. Lorsque la première personne quitta la boutique, la seconde ramassa prestement la pièce et s'en alla satisfait. Zeng Guofan demanda au vendeur et obtint le nom de la seconde personne.