Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Lettre urgente du mari handicapé de Wang Xiuying après qu’elle ait été enlevée pour la quatrième fois

    Ma femme, Wang Xiuying est une employée de l’université de Xi’an Jiaotong. Parce qu’elle n’a pas voulu renoncer à sa croyance en Falun Gong elle a été enlevée par un groupe de policiers du bureau 610 de la station de police de Beilin et la station de police de la rue Taiyi, alors qu’elle se rendait au travail le 12 juin 2005 .Ses collègues m’ont dit qu’elle a été emmenée par la police et qu’actuellement elle subit des lavages de cerveau et des tortures mentales au Centre de santé pour travailleurs du conté de Chang’an, de la ville de Xi’an.
  • Preuves de la torture infligée à Mme Gao Rongrong (photos)

    Les photos suivantes montrent les vêtements que Mme Gao Rongrong portait le 7 mai 2004 quand elle a été électrocutée à coups de matraques électriques. Avant la séance de torture, Tang Yubao, chef adjoint du groupe n°2 au camp de travaux forcés de Longshan, à Shenyang, a ordonné au criminel de droit commun Bi Shuhua et à d’autres de battre Mme Gao. La plupart des pratiquants emprisonnés au camp de travaux forcés de Longshan devaient porter les vêtements montrés sur les photos.
  • La pratiquante de Falun Dafa Jiang Meilan de la province de Hunan fait une grève de la faim pour protester contre la persécution au camp de travaux forcés de Baimalong

    La pratiquante de Dafa Jiang Meilan du comté de Xintian, district de Yongzhou, province de Hunan a été arrêtée arbitrairement le 24 mars 2005 et condamnée à un an de détention dans un camp de travaux forcés à Baimalong. Elle y a été torturée. Pour protester, elle a fait une grève de la faim mais on l’a gavée de force et on lui a fait des injections. Elle est très faible maintenant et sa vie est en danger. Les employés du bureau 610 ont dit qu’ils ne la relâcheraient pas à moins qu’elle meure au camp de travaux forcés.
  • Le pratiquant de Dafa Liu Decai et sa fille persécutés - famille heureuse brisée

    Le 24 juin 2005, Zhao Zhen, le chef adjoint du commissariat de police de la ville de Guojia, accompagné de huit ou neuf personnes, y compris Bi Guoquan, s’est précipité dans la maison du pratiquant Li Bocheng. Ils ont essayé d’intimider l'épouse de M. Li, Wang Xuezhu, pour qu’elle signe un document. Li Bocheng et son épouse ont refusé de signer. Puis Zhao Zhen et les autres ont arrêté Li Bocheng et Wang Xuezhu et fouillé leur maison. En plus d’un ordinateur, d’une imprimante et d’un lecteur de CD, ils ont également volé 1900 yuans dans un tiroir sous le lit et 350 yuans qui se trouvaient dans la poche d’une veste. Ensuite le couple a été détenu arbitrairement. Actuellement, Wang Xuezhu est incarcérée dans un camp de travaux forcés.
  • Au moins 85 pratiquants torturés à mort dans la Ville de Weifang durant les six dernières années

    Jiang Zemin et le parti communiste chinois ont coopéré pour appliquer leurs politiques de génocide contre les pratiquants de Falun Gong qui persistent paisiblement dans leur croyance en ‘Authenticité Bienveillance Patience’. Ils ont accompli cela en utilisant tout l’appareil du gouvernement totalitaire, la police et les médias. En six ans, le PCC, en violation de la constitution chinoise et en enfreignant de nombreuses lois, a surveillé, kidnappé, détenu, torturé, lavé le cerveau des pratiquants de Falun Gong et envoyé un grand nombre d'entre eux en camps de travaux forcés et dans les prisons. Le nombre vérifié de décès par torture des pratiquants de Falun Gong est 2.711. Au moins 85 pratiquants de Falun Gong de la ville de Weifang ont été torturés à mort.
  • Des pratiquants battus à mort dans la prison n°3 de Harbin et dans la prison de Tailai

    M. Wang Dayuan, pratiquant de Dafa, dont le seul crime était de croire en « Authenticité-Bienveillance-Tolérance », a eu les bras, le sternum et les jambes cassés à la prison n°3 de Harbin dans la province du Heilongjiang. Par la suite, M. Wang a été battu à mort dans cette « prison modèle ». Depuis que le PCC a commencé à persécuter les pratiquants de Falun Dafa en 1999, Chen Shuhai, chef du bureau 610 à la prison n°3, a souvent incité des criminels à frapper et insulter les pratiquants de Dafa illégalement emprisonnés là. Par conséquence, les pratiquants de Dafa ont été persécutés de toutes sortes de façon.
  • Le plan du gouvernement d’enquêter sur la corruption et l’ abus de pouvoir sert de ruse pour inciter les pratiquants de Falun Gong à se faire connaître.

    il y a eu un article dans le Ying Bao Weekly Review dans la province de Hunan qui disait : « la politique de transparence du Bureau de la Sécurité publique contribue à l’harmonie de la société ». Après que les pratiquants de Falun Gong ont lu l’article, ils se sont rendus au commissariat local pour rendre compte des persécutions et des mauvais traitements qu’ils ont subi au cours des six dernières années. Leur but était de demander aux policiers et fonctionnaires de ne plus commettre de crimes et de cesser de maltraiter les bons citoyens respectueux des lois qui pratiquent le Falun Gong. A leur grande surprise, les fonctionnaires du bureau d’appel, la police, et le bureau 610 de la ville ont arrêté, battu, fouillé et détenu ces pratiquants sur le champ.
  • Persécution de pratiquantes dans la 9ème région de contrôle de la prison pour femmes de Heilongjiang (Photos)

    Voici la description des persécutions que j’ai subies en 2003-2004 dans la 9ème région de contrôle de la prison pour femmes de Heilongjiang. À l’époque pour intensifier la persécution, le chef d’équipe de la 9e région, Zheng Jie et le gardien Zhang Chunhua ont soumis les pratiquantes de Falun Gong à des travaux de forçat.
  • M. Wu Chunlong a été relâché du camp de travaux forcés de Jiamusi, émacié et inconscient (photo)

    Le 30 avril, Dao Yukun, du camp de travaux forcés, est venu chez moi et m’a demandé de signer une déclaration pour que j’endosse la responsabilité de la mort de mon fils. Mon fils me manquait et je voulais vraiment le revoir. Je ne savais pas que mon fils avait été persécuté. J’ai écrit tout ce que Dao m’a demandé. Lorsque j’ai eu terminé, Dao a téléphoné et demandé à deux officiers de police de ramener mon fils. Dès que j’ai vu qu’il était inconscient et gravement amaigri, j’ai regretté d’avoir écrit cette déclaration. Par la présente, je déclare que cette « déclaration » qu’ils m’ont fait écrire est nulle et non avenue ! Je demande que justice soit faite pour mon fils !
  • La prison de Daqing est responsable de trois décès, en trois mois

    Dans le premier semestre de 2005, le gardien adjoint Jiang Shuchen et le chef du bureau 610, Guo Chuntang, ont lancé une nouvelle série de persécution des pratiquants après être revenus d’une réunion à Xi'an. Ils ont ordonné le gavage de tous les pratiquants en grève de faim avec du lait caillé de maïs, tous les 2 ou 3 jours, même si leur vie était en danger. Lors d'une réunion, Guo a annoncé : « Ce n'est pas important si cela cause leur mort. »
  • Abus sexuels contre les femmes dans les camps de travaux chinois

    Selon le ”Rapport sur les Droits de l’Homme du Falun Gong”, depuis que la persécution contre le Falun Gong a commencé en 1999 en Chine, les gardiens des camps de travaux ont toujours abusé des pratiquantes. Le chapitre sur les ”Crimes contre les femmes” dans le rapport déclare que seulement quelques unes des dizaines de milliers de pratiquantes détenues ont échappé à l’humiliation d’être totalement déshabillées.
  • Un interne en médecine de la ville de Jiamusi en but à la persécution après avoir clarifié la vérité sur l’incident de l’auto immolation à Tian an men en classe

    Le 23 mars 2005, il parlait de la trachéotomie dans un cours d'approfondissement des connaissances. Il a évoqué les mensonges de'"l’auto Immolation de la Place Tian an men" et révélé que c’était un coup monté du régime de Jiang pour diffamer le Falun Gong. Les étudiants qui ont été trompés par la propagande du PCC l'ont rapporté aux autorités de l'université. Plus de dix officiers de police sont venus arrêter Sang Chuan et piller sa résidence, après une parodie de procès tenue en secret il a été condamné à une peine pouvant aller de 3 à 7 ans
  • Davantage d’information au sujet du jeune Wang Boru : une enfance tragiquement courte (Photos)

    Wang Boru a 16 ans, un adolescent et enfant unique, que ses parents adoraient. Boru se rappelle clairement le jour de ses 10 ans. Il avait aimé son gâteau d'anniversaire le jour précédent, était satisfait et s’était endormi pour la nuit, heureux et en sécurité. Le matin, quand Boru s’est levé, il était seul. Ses parents avaient disparus et la maison était vide. Que s'était-il passé durant la nuit? Boru a demandé à tous ceux qu'il pouvait trouver. Les adultes lui ont dit qu’on avait arrêté ses parents à minuit.
  • Parents arrêtés, enfants détenus: la persécution sans répit de la famille de Xin Baodong dans la province de Hebei

    La famille de Xin Baodong souffre de nouveau de la persécution. Le matin du 21 juillet 2005, la police de la ville de Sanhe ainsi que Ma Zhixing du sous-commissariat de la ville de Juyang ont fait irruption chez les pratiquants de Falun Gong Xin Baodong et Gao Shuying et les ont emmenés de force. Xin Baodong s’est échappé en sautant du véhicule, mais sa femme Gao Shuying a été enfermée au centre de détention de la ville de Sanhe. Le père de 80 ans de Xin Baodong et ses deux enfants sont de nouveau en situation précaire.
  • La pratiquante de Falun Dafa, Mme Wang Ying a reçu contre sa volonté l’injection de drogues inconnues durant une séance de lavage de cerveau à Chuanying, dans la ville de Jilin

    Durant la séance de lavage de cerveau, Mme Wang a continué sa grève de faim pour protester contre la persécution. Le onzième jour, le bureau 610 a ordonné qu’on lui injecte des drogues inconnues deux fois par jour, en prétextant lui injecter du glucose. Les drogues lui ont provoqué des spasmes dans tout le corps, elle ne pouvait plus réfléchir normalement. Juste après cela, ils ont employé des aiguilles d'acupuncture pour la piquer sur tout le corps.