Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • La police du village de Linjia a battu à mort mme. Li Xianglan, une pratiquante de Dafa de la ville de Zhucheng, province de Shandong,

    Le 7 mai 2001, mme. Li Xianglan, une pratiquante de Dafa de 48 ans, du village de Linjia, ville de Zhucheng, a été kidnappée par les policiers Cao Jinhui et Zhu Wei du village de Linjia, et emmenée au commissariat de police. Pendant sa détention au commissariat de police, elle a été soumise à des coups brutaux et le matin suivant a été retrouvée morte.
  • Un couple de la ville de Qinhuangdao souffre de la persécution – Leur expérience traumatise leur jeune enfant

    Un matin à la fin septembre 2002, Mme Wang sortait avec son enfant qu’elle poussait sur son vélo, lorsque le gardien du département de la sécurité de l’université l’a arrêtée. Mme Wang a dit au gardien : « Je n’irai nulle part aujourd’hui, mon enfant est trop jeune pour être séparé de moi. Vous me harcelez depuis que mon mari est parti…» Le sursis a duré environ une demi-heure, jusqu'à ce que les policiers défoncent la porte et pénètrent dans sa maison. La petite fille de Mme Wang âgée de trois ans été témoin de l’arrestation violente de sa mère et est restée sérieusement traumatisée.
  • Les atrocités perpétuées par des gardes du camp de travaux forcés de Tumuji dans le comté de Zhalaiteqi, en Mongolie intérieure.

    De nombreux pratiquants de Dafa qui ont été emprisonnés dans le camp de travaux forcés de Tumuji dans la province de Mongolie intérieure n’ont pas renoncé sous la torture et ont continué à pratiquer le Falun Dafa. Mr Duan Heping, gardien du camp, s’est plaint de Mr Zhu Jijun, le commissaire politique [1] pour ne pas avoir été assez dur contre les pratiquants et n’avoir pas atteint le résultat qui était demandé par les autorités supérieures. Il a même déclaré que pour « transformer » [2] les pratiquants, ce n’est pas un gros problème de les frapper à mort. Zhu Jijun a donc été critiqué et a déposé sa démission.
  • Une grand-mère de 60 ans est persécutée et n’a personne pour lui venir en aide

    À Houshantun, dans le village de Zhengxing réside un grand-mère âgée de 60 ans. On lui a pris toutes ses économies, l'a illégalement emprisonnée, persécutée et menacée pour l’unique raison que certains membres de sa famille pratiquent le Falun Gong. Son fils a été envoyé dans un camp de travaux forcés et elle dû prendre en charge ses deux jeunes petits-fils. Elle n’a personne pour l’aider financièrement à s’occuper de ses petits fils alors chaque jour elle va à plusieurs départements gouvernementaux pour leur demander de l’aide où on l’accueille avec des sarcasmes et des menaces.
  • Mlle Zhang Conghui, pratiquante de dix-huit ans, a été torturée jusqu’à l’effondrement mental

    Mlle Zhang Conghui, une étudiante de dix huit ans, a été expulsée de son école parce qu’elle avait appris à ses camarades de classe les faits à propos du Falun Gong. Elle pensa devoir aller Place Tiananmen faire appel pour la justice. Elle y fut arrêtée et par la suite détenue à l’Ecole Légale de Piandi (en fait un centre de lavage de cerveau) . Après deux mois de torture, elle fut relâchée le 13 mai. Les gens qui l’ont vue après qu’elle soit sortie n’ont pas reconnu la Conghui du passé.
  • Un jeune pratiquant de la province de Shandong : Aidez-moi à secourir ma mère

    "Mon cœur se brise quand je me rappelle l’atmosphère heureuse d’il y a quelques années et notre tragédie actuelle causée par la persécution. Tôt le matin du 20 juillet 1999, des policiers des services de police de la ville de Weifang ont enlevé maman. Elle a été relâchée un mois plus tard. Durant cette période, ma grand-mère et ma tante sont toutes deux mortes de la persécution. On m’a d’abord dit qu’elles étaient retournées dans notre ville natale dans le Nord ouest de la Chine, les adultes craignant que je ne puisse supporter la tragédie et je l’ai cru. J’ai réalisé par la suite que grand-mère était morte."
  • Tortures cruelles au Camp de Travaux Forcés de Gaoyang des pratiquantes ont été enterrées vivantes, gavées avec de l’urine et étouffées avec des serviettes sanitaires souillées

    Je suis une pratiquante du Falun Dafa et la police m’a kidnappée et amenée au camp de travaux forcés de Gaoyang. Lorsque je suis arrivée, les gardes m’ont amenée avec d’autres pratiquantes dans un lieu désert pour nous enterrer vivantes. Les gardes ont allumé un feu de camp et ont creusé un grand trou. Ils nous ont poussées dans le trou et ont dit que si nous n’abandonnions pas nos convictions que nous serions enterrées vivantes et que si nous mourrions, ce serait considéré comme un suicide.
  • Plus de 70 professeurs de la province de Sichuan ont été démis de leurs fonctions parce qu'ils pratiquent le Falun Dafa

    En 2003, plus de 70 professeurs qui admettaient être des pratiquants de Falun Dafa ont été démis de leurs fonctions dans le Comté de Dazhu dans la Province de Sichuan. Durant le second trimestre 2003, Li Yuexue a menacé les professeurs de "suspensions ou de renvois de poste" et a forcé 70 professeurs qui pratiquent le Falun Dafa à assister à un programme de lavage de cerveau gouvernemental. Il leur a dit qu'ils ne pourraient pas retourner enseigner avant d'avoir terminé le programme de lavage de cerveau et renoncé à leur croyance en Falun Dafa.
  • La persécution de 20 pratiquants de Dafa dans le comté de Dazu, province de Sichuan démontre l’ampleur, la sévérité et la nature radicale de la répression du Falun Gong

    Le chef du « Bureau 610 » * dans le comté de Dazu, province de Sichuan, a collaboré avec le bureau de la sécurité publique en suivant les ordres de Jiang pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. Ils ont saccagé leurs maisons, leur ont extorqué de l’argent sous forme d’amendes, les ont jetés dans des centres de détention et en prison, les ont illégalement condamnés et soumis à des programmes de lavage de cerveau forcé qui font usage de la violence et de la torture et ils ont impliqué leurs familles et leurs proches dans cette persécution.
  • La mère d’un résident de Toronto est au seuil de la mort suite à l’injection de drogues endommageant les nerfs (Photo)

    Selon le fils de Huang Xin, Zeng Xiaonan, qui demeure à présent à Toronto au Canada, elle avait été placée dans la division des maladies contagieuse de la salle des hépatites de l’hôpital pendant quatre mois, ou elle a été forcée de prendre deux doses journalières de Chlorpromazine hydrochloride. Lorsque les pratiquants de Falun Gong hors de Chine ont téléphoné à la prison, les autorités ont dit que Huang Xin devait prendre la Thorazine parce qu’elle avait une maladie mentale, mais ils se sont tus lorsqu’on leur a demandé si on avait fait passé un examen médical et psychologique à Huang Xin . La prison reçoit constamment des coups de téléphone de l’étranger et la révélation de leurs actions criminelles rendent les autorités très nerveuses.
  • Les Autorités arrêtent deux sœurs ; leur mère meurt d’une attaque cardiaque causée par L’inquiétude et le chagrin

    Après avoir vu ses deux filles traînées dans les véhicules de police, Li Lunhui fut extrêmement inquiète et très bouleversée. Bientôt, Li et son mari allèrent tous les deux au bureau de An Zhenzhi, la personne responsable de l’arrestation de ses deux filles. Le couple insista pour qu’on leur permette de voir leurs filles, mais on le leur refusa. Ayant appris que leurs filles avaient été torturées pendant leur garde a vue, Mme. Li devint très bouleversée. Elle subit une soudaine et importante attaque cardiaque, et mourut à 6 :30, le 30 mars 2004. En si peu de temps, une famille heureuse fut déchirée par une tragédie résultant de la persécution.
  • Le "Bureau 610" de la Ville de Dandong force les écoliers à dénoncer les pratiquants de Dafa

    Récemment, dans la Province du Liaonnig, le "Bureau 610"(1) de la ville de Dandong s'est associé au Bureau d'Education de la Ville et à d'autres organisations gouvernementales pour faire une campagne dans tout le milieu des étudiants de l'école élémentaire pour "exposer et critiquer" le Falun Gong. A l'Ecole Elémentaire de Fuchun, ils ont forcé chaque étudiant à dénoncer tout autre étudiant, enseignant, ou parent qui pourrait pratiquer ou avoir des relations avec les pratiquants de Falun Gong. La pression était terrifiante.
  • Une Pratiquante âgée Mlle Huang Yongmei a été torturée jusqu’à l’infirmité dans la Province de Hubei

    Le Centre de lavage de cerveau du « 610 » d’Etouwan dans le Wuhan, Province de Hubei, a persécuté la pratiquante de Falun Gong Huang Yongmei qui a plus de cinquante ans. Par suite de la persécution, elle est devenue infirme. Dans le centre de lavage de cerveau, Mlle Huang a été immobilisée à deux lit de métal pendant cinq jours consécutifs sans relâche. Les auteurs ont aussi essayé d’éloigner les deux lits, en créant une torture semblable au " démembrement avec cinq chevaux ". Ci-dessous est une lettre ouverte de Liu Mengze, le mari de Mlle Huang, écrite au personnel du 610 dans le District Qiaokou, ville de Wuhan.
  • Jiang et son régime empoisonnent la jeunesse avec des mensonges pour standard de moralité.

    Pour aider les nombreux enfants en Chine qui ne peuvent pas suivre l’école, le pays collecte des dons à l’étranger avec « Le projet de l’espoir. » Pendant ce temps Jiang et son régime dépensent d’énormes quantités d’argent et de ressources humaines pour calomnier « Vérité, Compassion, Tolérance, » et empoisonner les jeunes enfants pour soutenir la persécution.
  • On ignore à quel endroit se trouvent une fillette de 1 1/2 ans et sa mère après leur arrestation par la police de Beijing

    Le 5 mars, la police de Beijing a amené Mme Men Xiangrong, une pratiquante du Falun Gong, son mari (un non pratiquant), et leur fillette de 1 ½ ans au commissariat local. Plus tard, la police a ramené le mari de Men à la maison et a confisqué leurs biens. Personne ne sait où sont Mme Men et sa fille en ce moment.