Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Comment des pratiquantes sont torturées au Poste de Police de Tiananmen (Illustration)

    Je suis une pratiquante de Dafa qui vit dans la région de Baoding, dans la province de Hebei. En novembre 2001, j’ai été illégalement arrêtée au centre de détention de Qingquand, où j’ai rencontré 11 pratiquantes du nord est de la Chine. Après avoir parlé avec elle, j’ai appris qu’elles étaient allées à Beijing faire appel et avaient été arrêtées. Elles ont d’abord été illégalement détenues au poste de police puis envoyées au centre de détention de Qingquan.
  • Illustrations des méthodes de torture utilisées pour persécuter les pratiquants de Falun Gong (14 -- 15)

    Les pratiquants de Falun Gong ont été brutalement torturés dans les centres de détentions, les prisons et les camps de travail chinois (lao gai) parce qu’ils refusent de renoncer à leurs croyances, et font pacifiquement appel pour leurs droits humains les plus élémentaires. Une des méthodes de torture est de menotter et enchaîner les pratiquantes de sorte que leurs corps soient forcés dans des positions douloureuses, puis les faire se déplacer d’une cellule à l’autre leur infligeant intentionnellement davantage d’humiliation et de douleur.
  • La mère d’un enfant de moins d’un mois est illégalement emprisonnée

    Mme Lu Yanna, une pratiquante de Falun Dafa et ancienne enseignante au Premier Collège Professionnel de la ville de Longkou, province de Shandong a été persécutée au point d’être destituée et sans abri. Avec son enfant de moins d’un mois, on l’a ramenée de force dans la ville de Longkou où elle a été emprisonnée par la police de la ville de Longkou, comté de Qiansan, province de Anhui, situé à 300 miles à l’extérieur de la ville. On l’a également forcé à signer une déclaration pour qu’elle remette son enfant de moins d’un mois aux soins nourriciers de sa famille.
  • M. Li Chuanwen décède suite aux tortures subies au camp de travaux forcés de Chaoyanggou, province de Jilin

    Le 10 mars, le camp a secrètement préparé les documents pour sa « libération de 7 jours pour cause de maladie » Ils l’ont amené à l'infirmerie le lendemain, en disant qu'un médecin devait l’examiner. Mais au lieu de cela, ils lui ont injecté quelque chose et l’ont emmené au bureau de la succursale de la sécurité publique de Hongmei. Il était très pâle et toussait constamment. Le 12 mars, il a été emmené chez un pratiquant, Gai Yongguang. La nuit du 18 mars, plusieurs pratiquants l’ont emmené à l’Hôpital d’Aimin de Meihekou. Li Chuanwen est décédé à 18h 12, le 19 mars. Ses amis pratiquants l’ont habillé emmené à la morgue de l’hôpital. Le matin du 20 mars, Li a été incinéré selon les arrangements de la sécurité publique de Hongmei.
  • Document sur la persécution au camp de travaux forcés de Jinzhou

    Dans les salles de torture, on obligeait les pratiquants déterminés à porter des casques de protection et ils étaient menottés. Ensuite, on les bloquait debout dans un coin, près d’un bureau placé en diagonale. Il y avait deux policiers et un détenu par équipe ; les policiers changeaient toutes les trois heures et les détenus toutes les six heures. On obligeait les pratiquants à regarder des programmes de télévision qui insultaient Dafa et à rester debout pendant de longues périodes. Ils n’avaient ni le droit de dormir, ni le droit de fermer les yeux ou de relâcher la tête. Les détenus se tenaient avec dans les mains soit une matraque électrique, soit une planche de lit ; ils frappaient ou électrocutaient les pratiquants s’ils relâchaient la tête ou s’ils fermaient leurs yeux.
  • La famille de Li Huiping, une enseignante du primaire, est dévastée du fait de la persécution

    Le 17 février 2004, les services de sécurité de l’entreprise lui ont tendu un piège en lui demandant de les suivre, sous prétexte qu’ils avaient à parler avec elle. Le deuxième jour, son mari Bao Weiyuan a reçu une notice des Services de la Politique et de la Sécurité de la région de Jinning, lui demandant de signer une « Notice pour Interrogatoire. » M. Bao a dit, « Vous avez arrêté et détenu ma femme sans raison, ce qui empiète sur le droit fondamental d’un citoyen et viole la constitution. » Il a par conséquent refusé de signer la notice et s’est querellé avec eux. Environ dix jours plus tard, Mme Li a été arrêtée, son mari a été trouvé mort chez lui.
  • La pratiquante, Mme Gao Fen est torturée dans l'hôpital psychiatrique de la ville de Jiaozhou

    En juin 2000, j'ai été arrêtée sans raison et conduite au commissariat de police de Fuan. J'ai été enfermée dans une cage en métal. Les policiers ne nous permettaient pas de manger, ni de boire, ni d’aller à la toilette. Ils nous ont détenus sans raison pendant 7 jours. Après, le gouvernement de la ville de Jiulong m'a envoyée à l'hôpital psychiatrique de la ville de Jiaozhou pour m’y faire torturer.
  • Torture et meurtre des pratiquants de Dafa dans le camp de travaux forcés de la ville de Qiqihar

    Depuis novembre 1999, la police et les gardiens du camp de travaux forcés de la ville de Qiqihar (autrefois le camp de travaux forcés de Shuanghe) ont illégalement détenu des pratiquants de Dafa. Ils torturent les pratiquants en les suspendant en les menottant à un anneau de fer attaché au sol, les privant de sommeil, les exposant aux moustiques, enchaînant leurs pieds et menottant leurs mains sur une chaise en métal , en les forçant à travailler dur pour fabriquer des pesticides toxiques, en extorquant leurs argents et leurs affaires personnelles, aussi bien qu’en les soumettant à des diverses méthodes de tortures mentales.
  • Violence dans la prison de Shijiazhuang: Privation de sommeil et enfoncer des clous dans les ongles des pratiquants

    Les gardes de la prison de Beijiao, de la ville de Shijiashuang, ont utilisé toutes sortes de méthodes, combinées à des tortures brutales et des menaces pour persécuter les pratiquants de Dafa. A cause du blocage d’informations les nouvelles n’arrivent pas au monde extérieur. Les informations citées plus haut sont envoyées par un pratiquant de Dafa qui a risqué sa vie pour briser le blocage. Nous espérons que tous les pratiquants de Dafa et les gens épris de justice prêteront attention à la persécution qui se déroule dans la prison de Beijiao de la ville de Shijiazhuang.
  • Un homme âgé du nom de Lui Youhui de la Province de Guandong meurt des suites de la persécution

    Aux alentours de septembre 2003, la police local et le bureau »610 » ont enlevé de nouveau oncle Youhui et l’ont envoyé dans une classe de lavage de cerveau. La police l’avait arrêté avec violence. A cause des harcèlements répétés, des intimidations et des arrestations, un vieux monsieur si gentil a été dévasté physiquement et moralement. Plusieurs mois après qu’oncle Youhui a été libéré de la classe de lavage de cerveau, il a de nouveau eu ses vieilles maladies et il est mort le 14 février 2004.
  • Une dame âgée de la Province de Liaoning, Mme Li Yansong est morte suite à la persécution

    Mme Li Yansong était une pratiquante de Dafa de 57 ans de la ville de Dalian dans la Province de Liaoning. En septembre 2000, elle est allée à Beijing pour faire appel en faveur du Falun Gong. A la station de bus de Dalian on lui a ordonné d’insulter Maître. Elle a refusé fermement et a été arrêtée. Plus tard elle a été envoyée dans un camp de travaux forcés pour y être persécutée. Sa santé s”est détériorée à cause de la torture. Pour ne pas endosser de responsabilité le camp de travaux forcés l’a libéré pour raison médicale. Elle est rentrée chez elle en avril 2001 et est morte en novembre 2003.
  • Une mère âgée pleure la mort de sa fille et l’état d’handicapé de son fils des suites de la torture pendant qu’il était en détention

    M. Jiang Lide est un pratiquant de Dafa de la ville de Dehui de la Province de Jilin âgé de 34 ans. Il est très faible et est devenu handicapé. Le soir du 14 mai alors qu’il rentrait chez lui il a été de nouveau enlevé par les autorités. La petite soeur de M. Jiang, Mme Jiang Chunxian a été torturée à mort en détention. Quand les membres de sa famille ont examiné son corps, ils ont trouvé des blessures ensanglantées sur son dos. En plus il y avait deux déchirures à l’intérieur de ses cuisses. Les responsables de la prison ont forcé les membres de sa famille à signer les papiers pour son incinération.
  • Le pratiquant de Dafa M Li Zhen, économiste originaire de Xiangtan, dans la Province de Hunan, est mort sous la torture (Photo)

    En février 2002, le Bureau de la Sécurité Nationale de la ville de Xiangtan a lancé une vague d'arrestations contre les pratiquants de Dafa. Le 2 février 2002, vers 9h :00, un homme d'environ 30 ans a menti à Li Zhen pour qu'il le suive dans une mine de charbon (Li avait été licencié de son poste d'économiste et gagnait sa vie en conduisant des gens à moto). Avant même que Li Zhen ne descende de sa moto, sept ou huit agents se sont précipités pour le plaquer au sol.
  • Informations détaillées sur la mort par la torture de la pratiquante de Dafa, Mme Sun Guilan, par le département de la police de Jintai, ville de Baoji, province de Shaanxi (photo)

    Sous la direction du Directeur Zhang et le médecin, plusieurs gardiens ont encerclé Mme Sun et se sont servis de méthodes plus cruelles encore pour faire pression sur la tête de Mme Sun, lui ouvrir la bouche brutalement et la gaver de force. Ceci fit en sorte que Mme Sun fut incapable de respirer et elle toussait constamment et vomissait. Plus tard, lorsque Mme Sun fut renvoyée à sa cellule elle continuait toujours de tousser et de vomir. Le deuxième jour, l’après-midi du 8 octobre, Mme Sun Guilan est décédée en raison des tortures. Les détenus criminels témoins des crimes de ces policiers pervers n’ont pas pu retenir leurs larmes.
  • L'Association Psychiatrique Mondiale s'apprête à enquêter à Pékin : Cas de personnes en bonne santé tuées par les drogues dans les hôpitaux psychiatriques en Chine (Photos)

    Les organismes de droits de l’homme estiment que depuis le 20 juillet 1999, plus de 1000 pratiquants de Falun Gong en bonne santé ont été emprisonnés dans les hôpitaux psychiatriques et centres de réhabilitation pour narcomanes, où ils ont été injectés avec des substances toxiques nocives pour le système nerveux, torturés par chocs électriques, attachés durant des périodes prolongées et gavés de force etc. On a appris que plus de 100 hôpitaux psychiatriques, aux niveaux provincial, communal et de district en Chine ont été impliqués dans cette persécution.