Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Une fillette de 4 ans kidnappée par des officiers de la brigade nationale de sécurité de la ville de Chongqing ; personne ne sait où elle se trouve

    La mère de la petite Yuanyuan a été arrêtée au cours de la deuxième moitié du mois de décembre 2003 par Zhang Liang, capitaine de la brigade nationale de sécurité de la ville de Chongqing. Dans le centre de détention, Wu Yongmei a fait une grève de la faim pendant 54 jours et elle a été relâchée alors qu’elle était au seuil de la mort. Le jour du nouvel an 2004, quatre policiers du premier commissariat de la région de Tongnan ont emmené de force la petite Yuanyuan et jusqu’à ce jour, nous n’avons toujours pas d’information sur le lieu où elle se trouve.
  • Méthode de torture No. 8: Brûler le corps des pratiquants avec des objets chauffés au fer rouge

    Une des méthodes de torture utilisée dans les salles d’interrogatoire, les camps de travaux forcés et les centres de lavage de cerveau sous le système de la Sécurité Publique est d’utiliser des objets extrêmement chauds pour brûler le corps des pratiquants. Cette forme de torture inclut l’utilisation de briquets pour brûler les visages et parfois les sourcils des pratiquants, leurs mentons, leurs mains, leurs cuisses ou leurs parties intimes. Il arrive que des barres de métal soient chauffées au fer rouge et utilisés pour brûler la poitrine et les cuisses des pratiquants
  • Méthodes de torture brutales utilisées sur les pratiquants de Falun Dafa au camp de travail forcé de Changlinzi (Illustrations)

    Le camp de travaux forcés inflige des séances de gavage aux pratiquants qui ont entamé une grève de la faim pour protester contre leur condamnation illégale aux travaux forcés. La plupart du temps le tube plastique rigide porte des traces de sang. La séance de gavage abîme le nez, l’œsophage, et l’estomac de bon nombre de pratiquants. Deux criminels agrippèrent les bras de M. Kong Xiaohai durant un gavage. Il cracha du sang après le gavage et endura de grandes souffrances. Il mourut deux jours plus tard, mais le camp de travaux forcés expliqua mensongèrement que M. Kong était mort d’une attaque cardiaque.
  • Faits supplémentaires sur la façon dont le pratiquant de Falun Dafa, M. Liu Jian, a été torturé à mort

    M. Liu Jian, un pratiquant de Falun Dafa travaillait dans une librairie à Jinan, province de Shandong. Il a été kidnappé et envoyé au camp de travail de Liuchangshan, dans la ville de Jinan, en mars 2001, pour purger une peine de trois ans dans un camp de travaux forcés. Il a été affecté au 3e escadron de la 2e brigade. Le nom du capitaine était Wang. Parce que M. Liu persistait dans sa croyance droite dans Falun Dafa et refusait d'être « transformé » [1], les gardiens l’ont enfermé, à part, dans une petite cellule qui était sombre et humide. Il a souffert toutes sortes de tortures. Il faisait une grève de faim quand il a été torturé à mort.
  • Une jeune femme paralysée de la taille aux pieds par la persécution

    Pour éviter d’être arrêtée et d’être persécutée encore, j’ai été forcée de sauter du 5e étage. J’ai souffert d’avoir le dos blessé sous la compression et j’ai subi plusieurs fractures aux jambes. Habituellement, dans le cas d'un tel accident grave, le patient est déplacé sur une civière et immédiatement envoyé à l'hôpital pour éviter de plus amples dommages aux nerfs. Cependant, deux officiers de police m'ont tirée par les pieds et m'ont forcée à marcher, ce qui a fait que les os qui avaient été cassés traversaient la chair ce qui a endommagé les nerfs dans mon dos et mes jambes. Selon le diagnostic de l'hôpital du peuple de la ville de Dehui, je serai paralysée de la taille aux pieds de façon permanente. En dépit du diagnostic, les autorités au bureau politique de la sécurité de la ville de Dehui m'ont envoyée à l'hôpital du camp de travaux forcés de Changchun pour que je sois persécutée davantage.
  • Supplément d’informations concernant la mort de Mme Zhang Yuzhen, pratiquante de Dafa de la ville de Zhangjiakou

    Zhang Yuzhen était parmi les pratiquantes dans son secteur qui imprimaient et distribuaient des documents exposant la persécution, expliquant la vérité sur le Falun Dafa et révélant les crimes qui étaient commis. Ces pratiquants ont expliqué la véritable situation à une quantité de personnes différentes et de secteurs de la communauté. Le 4 mai 2004, le commissariat de police de Qiaoxi Dajingmen a informé la famille de Zhan Yuzhen de sa mort. Zhang Yuzhen était morte dans une petite clinique de la région de Huaxiangzi de Qiaoxi. Après seulement quelques mois de détention.Ils n’ont pas été en mesure de donner une explication à sa famille après sa mort.
  • Illustrations et reconstitutions de tortures : Brûlures; Gavage forcé ; Suspendre par les mains menottées derrière le dos; Transpercer les mains et les doigts; et le Banc du tigre

    Avertissement: ce sont des descriptions d’actions vraiment répulsives
  • Comment des pratiquantes sont torturées au Poste de Police de Tiananmen (Illustration)

    Je suis une pratiquante de Dafa qui vit dans la région de Baoding, dans la province de Hebei. En novembre 2001, j’ai été illégalement arrêtée au centre de détention de Qingquand, où j’ai rencontré 11 pratiquantes du nord est de la Chine. Après avoir parlé avec elle, j’ai appris qu’elles étaient allées à Beijing faire appel et avaient été arrêtées. Elles ont d’abord été illégalement détenues au poste de police puis envoyées au centre de détention de Qingquan.
  • Illustrations des méthodes de torture utilisées pour persécuter les pratiquants de Falun Gong (14 -- 15)

    Les pratiquants de Falun Gong ont été brutalement torturés dans les centres de détentions, les prisons et les camps de travail chinois (lao gai) parce qu’ils refusent de renoncer à leurs croyances, et font pacifiquement appel pour leurs droits humains les plus élémentaires. Une des méthodes de torture est de menotter et enchaîner les pratiquantes de sorte que leurs corps soient forcés dans des positions douloureuses, puis les faire se déplacer d’une cellule à l’autre leur infligeant intentionnellement davantage d’humiliation et de douleur.
  • La mère d’un enfant de moins d’un mois est illégalement emprisonnée

    Mme Lu Yanna, une pratiquante de Falun Dafa et ancienne enseignante au Premier Collège Professionnel de la ville de Longkou, province de Shandong a été persécutée au point d’être destituée et sans abri. Avec son enfant de moins d’un mois, on l’a ramenée de force dans la ville de Longkou où elle a été emprisonnée par la police de la ville de Longkou, comté de Qiansan, province de Anhui, situé à 300 miles à l’extérieur de la ville. On l’a également forcé à signer une déclaration pour qu’elle remette son enfant de moins d’un mois aux soins nourriciers de sa famille.
  • M. Li Chuanwen décède suite aux tortures subies au camp de travaux forcés de Chaoyanggou, province de Jilin

    Le 10 mars, le camp a secrètement préparé les documents pour sa « libération de 7 jours pour cause de maladie » Ils l’ont amené à l'infirmerie le lendemain, en disant qu'un médecin devait l’examiner. Mais au lieu de cela, ils lui ont injecté quelque chose et l’ont emmené au bureau de la succursale de la sécurité publique de Hongmei. Il était très pâle et toussait constamment. Le 12 mars, il a été emmené chez un pratiquant, Gai Yongguang. La nuit du 18 mars, plusieurs pratiquants l’ont emmené à l’Hôpital d’Aimin de Meihekou. Li Chuanwen est décédé à 18h 12, le 19 mars. Ses amis pratiquants l’ont habillé emmené à la morgue de l’hôpital. Le matin du 20 mars, Li a été incinéré selon les arrangements de la sécurité publique de Hongmei.
  • Document sur la persécution au camp de travaux forcés de Jinzhou

    Dans les salles de torture, on obligeait les pratiquants déterminés à porter des casques de protection et ils étaient menottés. Ensuite, on les bloquait debout dans un coin, près d’un bureau placé en diagonale. Il y avait deux policiers et un détenu par équipe ; les policiers changeaient toutes les trois heures et les détenus toutes les six heures. On obligeait les pratiquants à regarder des programmes de télévision qui insultaient Dafa et à rester debout pendant de longues périodes. Ils n’avaient ni le droit de dormir, ni le droit de fermer les yeux ou de relâcher la tête. Les détenus se tenaient avec dans les mains soit une matraque électrique, soit une planche de lit ; ils frappaient ou électrocutaient les pratiquants s’ils relâchaient la tête ou s’ils fermaient leurs yeux.
  • La famille de Li Huiping, une enseignante du primaire, est dévastée du fait de la persécution

    Le 17 février 2004, les services de sécurité de l’entreprise lui ont tendu un piège en lui demandant de les suivre, sous prétexte qu’ils avaient à parler avec elle. Le deuxième jour, son mari Bao Weiyuan a reçu une notice des Services de la Politique et de la Sécurité de la région de Jinning, lui demandant de signer une « Notice pour Interrogatoire. » M. Bao a dit, « Vous avez arrêté et détenu ma femme sans raison, ce qui empiète sur le droit fondamental d’un citoyen et viole la constitution. » Il a par conséquent refusé de signer la notice et s’est querellé avec eux. Environ dix jours plus tard, Mme Li a été arrêtée, son mari a été trouvé mort chez lui.
  • La pratiquante, Mme Gao Fen est torturée dans l'hôpital psychiatrique de la ville de Jiaozhou

    En juin 2000, j'ai été arrêtée sans raison et conduite au commissariat de police de Fuan. J'ai été enfermée dans une cage en métal. Les policiers ne nous permettaient pas de manger, ni de boire, ni d’aller à la toilette. Ils nous ont détenus sans raison pendant 7 jours. Après, le gouvernement de la ville de Jiulong m'a envoyée à l'hôpital psychiatrique de la ville de Jiaozhou pour m’y faire torturer.
  • Torture et meurtre des pratiquants de Dafa dans le camp de travaux forcés de la ville de Qiqihar

    Depuis novembre 1999, la police et les gardiens du camp de travaux forcés de la ville de Qiqihar (autrefois le camp de travaux forcés de Shuanghe) ont illégalement détenu des pratiquants de Dafa. Ils torturent les pratiquants en les suspendant en les menottant à un anneau de fer attaché au sol, les privant de sommeil, les exposant aux moustiques, enchaînant leurs pieds et menottant leurs mains sur une chaise en métal , en les forçant à travailler dur pour fabriquer des pesticides toxiques, en extorquant leurs argents et leurs affaires personnelles, aussi bien qu’en les soumettant à des diverses méthodes de tortures mentales.