Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Meurtre de Gu Xiuxian pratiquant de Dafa et d’autres en résultat de la torture aux mains de la police de la ville de Shuangcheng

    Avant le 10 mars, plus de cinquante pratiquants de Dafa ont été illégalement arrêtés. La plupart d’entre eux ont été kidnappés chez eux dans les régions rurales. On sait que trois pratiquants de Dafa sont morts en détention. Mme Gu Xiuxian, environ 35 ans, une résidente de la ville de Shuangcheng, a été torturée à mort durant une alimentation forcée par intubation. Les détails des autres morts sont en attente d’enquête.
  • Une conférencière Li Xianghong condamnée à onze ans de Prison

    Le 20 juillet 1999, le régime de Jiang a lancé la persécution contre les pratiquants de Falun Gong, mais Li Xianghong n’a pas renoncé à sa croyance. En octobre 1999, elle a été placée de force dans le Quatrième Hôpital de Xinjiang (un hôpital pour malades mentaux) malgré qu’elle n’ait aucun antécédent de maladie mentale, et y a été détenue pendant deux mois, où on lui a injecté de force des produits dommageables pour le système nerveux.
  • Une famille de pratiquants de Falun Gong est brutalement persécutée pour leur croyance; incapable de soutenir la persécution, les deux parents meurent

    Après que j'aie été libérée, j'ai été choquée d’apprendre ce qui s'était produit avec ma famille. Ma vieille mère n’avait pu supporter la grande pression mentale et elle était morte. Le 20 juillet, ma fille a été sans justification arrêtée. Seulement mon mari, mon petit-fils de 2 ans et moi avons été laissés à la maison. Après avoir fini les arrangements funèbres, mon mari et moi sommes allés partout pour savoir où était ma fille. Pour obtenir plus d'argent, la police a envoyé ma fille au centre de détention 1 de la ville de Shijiazhuang et a prétendu qu'ils libéreraient ma fille seulement après le paiement de 5.000 Yuan.
  • Mme. Wang Shupei est torturée par le personnel du « bureau 610 » dans le centre de lavage de cerveau de la ville de Zhaoyuan

    À présent, après une longue période de persécution par le personnel du "bureau 610", Wang Shupei est agonisante et elle a été admise à l’hôpital pour traitement d’urgence. Les faits sur les raisons de son état ont été expliqués aux médecins, mais ils n'ont exprimé aucune inquiétude. Un électrocardiogramme a clairement montré les dommages provoqués par la torture, mais tous les médecins, effrayés des représailles par les autorités du "bureau 610", ont dit que sa santé était bonne.
  • Une pratiquante détenue sept fois en deux ans alors que deux membres de sa famille sont décédés.

    Pendant ma détention au camp de travaux forcés, mon père était seul. Il parlait à quiconque il rencontrait. Dés qu’il voyait un agent de police, il demandait à cette personne de nous transmettre de bons mots au camp de travaux forcés, et il exprimait son souhait de me voir. Après que j’ai été jetée dans le camp de travaux forcés, il a été hospitalisé et était mourrant. Mon mari est venu au camp de travaux forcés pour essayer de me faire rentrer et rendre visite à mon père, mais le camp de travaux forcés a refusé. Ainsi, mon père est décédé quand j’étais emprisonnée.
  • La famille de pratiquants de Falun Gong est brutalement persécutée pour leur croyance; incapable de soutenir la persécution, les deux parents meurent

    Pendant cette détention d'un mois, j'ai été soumise à toutes sortes de torture. Après que j'aie été libérée du centre de détention, les autorités du commissariat de police m'ont détenue 20 jours de plus. On ne m'a pas permis de dormir. J'ai été menottée 24 heures sur 24. Mes mollets sont devenues enflés et aussi épais que mes cuisses, ainsi je ne pouvais pas plier mes jambes. Le chef de police Zhang Guohui et l'instructeur politique Zhang Jianliang ont extorqué 5.000 Yuan à mes membres de famille avant de me libérer. Après que j'aie été torturée pendant plus de 2 mois, mon père qui avait plus de 70 ans, m’a vue et a été plein de peine et d’indignation. Le neuvième jour après ma libération, il est mort.
  • Mme Zou Wenyu perd la vue après qu’on lui ait injecté des substances inconnues au camp de travaux forcés de Baimalong.

    Les pratiquants de Falun Gong sont torturés de manière inhumaine en détention. Le personnel du camp de travaux forcés de Baimalong dans la ville Zhuzhou, province de Human, a injecté des substances inconnues à Mme Zou. En conséquence elle est devenue aveugle et sourde. Elle est maintenant handicapée et a du mal à s’occuper d’elle même. Le camp de travaux forcés n’a pas demandé au mari de Mme Zou de venir la chercher - son état a empiré et sa santé s’est détériorée.
  • La pratiquante de Dafa Mme Ma Liqin se retrouve paralysée après avoir été torturée par la police

    Le 5 mars 2002, Mme Ma fut arrêtée par le policier Qin Yong du Poste de Police Dongfeng du District de Xinxing parce qu'elle pratique le Falun Gong. Elle fut envoyée plus tard au Centre de Détention N° 2 de Beishan. Le 15 mars, le directeur du Centre de Détention N° 2, Yin Zhongliang, entraîna de force Mme Ma dans son bureau et la tortura violemment. Il lui donna des coups de pieds, écrasa sa tête contre le mur, et cogna son visage. La torture provoqua des contusions sur tout son corps, et sa tête devint terriblement enflée. Mme Ma perdit conscience sur place. Mme Ma reprit conscience quatre jours plus tard, mais elle ne pouvait plus bouger.
  • Un policier de la ville de Baochang, en Mongolie, enlève brutalement une frêle pratiquante

    "Vers 4 ou 5 heure de l’après midi, une journée en avril, alors que je passais devant l’édifice du bureau des Grains, une scène devant une boutique de vêtements m'interpella. Je vis 4 ou 5 hommes entourer une femme; un des hommes l'a empoigné d' une main et l’a jetée à terre du haut d’un escalier. Un comportement aussi cruel et violant m’a sidéré. En regardant de plus près, j’ai découvert que l’homme était le policier, Zhao Baoming, en civil, suivi de près par deux autres policiers en civil également. Les trois hommes ont traîné de force cette femme dans une camionnette. Évidemment, elle ne voulait pas les suivre . Elle s’est débattue de toute ses forces en criant : « Je pratique le Falun Gong. Je suis une bonne personne. C’est une persécution ! »
  • Aveugle et âgée, Madame Bo Minghua est soumise à une torture incessante

    Ma fille et moi-même, Bo Minghua, avons été soumises à une torture brutale parce que nous pratiquons le Falun Gong. Nous avons été soumises à un traitement inhumain depuis le 28 septembre 2002, date à laquelle nous avons été jetées en prison pour aucune raison valable. Au cours d’un interrogatoire par exemple, la police m’a mis des chaînes de 20 kg aux pieds parce que je refusais de porter l’uniforme de la prison. Je ne pouvais pas bouger à cause de ces entraves. Les policiers ont été forcés de faire appel à deux autres prisonniers pour me traîner jusqu’à l’interrogatoire.
  • Accusé d’avoir diffusé des programmes documentaires sur la chaîne de télévision locale dans la province de Hebei, M. Cheng Fengxiang a des tiges de bambous enfoncées sous ses ongles

    En raison de sa participation prétendue dans la diffusion à la Télévision d’informations documentaires concernant le Falun Gong dans les régions de Shahe et de Xingtai, M. Cheng Fengxiang, originaire du comté de Yongnian de la province de Hebei, a été arrêté le 28 janvier 2004 par la police locale du comté. . Dans le but d’obtenir une récompense pour avoir trouvé le matériel utilisé lors des diffusions télévisées, le capitaine de l’escadron de la police criminelle, Yang Qingshe, a torturé Cheng en lui enfonçant des tiges de bambous sous les ongles. Cette scène de torture a choqué les autres policiers.
  • Les pratiquants de Dafa sont brutalement torturés au Camp deTravail Forcé d e Jianxin de la Ville de Tianjin

    Dans une torture particulièrement cruelle, les gardiens de prison forcent les pratiquants de Dafa à entrer dans une très étroite boîte en bois où ils ne peuvent que se tenir debout, il y est extrêmement difficile de respirer. Ils sont enfermés debout pendant plus de dix jours et souvent plus longtemps, sans dormir, sans pouvoir utiliser les toilettes, et le plus souvent sans nourriture.
  • Des pratiquantes forcées à l’esclavage et exposées à des contaminations environnementales au camp de travaux forcés pour femmes de Qingpu, à Shanghai

    Une pratiquante, Mme. Qian, qui était sur le point d’être libérée, a été forcée de travailler tous les jours jusqu’à minuit. A ce moment là le travail était de connecter des ampoules. Une pratiquante devait relier dix huit petites ampoules avec des socles en métal, ce qui signifiait connecter deux fils pour chaque section. Le quota était un sac et demi, ou 4800 ampoules par jour. Les mains de beaucoup de gens se sont déformées, les ongles des mains cassés, et certaines ont souffert de tendinites, les articulations des doigts rigides. Les pratiquantes n’étaient pas autorisées à dormir avant que le quota soit atteint
  • Au camp de travaux forcés de Masanjia – Vies brisées (Deuxième Partie)

    Une pratiquante de Falun Gong qui est sortie vivante du camp de Masanjia a dit, « A Masanjia, le plus pervers, ce n'est pas la torture et l'humiliation – on comprend aisément que cela est horrible. Les bourreaux ne recourent pas toujours à des tactiques aussi directes parce qu'ils ont peur aussi (d'être dénoncés, etc.), alors ils attendent le meilleur moment pour faire encore pire. » « Ils recourent à la persuasion et aux menaces pour détruire les pratiquants mentalement et spirituellement. Les équipes de policiers à Masanjia isolent les pratiquants du monde extérieur. Dans ce genre d'environnement fermé, ils prétendent qu'ils sont des « travailleurs altruistes dévoués à la cause du peuple et du pays » et ils qualifient les pratiquants de « gens pervers et égoïstes qui ne cherchent qu'à aller au ciel en ignorant leur famille et leur pays. »
  • Les Lois chinoises violées par Jiang Zemin en persécutant le Falun Gong

    Selon l’article 33, l’Etat devrait respecter et protéger les droits humains. Les droits humains fondamentaux incluent le droit de vivre, le droit d’être éduquer, le droit aux possessions, le droit à l’information personnelle, le droit de savoir, le droit à la dignité humaine, le droit à l’habitation, le droit à la liberté personnelle, le droit de s’exprimer soi-même, le droit à la liberté religieuse, le droit de voter ou d’être élu à un poste publique, le droit à l’assemblée, le droit de défiler/protester, etc. Selon l’Article 35, les citoyens de la République Populaire de la Chine jouissent de la liberté de parole, de presse, d’assemblée, d’association, de procédure juste et de démonstration.