Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Mme Rao Mianhua a de nouveau été arrêtée après avoir été paralysée suite à la persécution

    Mme Rao Mianhua, une pratiquante de Falun Dafa de la ville de Wuxue dans la province de Hubei, est devenue aveugle et paralysée suite à la persécution. Elle a maintenant besoin d'une chaise roulante pour se déplacer. Même dans ces conditions, les officiers de la police locale viennent souvent la harceler chez elle. Récemment, ils l'ont arrêtée vers la mi-juin. Après avoir suivi une grève de la faim de cinq jours, elle a été relâchée dans un état de maigreur avancé.
  • Informations supplémentaires sur la persécution de la pratiquante de Dafa Wen Fenhua de la province de Guangdong (photos)

    Mme Wen a été si sévèrement torturée qu’elle s’est retrouvée handicapée quand elle a été renvoyée chez elle le 17 juin. Elle était incapable de bouger et il y avait beaucoup de trous d’épingle et de cicatrices bleu foncé sur ses mains et ses poignets, ainsi que beaucoup de blessures sur ses jambes, dont certaines saignaient. Wen Fenhua doit compter sur les autres pour prendre soin d’elle et ne peut même pas se retourner. Ses yeux sont fermés, et elle ne répond que si on l’appelle par son nom.
  • Détails sur la mort de M. Zhang Zhagen au camp de travaux forcés de la ville de Kaifeng

    M. Zhang Zhagen était un pratiquant âgé de 42 ans Comme il pratiquait le Falun Gong les autorités l’ont emprisonné en 2001 dans un camp de travaux forcés pour deux ans. Le 6 mars 2005, les agents de police du commissariat de la ville de Kaifeng ont enlevé M. Zhang de sa maison. Le 7 avril, les autorités l’ont condamné à deux autres années d’éducation et de travaux forcés. Privé de tout droit de visite des membres de sa famille, M. Zhang a refusé de suivre les ordres des autorités et de dénoncer le Falun Dafa. Conséquemment, ils l’ont torturé de différentes façons. M. Zhang a été déclaré mort le matin du 28 juin 2005. Plus de détails suivent :
  • Le diplomate Chen Yonglin présente des preuves montrant que le PCC collecte les noms des pratiquants de Falun Gong à l’étranger (Photos)

    l’ex diplomate chinois Chen Yonglin a quitté le consulat chinois et cherché l’asile politique auprès de l’Australie en mai 2005, déclarant qu’il ne voulait plus surveiller le Falun Gong et les autres groupes dissidents. Le 10 juillet, Chen Yonglin a assisté à une conférence de presse et un forum avec la communauté chinoise locale. Il a remercié les gens pour leur sollicitude et exposé de nouveau l’infiltration du PCC dans les communautés d’outre-mer et comment il les manipulait. Il a également présenté des preuves supplémentaires, montrant comment les informateurs à gage du PCC fournissent aux consulats chinois des informations personnelles sur les pratiquants et les activités de groupe du Falun Gong dans les pays étrangers.
  • Kaixin : La force et l’intelligence d’une petite orpheline de quatre ans

    Kaixin est arrivée en Thaïlande en décembre 2004. Elle avait un peu plus de trois ans à l’époque. Lorsqu’elle rencontrait des adultes, un beau sourire apparaissait sur son petit visage, mais lorsqu’elle était hors de portée des regards , j’ai découvert que le sourire disparaissait immédiatement. La mère de Kaixin, Luo Zhixiang a été persécutée à mort en Chine par le Parti communiste chinois (PCC) pour sa croyance persistante dans le Falun Gong. Elle était enceinte de trois mois lorsqu’elle est morte et Kaixin avait un an.
  • Un hommage à la mémoire de la pratiquante Mme Jia Cuiying de la ville de Jishou dans la province de Hunan

    Cet article n’est pas seulement destiné à honorer la mémoire de Mme Jia Cuiying. Je l'ai écrit parce qu’il y a encore plus de 100 pratiquantes emprisonnées dans la prison provinciale pour femmes de Hunan. Elles sont brutalement persécutées à cause de leur persistance dans leur croyance juste et subissent d’énormes traumatismes. Les autorités de la prison restreignent le flot d’informations de la prison vers l’extérieur alors qu’elles continuent de persécuter impitoyablement ces femmes.
  • La persécution de Mme Ta Yueping

    Mme Ta Yueping, la quarantaine était honnête et amicale avec tout le monde et son chef la respectait beaucoup. Le personnel et les policiers du bureau 610 de la ville d’Enping ont continuellement menacé et harcelé Yueping. Ils ont fait pression sur son patron et menacé les membres de sa famille, causant un grand stress à Yueping. Les policiers l’ont illégalement enlevée 3 fois, et l’ont emmenée à des sessions de lavage de cerveau pour la persécuter. Yueping réussit à s’enfuir. En avril 2004, Yueping fut arrêtée à nouveau. La police inventa un crime et la condamna à 10 ans de prison. Elle est actuellement détenue dans la prison pour femmes de Guangzhou.
  • Un gardien de prison révèle comment Bi Wenming, un pratiquant de Falun Gong, a été torturé à mort en 30 minutes

    À partir de midi, cinq ou six gardes se sont relayés pour lui électrocuter la tête et les membres avec des matraques électriques. À chaque fois que les gardes électrocutaient M. Bi, il se contractait nerveusement de douleur encore et encore. Ils recommençaient la série suivante de décharges électriques avant même que M. Bi se soit remis de la série précédente. Au départ, M. Bi a enduré la douleur en serrant les dents silencieusement, cependant, après dix minutes de torture, il ne pouvait plus contenir sa voix. Il criait son agonie à chaque série de chocs électriques.
  • La police utilise de vieux téléphones pour électrocuter les pratiquants de manière encore plus violente – torture à Zhangqiu, dans la Province de Shandong

    La torture du "Téléphone à manivelle" consiste à attacher les fils d’un vieux téléphone aux oreilles et aux pouces de la victime. Quand les policiers tournent la manivelle, le courant électrique traverse le corps de la victime. Tout son corps entre en convulsions, mais le courant semble se concentrer au niveau du cœur. La langue peut se raidir et l’on ne peut plus parler, on peut seulement pleurer de douleur. Après un tel traitement, les victimes ont les pouces et les oreilles carbonisés. Voici quelques exemples de pratiquants de Falun Dafa qui ont été torturés de cette manière...
  • Simulations de certaines méthodes de tortures utilisées dans le camp de travaux forcés de Masanjia (Photos)

  • Le pratiquant de Dafa An Fengbao est emprisonné, sa famille n’a pas de moyen de faire appel (Photos)

    Un jour en avril 2005, An Xinming âgé de six ans a parlé à une femme qui a secouru un membre de sa famille d’un camp de travail. L’enfant de six ans a dit "Je veux te demander Madame, comment je peux secourir mon père d’un camp de travail ? " En 2001, An Fengbo a été condamné à deux ans de camp de travail parce qu’il pratique le Falun Gong. Il a été emprisonné à la quatrième division du camp de travail de Jiutai Yinmahe de la province de Jilin où il a subi des tortures et des abus inhumains de la part de la police et des détenus.
  • Sun Yubo, la fille de Sun Jihong, apprend la vérité sur la mort de son père (photos)

    Le père de Sun Yubo, Sun Jihong, 40 ans, était un inspecteur de police de sécurité publique du bureau de sylviculture de Hua Nan, dans la province de Heilongjiang. Il a été emprisonné beaucoup de fois en raison de sa croyance dans le Falun Gong. Le 25 septembre 2002, Sun Jihong a été de nouveau détenu et illégalement emprisonné dans la région de Beijing Fengtai, à la Place du Pont croisant de nombreux niveaux de Yu Quan Ying. Après 4 jours de torture, Sun Jihong est mort, le 29 septembre 2002. Il y avait un trou dans le front, deux trous dans les joues et son corps était couvert de coupures et de contusions.
  • Mme Zhang Xinyi, une pratiquante de la ville de Changsha, fait une grève de la faim depuis un mois

    Mme Zhang Xinyi et son mari, Li Guojun, étaient des réfugiés qui attendaient une autorisation du Comité des réfugiés cambodgiens des Nations Unies pour un pays d'asile. Le 2 août 2002, le Parti communiste chinois s'est entendu avec le gouvernement cambodgien pour les arrêter à leur résidence, à Jinbian et les a rapatriés en Chine. Ils ont été aussitôt emprisonnés dans un centre de détention. Parce que des organismes internationaux des droits humains et des personnes éprises de justice un peu partout dans le monde ont suivi le cas de Mme Zhang, le Parti communiste ne l'a pas tuée, mais elle a été soumise à une détention prolongée.
  • Le camp de travail Nanhu de la province de Anhui profite des pratiquants détenus

    Les pratiquants détenus devaient se réveiller à 5h00 du matin et travaillaient jusqu’à 21h00. Pendant ces quinze heures ils pouvaient utiliser les toilettes seulement une seule fois en dehors des heures de repas. S’ils n’avaient pas fini le travail qui leur était assigné ils devaient travailler jusqu’à minuit ou jusqu’au lendemain matin. Pourtant pour le monde extérieur le camp de travail prétendait : « Ici nous avons un management civilisé et humain et nos prisonniers ne travaillent que six heures par jour. »
  • Le bureau d’affectation du camp de travail de Beijing complote avec un camp de travail pour exploiter les pratiquants afin de faire du profit sur leur dos

    A cause d’une longue période de torture Wang Lei était mentalement déséquilibrée. Le 17 novembre 2004 presque huit mois après sa libération, le département de police de Fangshan à Beijing l’a de nouveau arrêtée et l’a envoyée au centre de détention de Fangshan. Pendant sa grève de la faim la police l’a continuellement gavée de force. Elle a été de nouveau condamnée et cette fois à deux ans et demi de travaux forcés et a été envoyée au bureau d’affectation du camp de travail de Daxing. Elle était extrêmement faible mais la police l’a quand même obligée à s’asseoir dans « la position du banc » avec les mains attachées sur les genoux pendant 17 heures. Afin de la forcer à écrire une lettre de garantie², la police a assigné six criminels, condamnés pour crimes liés à la drogue, pour la battre, l’humilier et la torturer