Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Simulations de certaines méthodes de tortures utilisées dans le camp de travaux forcés de Masanjia (Photos)

  • Le pratiquant de Dafa An Fengbao est emprisonné, sa famille n’a pas de moyen de faire appel (Photos)

    Un jour en avril 2005, An Xinming âgé de six ans a parlé à une femme qui a secouru un membre de sa famille d’un camp de travail. L’enfant de six ans a dit "Je veux te demander Madame, comment je peux secourir mon père d’un camp de travail ? " En 2001, An Fengbo a été condamné à deux ans de camp de travail parce qu’il pratique le Falun Gong. Il a été emprisonné à la quatrième division du camp de travail de Jiutai Yinmahe de la province de Jilin où il a subi des tortures et des abus inhumains de la part de la police et des détenus.
  • Sun Yubo, la fille de Sun Jihong, apprend la vérité sur la mort de son père (photos)

    Le père de Sun Yubo, Sun Jihong, 40 ans, était un inspecteur de police de sécurité publique du bureau de sylviculture de Hua Nan, dans la province de Heilongjiang. Il a été emprisonné beaucoup de fois en raison de sa croyance dans le Falun Gong. Le 25 septembre 2002, Sun Jihong a été de nouveau détenu et illégalement emprisonné dans la région de Beijing Fengtai, à la Place du Pont croisant de nombreux niveaux de Yu Quan Ying. Après 4 jours de torture, Sun Jihong est mort, le 29 septembre 2002. Il y avait un trou dans le front, deux trous dans les joues et son corps était couvert de coupures et de contusions.
  • Mme Zhang Xinyi, une pratiquante de la ville de Changsha, fait une grève de la faim depuis un mois

    Mme Zhang Xinyi et son mari, Li Guojun, étaient des réfugiés qui attendaient une autorisation du Comité des réfugiés cambodgiens des Nations Unies pour un pays d'asile. Le 2 août 2002, le Parti communiste chinois s'est entendu avec le gouvernement cambodgien pour les arrêter à leur résidence, à Jinbian et les a rapatriés en Chine. Ils ont été aussitôt emprisonnés dans un centre de détention. Parce que des organismes internationaux des droits humains et des personnes éprises de justice un peu partout dans le monde ont suivi le cas de Mme Zhang, le Parti communiste ne l'a pas tuée, mais elle a été soumise à une détention prolongée.
  • Le camp de travail Nanhu de la province de Anhui profite des pratiquants détenus

    Les pratiquants détenus devaient se réveiller à 5h00 du matin et travaillaient jusqu’à 21h00. Pendant ces quinze heures ils pouvaient utiliser les toilettes seulement une seule fois en dehors des heures de repas. S’ils n’avaient pas fini le travail qui leur était assigné ils devaient travailler jusqu’à minuit ou jusqu’au lendemain matin. Pourtant pour le monde extérieur le camp de travail prétendait : « Ici nous avons un management civilisé et humain et nos prisonniers ne travaillent que six heures par jour. »
  • Le bureau d’affectation du camp de travail de Beijing complote avec un camp de travail pour exploiter les pratiquants afin de faire du profit sur leur dos

    A cause d’une longue période de torture Wang Lei était mentalement déséquilibrée. Le 17 novembre 2004 presque huit mois après sa libération, le département de police de Fangshan à Beijing l’a de nouveau arrêtée et l’a envoyée au centre de détention de Fangshan. Pendant sa grève de la faim la police l’a continuellement gavée de force. Elle a été de nouveau condamnée et cette fois à deux ans et demi de travaux forcés et a été envoyée au bureau d’affectation du camp de travail de Daxing. Elle était extrêmement faible mais la police l’a quand même obligée à s’asseoir dans « la position du banc » avec les mains attachées sur les genoux pendant 17 heures. Afin de la forcer à écrire une lettre de garantie², la police a assigné six criminels, condamnés pour crimes liés à la drogue, pour la battre, l’humilier et la torturer
  • M. Li Zhenzhong pratiquant du comté de Yongnian, province de Hebei, est estropié par la police

    Après son arrestation, le pratiquant de Falun Gong M. Li Zhenzhong du comté de Yongnian dans la province de Hebei a été gravement torturé par la police. La torture a causé des dommages permanents à ses mains. Bien qu’il ne puisse plus prendre soin de lui-même, M. Li est toujours en détention. De plus, le pratiquant Gai Xinzhong a été arrêté par les policiers et il est mort pendant une session de torture par gavage forcé.
  • La succursale de Ranghulu du poste de police de Daqing a arrêté Mme Mu Yongxia et a refusé d’émettre une carte d’identité à son fils (Photos)

    Le 3 juin 2005, Mme Mu est allée faire une demande de carte d’identité pour son fils mais la police de la succursale de Ranghulu a refusé parce qu'elle avait ne voulait pas écrire une déclaration promettant de ne plus pratiquer le Falun Gong. Un jour, Mme Mu s’est rendue chez un ami pratiquant, Shi Fugui, alors que la police était en train de piller sa maison. Aussitôt qu’elle est entrée, on a arraché son sac et plusieurs policiers en civil l’ont traînée jusqu’à une voiture de police cachée derrière le bâtiment.
  • La persécution des pratiquants de Dafa dans le centre de lavage de cerveau de Chatou à Guangzhou

    Lorsque le centre venait tout juste d’être établi, les autorités ont illégalement imposé des amendes de 9 500 yuans par mois par pratiquant aux pratiquants de Dafa, à leurs lieux de travail ainsi qu’aux comités de voisinage. La somme a été par la suite réduite à 1000 yuans. A présent, il y a plus de dix pratiquants de Dafa qui sont encore détenus et torturés au centre de lavage de cerveau.
  • Le camp de travail forcé de Jiamusi, province de Heilongjiang

  • La persécution des pratiquants de Dafa à la prison N°2 de Shijiazhuang

    Les cadres de toutes les prisons et les camps de travail en Chine ont persécuté les pratiquants de Falun Dafa à la fois physiquement et psychologiquement, et la prison N°2 de Shijiazhuang dans la province de Hebei ne fait pas exception. De nombreux pratiquants de Falun Dafa sont actuellement illégalement emprisonnés à la prison N°2 de Shijiazhuang. L’environnement y est très mauvais. Les pratiquants sont étroitement surveillés et contrôlés. Parce que ceux qui comment les crimes ont peur d’être exposés, les tortures physiques ne sont plus appliquées ouvertement. Cependant la persécution psychologique a été intensifiée.
  • Information complémentaire sur la torture à mort du pratiquant Liu Baoyuan

    Tout les villageois savent que M. Liu était un homme honnête et gentil. Au cours de ces quelques dernières années, les policiers l’ont arrêté, torturé et lui ont volé son argent juste parce qu’il était pratiquant de Falun Gong. Sa femme a aussi persisté à pratiquer et elle a été condamnée au camp de travail forcé. Le couple laisse derrière eux un fils adolescent et le père de M. Liu, qui vivent maintenant ensemble avec le frère de M. Liu.
  • Le pratiquant An Senbiao souffre d’une défaillance rénale dans un camp de travail forcé- La lettre d'appel de son épouse

    Dans le processus d'arrestation, d 'emprisonnement et de persécution de An Senbiao, les départements et le personnel concernés ont violé le code No.238 de la Loi criminelle: détenir illégalement des citoyens innocents ; No.243: présenter de fausses accusations et inculpations contre des citoyens innocents ; No.245 illégalement fouiller des citoyens et piller leur maison; No.251 : illégalement priver des citoyens de leurs droits de croyance; No.397 : abuser de son pouvoir de fonction ; No 399: pervertir la loi pour servir l’ intérêt personnel. Ils doivent en supporter les conséquences légales.
  • Liste additionnelle de départements et d’employés qui ont participé à la persécution de Gao Rongrong

    Le syndicat de l’union éducative de la province de Liaoning a exécuté l’ordre émis par le bureau 610 de Shenyang et le comité politique légal appelé « Équipe des cas particuliers » et a fait disparaître toutes les preuves concernant Gao Rongrong de l’Institut des Beaux Arts de Luxun, ils ont également donné l’ordre à l’Institut que personne d’autre que l’ « Équipe des cas spéciaux » n’était habilité à s’occuper de quoi que ce soit se rapportant à Gao Rongrong. Ils ont préparé, planifié et exécuté l’arrestation non justifiée de Gao suivant les ordres de Luo Gan.
  • Li Ling est morte de la persécution peu après que “l’équipe d’investigation sur la détention arbitraire” de l’ONU ait quitté la Chine.(Photo)

    L’Equipe d’Investigation de l’ONU a soulevé un certain nombre de questions à propos de la façon dont le gouvernement Chinois traitait le cas de Li Ling. A ce moment-là, Li Ling subissait de brutales tortures et persécutions, et le gouvernement a non seulement menti sur la condition de Li Ling mais refusait d’arranger une entrevue entre Li Ling et l’Equipe d’Investigation de l’ONU. Pour couvrir le mauvais traitement brutal dont elle était l'objet, le 22 septembre, le gouvernement local a laissé son fils lui rendre visite en prison. Au moment où son mari est allé la voir le 26 octobre, Li Ling était extrêmement faible et ses longs cheveux noirs étaient devenus blancs.