Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • J’ai été forcée d’avorter à cinq mois de grossesse alors que j’étais détenue dans un camp de travail.

    Ma sœur a alors été détenue à la Division N°2. Elle a entendu que des toxicomanes parlaient de moi et s’est mise à pleurer de tristesse. Elle a informé le camp de travail de ma grossesse. Quelques jours plus tard, les autorités du camp ont informé ma famille et m’ont envoyé dans un hôpital avec une prescription d’avortement. Plusieurs gardiennes de prison m’ont dit que j’étais qualifiée pour être relâchée sous caution médicale. Plus tard, une chef a dit méchamment, « Sans qu’elle soit réformée, il n’y a aucune possibilité de la laisser sortir d’ici. » J’ai de nouveau été envoyée à l’hôpital et ils m’ont injecté un produit abortif. J’ai perdu mon bébé.
  • Le camp de travaux forcés de Masanjia soumet les pratiquants au travail d'esclave (Photo)

    Du lundi au vendredi, à 7 h 30 du matin, les pratiquants ont été forcés de lire des informations et des livres diffamant le Falun Dafa. Une courte pause aux environs de midi et le travail manuel recommençait à 13 heures et durait jusqu'à 20 heures, parfois jusqu'à 22 heures. Il y avait de nouvelles assignations chaque jour et les mains des pratiquants étaient enflées par le travail intensif. Les objets artisanaux de la Section pour Femmes N°2 de Masanjia étaient manufacturés sous de telles conditions. Du 8 au 11 avril 2004, un groupe d'inspection est arrivé pour faire sa visite, mais les fonctionnaires de Masanjia ont ordonné aux détenus de dissimuler la véritable situation et d'interpréter des chants et de la danse. Après que le groupe d'inspection soit parti, le travail manuel a repris.
  • Illustrations explicites de méthodes de torture dont se sert le camp de travaux forcés de Zhangshi de la ville de Shenyang (Photos)

    Vers 20 h00 heures, début décembre 2001, l’instructeur Song Baishu et 4 détenus ont emmené le pratiquant Zhang Guoyi qui n’avait rien mangé depuis 4 jours dans la salle n° 7. C’est une grande pièce non chauffée, d’environ 200 à 300 mètres carrés, avec des fenêtres sur les 3 côtés. Elle est utilisée d’ordinaire comme salle de stockage et est surnommée « le réfrigérateur ». Song Baishun a donné l’ordre d’immobiliser Zhang Guoyi sur une table de ping-pong. Deux détenus ont violemment frappé la plante de ses pieds avec l’extrémité pointue d’une brosse à dents effilée.
  • La vie de Mme Nan Xiaoquing, pratiquante de Dafa est en danger du à la longue période d’emprisonnement et de persécution

    La pratiquante du Falun Dafa Mme Nan Xiaoqing du Comté de Xishui, Province de Hubei a été illégalement emprisonnée un an de plus après la fin de sa peine au Centre de Détention No. 1 de Xishui et a beaucoup souffert. Sa vie est en danger.
  • Des pratiquants en Chine reconstituent les méthodes de tortures (photos)

    Les descriptions et les illustrations ci-dessous montrent d’autres méthodes de tortures utilisées à l'encontre des pratiquants déterminés dans les centres de détentions, dans les prisons, dans les camps de travaux forcés et dans les centres de lavage de cerveaux. Les autorités utilisent ces tortures dans l'intention de les forcer à renoncer à leur croyance .
  • Huang Gohua, un pratiquant de Falun Gong dont la femme Luo Zhixiang est morte de la persécution, s’enfuit en Thailande d’où il appelle à une aide urgent

    Les gens du “Bureau 610” ont refusé de prendre la responsabilité de la mort de ma femme et de notre enfant non né, et ils ont aussi refusé toute compensation. Ils ont même prétendu qu’elle s’était suicidée. Ils ont dit que si je continuais à refuser de signer le document, ils commenceraient la crémation du corps. Ils ont aussi menacé Luo Ji qui est policier de la circulation, et m’on menacé que si je refusais de signer, ils prolongeraient ma peine. J’ai signé malgré moi le document pour éviter davantage de persécution pour Luo Ji par le « Bureau 610 ». Le 5 avril, ma mère a emmené ma fille et les cendres de ma femme dans la province de Shandong. Mon père Huang Dianqing a été envoyé à une classe de lavage de cerveau par le personnel du « Bureau 610 » du comté de Lingu.
  • Méthodes de torture utilisées par la police chinoise dans la ville de Jiamusi, province de Helongjiang (Illustrations)

    Durant l’investigation du cas d’interception du signal de télévision, la police du commissariat de Qianjin de la ville de Jiamusi a kidnappé un pratiquant de Falun Dafa et l’a torturé en le suspendant par les menottes. Plusieurs policiers ont soulevé ce pratiquant dans les airs et l'ont menotté à une barre en métal qu'il ne pouvait pas atteindre debout. Ils l’ont alors lâché ce qui a transféré tout le poids de son corps sur ses poignets menottés. La sensation suivante, selon le pratiquant, fut un sentiment de séparation des tendons du pouce jusqu’aux poignets. Le pratiquant a alors essayé de rallonger ses jambes pour soutenir son corps et pour diminuer la douleur dans les bras, mais la police lui a tout simplement séparé les jambes pour les attacher à l’armature du lit.
  • Sortes de tortures auxquelles les pratiquants sont assujettis au 2e centre de détention et au camp de travaux forcés de Changchun

    Ce genre de torture est ce que la police chinoise et les gardiens de prison emploient souvent lors d'interrogatoires des pratiquants. Les bourreaux mettent la tête du pratiquant dans un sac de plastique pour le suffoquer tout en lui donnant des coups de poings et de pieds ou des chocs électriques par matraques à haut voltage.Après un moment ils retirent le sac plastique et demandent à la victime s'il veut bien maintenant fournir les informations demandées. Si la victime refuse, ils répètent la suffocation jusqu'à ce que la victime perde connaissance ou meurt.
  • Un témoin oculaire raconte la torture à mort de M. Peng Min et les mensonges fabriqués par la station TV

    Peng Ming était un pratiquant de notre point de pratique collective et tous ses membres de famille pratiquaient le Falun Gong. Avant que la persécution ne commence le 20 juillet 1999, il était un grand pratiquant et un jeune homme très spirituel et fort. Lui et sa famille aidaient souvent les autres même lorsque leur situation financière était très mauvaise. Ming fut persécuté et torturé jusqu'à ce qu'il souffre de la fracture d'une cervicale et que tout son corps soit paralysé. Puis ils l'envoyèrent à l'hôpital pour l'y maintenir sous surveillance. Les nouvelles étaient strictement contrôlées et dissimulées.
  • La Police de la ville de Dalian invente une nouvelle méthode de torture qu’ils utilisent sur les pratiquants de Falun Dafa

    La police dirige typiquement les gardes de sécurité à torturer les pratiquants de Dafa la nuit dans une pièce secrète en utilisant cette méthode. Un pratiquant de vingt et un ans a souffert ce type de torture pour avoir refusé de révéler son nom. Ce pratiquant a été condamné à la prison par la suite, et il continue à souffrir en prison .
  • Supplément d’ Information à propos du meurtre de la pratiquante de Falun Gong Duan Shiqiong dans le Centre de Détention de Chengdu , elle laisse derrière elle un enfant de cinq ans.

    Lorsqu’on a demandé à son mari de venir identifier son corps, il a découvert que le corps de sa femme décédé avait été remplacé par le corps d’une femme inconnue dans une tentative de dissimuler le fait qu’elle avait été assassinée. Cela fait un an que Duan Shiqiong a été tuée, pourtant son corps n’a pas encore été retrouvé. Les autorités locales et la police continuent à persécuter et créer des difficultés à son mari, et il ne peut pas obtenir justice. Shiqiong a laissé derrière elle un fils de cinq ans qui vit avec son père.
  • M. Rao Chaoyuan, pratiquant de Falun Dafa a été torturé au point d’être handicapé et son frère est torturé à mort

    Rao Chaoyuan, âgé de 40 ans vit dans la province du Guangdong. Il est le frère de Rao Zhuoyuan, pratiquant de Falun Dafa qui est mort après avoir été torturé. Après avoir été illégalement détenu pendant plus d’un an, Rao Chaoyuan a été condamné à huit ans de prison en janvier 2003. Maintenant, il est à la prison Sihui de la province de Guangdong. Une de ses jambes est infirme après qu’il ait été battu et soumis à d’autres tortures le laissant handicapé.
  • Des pratiquants brutalement torturés dans le centre de détention du canton Yi, ville de Baoding, province de Hebei

    Dans l’après-midi, tous les pratiquants ont été emmenés à l’extérieur de la cour et attachés à des chaises. Les docteurs ont inséré un tube dans la bouche de chaque pratiquant et les ont gavés. Les gardiens de la prison frappaient ceux qui vomissaient. Les deux pratiquants qui avaient été le plus sévèrement torturés n’ont pas pu manger même de la nourriture molle comme du pain à la vapeur pendant plusieurs mois. C’est difficile à imaginer comment cela a été douloureux pour eux pendant ces mois.
  • Les pratiquants de Falun Gong se mettent en grève de la faim pour protester contre le mort par torture de Bi Wenming dans la prison Dingxi, Province de Gansu

    M.Bi Wenming de Longxi, province de Gansu, était un pratiquant de Falun Gong d’une trentaine d’années. Il a été illégalement condamné à trois ans de prison, et pendant qu’il était détenu à la prison de Dingxi, il a été torturé à mort. Après avoir appris sa mort, d’autres pratiquants, détenus également dans la même prison ont commencé une grève de la faim pour protester contre la persécution. Cela fait maintenant plus de 10 jours qu’ils font la grève de la faim. Les gardes de la prison les ont brutalement nourris de force
  • Détails supplémentaires concernant Mme He Xiuling, pratiquante de Dafa torturée à mort (photo)

    "Le 10 mars 2004 à 17h00, Li Wenguang du bureau 610 du district de Zhifu a appelé et m'a demandé si He Xiuling avait certaines maladies. J'ai dit qu'elle n'en avait aucune et qu'elle était en parfaite santé. Alors il m'a dit que ma femme était à l'hôpital de Liuhuangding. Je suis allé à l'hôpital et j'ai demandé à la voir. Vers 19h00, je l'ai vue, elle avait la main gauche menottée au lit et le bas de son corps était nu. Elle ne pouvait pas parler. Personne ne prenait soin d'elle. Le matin du 11 mars 2004, le bureau 610 m'a dit que He Xiuling était décédée. Selon le rapport de l'hôpital, l'heure de sa mort était à 7h35, le 11 mars 2004."