Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Etendre la persécution hors des frontières de la Chine : l’Ambassade chinoise en France refuse le renouvellement des passeports de ceux qui pratiquent le Falun Gong

    Maintenant quatre mois ont passé, toujours aucune réponse du consulat. En réalité ils utilisent ce moyen pour ajourner sans cesse notre renouvellement de passeport. Sans passeport, nous ne pouvons pas voyager librement, seulement parce que nous pratiquons le Falun Gong, nos droits de citoyen chinois nous sont retirés. Maintenant nous sommes devenus sans nationalité.
  • Sept pratiquants de Falun Dafa sont illégalement jugés dans la ville de Tai'an, province de Shandong après avoir été sauvagement torturés

    Le matin du 15 septembre, lorsque la cour a déclaré la session ouverte, Song Furong, Ju Beibei, Song Qi’ai, Luu Xia et Ju Xiaotong ont été soit portés ou soutenus jusque dans la salle du tribunal par trois policier femmes. Lorsque Ju Xiaotong a été escortée du Centre de Détention de Xintai à la Cour de District de Taishan, elle était sous oxygène, accompagnée par deux médecins. Il était clair qu’elle était proche de la mort.
  • Nouvelles de Mme Gao Rongrong, dont le visage a été défiguré par la torture au bâton électrique dans le Camp de Travail Forcé de Longshan (Attention: Photos choquantes)

    Gao Rongrong peut s’asseoir un moment toute seule à présent. Elle est encore très maigre et ne peut pas bouger sa jambe gauche. Elle a bon moral et l’esprit clair. Depuis que Gao Rongrong s’est échappée de l’hôpital le 5 octobre, les auteurs des crimes dans la ville de Shenyang qui veulent être promus pour avoir persécuté le Falun Gong font pression sur les parents de Gao Rongrong et sur sa sœur pour la trouver.
  • Les pieds de Zou Yanjie ont été amputés du fait de la persécution (Photos)

    Je m’appelle Zou Yanjie. Je vivais à la Communauté des Ouvriers de la Voie ferrée dans le région administrative de Halahai comté de Nong'an de la province de Jilin. Le groupe de Jiang m’a brutalement persecuté parce que je suis pratiquant de Falun Gong. Mes deux pieds ont gelé et ont du être coupés. Actuellement, j’ai été forcé à quitter mon foyer pour échapper à la persécution.
  • Zhang Jingqiong souffre de la rupture d’un ovaire suite aux coups violents assénés par un détenu au camp de travail forcé Shayang

    "Quand la sœur de Zhang l’a vue, elle a supplié les autorités de la laisser revenir à la maison afin de recevoir des traitements appropriés. Un policier nommé Fang a dit : " Il n’en est pas question. Si elle ne coopère pas avec nous [et renonce au Falun Gong], on procèdera à la chirurgie de toute façon." Un autre policier a dit : "Si elle n’abandonne pas sa pratique, et ne suit pas les règlements, même si elle meurt, ce n’est pas illégal. La loi est comme cela en Chine maintenant."
  • Province de Heilongjiang : Mme Yang Lixia est à nouveau illégalement arrêtée et torturée

    Au camp de travail de Wanjia, des pratiquantes sont souvent brutalement battues par des gardiens et des criminels parce qu’elles continuent à pratiquer le Falun Gong. Une fois Wu Jingying, gardien chef, a poussé un groupe de gardiennes à traîner Mme Yang dehors. Grâce à l'aide d'autres pratiquantes, elles n’ont pas pu la traîner dehors. Comme Mme Yang a continué à pratiquer le Falun Gong, les gardiens l'ont enfermée dans une cellule d’isolement et l'ont suspendue avec une corde un jour et une nuit.
  • Ilustration de cent tortures (33-37)

    Cette méthode de torture a été utilisée début 2002 dans le camp de travaux forcés numéro 3 de la ville de Xuchang dans la province de Henan. On empêchait le pratiquant de dormir et deux prisonniers toxicomanes devaient le surveiller jour et nuit. Si le pratiquant sommeillait, celui qui était chargé de le surveiller tirait sur la corde mince ce qui infligeait de graves blessures au pratiquant.
  • Revenue en Allemagne Xiong Wei, pratiquante de Falun Gong, dépeint la vie quotidienne dans un camp de travail chinois

    Pour beaucoup d'allemands, " Xiong Wei" n'est pas un nom chinois inconnu. Elle est âgée maintenant de 33 ans. Elle a étudié à l'Université Technique de Berlin de 1993 à 1999. Durant cette période, Xiong Wei a commencé à pratiquer le Falun Gong. Elle est retournée en Chine en 2000 et a travaillé dans la filiale de Beijing d'une compagnie allemande. Xiong Wei a été arrêtée par des policiers en civil le 5 janvier 2002 parce qu'elle distribuait des informations au sujet de Falun Gong à Beijing. Plus tard, elle a été envoyée dans le Camp de Travaux Forcés pour Femmes de Beijing et y a été détenue pendant deux ans.
  • J’ai été forcée d’avorter à cinq mois de grossesse alors que j’étais détenue dans un camp de travail.

    Ma sœur a alors été détenue à la Division N°2. Elle a entendu que des toxicomanes parlaient de moi et s’est mise à pleurer de tristesse. Elle a informé le camp de travail de ma grossesse. Quelques jours plus tard, les autorités du camp ont informé ma famille et m’ont envoyé dans un hôpital avec une prescription d’avortement. Plusieurs gardiennes de prison m’ont dit que j’étais qualifiée pour être relâchée sous caution médicale. Plus tard, une chef a dit méchamment, « Sans qu’elle soit réformée, il n’y a aucune possibilité de la laisser sortir d’ici. » J’ai de nouveau été envoyée à l’hôpital et ils m’ont injecté un produit abortif. J’ai perdu mon bébé.
  • Le camp de travaux forcés de Masanjia soumet les pratiquants au travail d'esclave (Photo)

    Du lundi au vendredi, à 7 h 30 du matin, les pratiquants ont été forcés de lire des informations et des livres diffamant le Falun Dafa. Une courte pause aux environs de midi et le travail manuel recommençait à 13 heures et durait jusqu'à 20 heures, parfois jusqu'à 22 heures. Il y avait de nouvelles assignations chaque jour et les mains des pratiquants étaient enflées par le travail intensif. Les objets artisanaux de la Section pour Femmes N°2 de Masanjia étaient manufacturés sous de telles conditions. Du 8 au 11 avril 2004, un groupe d'inspection est arrivé pour faire sa visite, mais les fonctionnaires de Masanjia ont ordonné aux détenus de dissimuler la véritable situation et d'interpréter des chants et de la danse. Après que le groupe d'inspection soit parti, le travail manuel a repris.
  • Illustrations explicites de méthodes de torture dont se sert le camp de travaux forcés de Zhangshi de la ville de Shenyang (Photos)

    Vers 20 h00 heures, début décembre 2001, l’instructeur Song Baishu et 4 détenus ont emmené le pratiquant Zhang Guoyi qui n’avait rien mangé depuis 4 jours dans la salle n° 7. C’est une grande pièce non chauffée, d’environ 200 à 300 mètres carrés, avec des fenêtres sur les 3 côtés. Elle est utilisée d’ordinaire comme salle de stockage et est surnommée « le réfrigérateur ». Song Baishun a donné l’ordre d’immobiliser Zhang Guoyi sur une table de ping-pong. Deux détenus ont violemment frappé la plante de ses pieds avec l’extrémité pointue d’une brosse à dents effilée.
  • La vie de Mme Nan Xiaoquing, pratiquante de Dafa est en danger du à la longue période d’emprisonnement et de persécution

    La pratiquante du Falun Dafa Mme Nan Xiaoqing du Comté de Xishui, Province de Hubei a été illégalement emprisonnée un an de plus après la fin de sa peine au Centre de Détention No. 1 de Xishui et a beaucoup souffert. Sa vie est en danger.
  • Des pratiquants en Chine reconstituent les méthodes de tortures (photos)

    Les descriptions et les illustrations ci-dessous montrent d’autres méthodes de tortures utilisées à l'encontre des pratiquants déterminés dans les centres de détentions, dans les prisons, dans les camps de travaux forcés et dans les centres de lavage de cerveaux. Les autorités utilisent ces tortures dans l'intention de les forcer à renoncer à leur croyance .
  • Huang Gohua, un pratiquant de Falun Gong dont la femme Luo Zhixiang est morte de la persécution, s’enfuit en Thailande d’où il appelle à une aide urgent

    Les gens du “Bureau 610” ont refusé de prendre la responsabilité de la mort de ma femme et de notre enfant non né, et ils ont aussi refusé toute compensation. Ils ont même prétendu qu’elle s’était suicidée. Ils ont dit que si je continuais à refuser de signer le document, ils commenceraient la crémation du corps. Ils ont aussi menacé Luo Ji qui est policier de la circulation, et m’on menacé que si je refusais de signer, ils prolongeraient ma peine. J’ai signé malgré moi le document pour éviter davantage de persécution pour Luo Ji par le « Bureau 610 ». Le 5 avril, ma mère a emmené ma fille et les cendres de ma femme dans la province de Shandong. Mon père Huang Dianqing a été envoyé à une classe de lavage de cerveau par le personnel du « Bureau 610 » du comté de Lingu.
  • Méthodes de torture utilisées par la police chinoise dans la ville de Jiamusi, province de Helongjiang (Illustrations)

    Durant l’investigation du cas d’interception du signal de télévision, la police du commissariat de Qianjin de la ville de Jiamusi a kidnappé un pratiquant de Falun Dafa et l’a torturé en le suspendant par les menottes. Plusieurs policiers ont soulevé ce pratiquant dans les airs et l'ont menotté à une barre en métal qu'il ne pouvait pas atteindre debout. Ils l’ont alors lâché ce qui a transféré tout le poids de son corps sur ses poignets menottés. La sensation suivante, selon le pratiquant, fut un sentiment de séparation des tendons du pouce jusqu’aux poignets. Le pratiquant a alors essayé de rallonger ses jambes pour soutenir son corps et pour diminuer la douleur dans les bras, mais la police lui a tout simplement séparé les jambes pour les attacher à l’armature du lit.