Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Une expérience de première main du cruel lavage de cerveau au camp de travail forcé des femmes de Pékin (suite)

    "Pendant les deux premiers mois au camp de travail, les malfaiteurs ont ordonné aux collaboratrices de me soumettre au lavage de cerveau et de m’attaquer à tour de rôle vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Elles ne me laissaient dormir que deux à quatre heures chaque jour, pour m'épuiser mentalement et physiquement, sans me laisser une seconde de break. Quand j'ai refusé d'accepter leurs théories déviées et suis restée solide comme un roc, elles ont perdu patience et se sont transformées en monstres ...
  • Le vieux Monsieur Wang Guolin de l'agglomération de Jiamusi , province du Heilongjiang est mort après avoir été persécuté

    M. Wang Guolin, 79 ans, était un pratiquant de Falun Gong de l'agglomération de Jiamusi. Il avait commencé à pratiquer en 1997 et en avait beaucoup bénéficié tant physiquement que moralement. A cause de sa pratique, M. Wang fut harcelé, arrêté et soumis à l'extorsion par le Bureau 610 de l'agglomération de Jiamusi et le Bureau de la Sécurité publique. Il est décédé le 25 novembre 2006.
  • Des larmes au moment où les familles se réunissent – au nom des orphelins sans défense du Falun Gong (photos)

    Le pratiquant de Falun Dafa M. Shao Hui est mort suite à la persécution dans la ville de Jilin en août 2002. Même aujourd’hui son fils Shao Linyao ne sait pas que son père a été assassiné. Shao Linyao a eu une enfance sans joie car il a été plusieurs fois témoin de l’arrestation de ses parents par la police. Il connaît la solitude, la détresse, la peur et les soucis depuis son plus jeune âge.
  • Les autorités de l'Université Normale de Shanghai persécutent M. Guo Shenghuan et sa famille

    M. Guo Shenghuan, un professeur du Collège d'Information Numérique de l'Université Normale de Shanghai, a été arrêté à son travail dans la matinée du 25 janvier 2007. M. Guo est illégalement détenu dans le Centre de Détention du District de Xuhui, au N° 15, 398ème Bloc de la Rue Longwu. Son épouse, Zhang Yuxia, prend soin de leurs deux enfants, un âgé de cinq ans et l'autre de trois ans. Elle n'a aucun revenu pour subvenir aux besoins de sa famille.
  • Une expérience de première main du cruel lavage de cerveau au camp de travail forcé des femmes de Pékin (1ere partie)

    Le camp de travail est une installation où la persécution est la plus répandue, la plus concentrée, la plus fréquente et la plus impitoyable. C'est un enfer vivant. D'innombrables pratiquants de Falun Gong ont été envoyés là et détenus de longues périodes. Ils sont physiquement torturés et mentalement tourmentés tout en étant surveillés vingt-quatre heures sur vingt-quatre et soumis au lavage de cerveau par diverses méthodes cruelles. Par l'intermédiaire du lavage de cerveau violent les fonctionnaires du régime communiste pervers convient ce message "vous ne pouvez pas vivre à votre façon ! Vous devez vivre comme nous vous le disons. Vous devez vider ce qui est dans votre tête et le remplacer par ce que nous vous permettons de penser. Vous devez remplacer votre croyance par la croyance que nous vous donnons!"
  • Les autorités de la prison pour femmes de Harbin (province du Heilongjiang) intensifient la persécution des pratiquantes de Falun Dafa par une surveillance très stricte

    Depuis la fin de novembre 2006, les autorités de la prison pour femmes de Harbin ont intensifié, par une surveillance très stricte, la persécution des pratiquantes de Falun Dafa détenues. Les gardiennes de la prison ont placé toutes les pratiquantes au milieu des cellules et sur les lits d'en bas. Après cela, les gardiennes ont commencé à les surveiller 24 h sur 24 en leur interdisant de réciter la Loi (Fa) et de faire les exercices. Elles ont également recruté plusieurs condamnées ordinaires qui travaillaient dans les ateliers, en les envoyant par groupes de deux, et parfois même de quatre personnes, surveiller chaque pratiquante.
  • Wang Bo et ses parents sont illégalement condamnés à quatre et cinq ans d'emprisonnement (Photo)

    Les fonctionnaires de la cour contrôlée par le Parti ont prononcé un verdict erroné. On a appris que Wang Bo et sa mère, Liu Shuqin, ont refusé de le signer et qu'elles ont fortement protesté contre le procès illégal. Elles ont déchiré la déclaration du verdict devant le juge. Le père de Wang Bo, Wang Xinzhong, a fait appel auprès de la Cour Intermédiaire de Shijiazhuang. Un avocat consciencieux a défendu l'innocence de Wang Xinzhong devant la cour suite aux grands efforts des amis et des proches. Ils essaient d'obtenir un procès public ouvert pour la seconde audience de façon à empêcher la cour intermédiaire de "tendre des pièges dans l'obscurité"
  • Les menaces de mort contre Mme Yang Xiaolan au Camp de travail des femmes de l’agglomération de Sanshui (province du Guandong) pourraient être liées à la collecte d’organes

    Yang Xiaolan est une pratiquante de l’agglomération de Shenzhen, dans la province du Guandong. En décembre 2002, elle été traînée dans une petite pièce sombre dans la Quatrième division du camp de travail des femmes de la province du Guandong, où elle a souffert une torture inhumaine. Du 23 décembre au 30 décembre, elle n’a pas été autorisée à dormir et reçu des décharges de matraques électriques. Le directeur du camp Tang, a amené des gens de la procuratorate de l’agglomération de Sanshui et plusieurs médecins pour s’enquérir de la condition physique de Yang Xiaolan. Yang ne connaissait aucun de ces médecins
  • Mme Jiang Jie, une pratiquante de Fushun, province du Liaoning, a été torturée jusqu’au délabrement mental

    Le 8 septembre 2006, moins d'un mois après la mort de son mari, les policiers du premier département de la police de la ville du Fushun ont conduit Mme Jiang à la classe de lavage de cerveau de Luotaishanzhuang, dans la ville du Fushun. Alors qu’il n’y avait personne à la maison et sans mandat de perquisition, ils ont pris son ordinateur, ses haut-parleurs, son imprimante et ses livres de Dafa, le tout évalué à environ 4.000 yuans ...
  • La pratiquante Mme Bai Yuzhi est gravement blessée suite à la persécution dans la prison pour femmes de la province de Hebei

    La pratiquante de Falun Dafa, Mme Bai Yuzhi, a été condamnée à quatre ans d'emprisonnement dans la Prison pour Femmes de la province de Hebei, à cause de sa croyance en Falun Dafa et pour avoir clarifier la vérité. Elle a été libérée le 19 décembre 2006. La persécution l'a laissée en très piteux état. Mme Bai est physiquement faible avec la vision trouble, et elle peut à peine se lever. Des problèmes neurologiques semblent être à l'origine des tremblements de ses mains. Elle souffre d'une douleur constante à travers tout son corps. En voyant une femme aussi belle, gentille et énergique qui a subi des abus incessants dans une prison estampillée par le Parti communiste chinois (PCC), la famille de Mme Bai retient ses larmes.
  • Les agents du Bureau 610 de la ville de Laizhou (Province du Shandong) ont simulé un procès pour piéger et arrêter 23 pratiquants

    Les pratiquantes due Falun Gong Mmes Liu Hongying, Xu Yongqing et Lu Chengjun de la ville de Laizhou de la Province du Shandong ont été illégalement détenues dans le Centre de Détention de cette ville. Les membres du Parti ont prétendu qu’ils jugeraient ces pratiquantes le 24 janvier 2007 au tribunal de la ville de Laizhou, situé du côté Est du vieux supermarché. C’était en fait un piège mis en place pour arrêter d’autres pratiquants. Ce jour là, 23 pratiquants ont été arrêtés. Ils ont été incarcérés à Dianzi le Centre de Lavage de Cerveau de la ville de Laizhou.
  • La vie de Liu Yongwang, un pratiquant de Dafa, est en danger imminent suite aux abus inhumain à la prison de Jidong de Tangshan dans la province du Hebei

    Du 7 novembre au 13 novembre, des membres du soi-disant « groupe spécial d'examen » ont interrogé M. Liu. Ses deux jambes étaient attachées à une chaise, une matraque électrique et une torche ont été utilisées pour lui extorquer une « confession ». On ne lui a pas permis de fermer les yeux pendant sept jours. Le 11 mai 2006 M. Liu a été illégalement condamné à la prison sous de fausses accusations. Il a été envoyé à la prison de Tangshan à Jidong le 16 juin 2006.
  • Le point sur la situation de M. Zhao Yongcai, pratiquant de Falun Dafa de l'agglomération de Shulan, province de Jilin

    Le 11 mai 2006, le Département de police de l'agglomération de Shulan et les officiers de police de la Division de la Sécurité nationale ont fait irruption chez M. Zhao et l'ont emmené au bureau de la Division de la Sécurité nationale. Puis ils ont commencé à le tabasser à coups de poings et de pieds. Ils lui ont aussi enveloppé la tête de plusieur couches de sac de plastique, au point qu'il a presque suffoqué et a perdu conscience. Ils lui ont versé de l'huile de moutarde dans le nez, lui causant de sérieux maux de tête, endommageant ses poumons et faisant enfler son nez.
  • La pratiquante de Falun Dafa, Mme Zeng Aihua, de Hong Kong fait face à un procès illégal à Shanghai

    La pratiquante de Falun Dafa, Zeng Aihua, a été détenue illégalement pendant près de neuf mois à Shanghai. Son procès illégal devait avoir lieu à la cour de district Pudong, Shanghai, à 13 h 30 le 12 février 2007. On dit que le Bureau 610 de Shanghai déjà décidé en interne de sa condamnation avant même le procès, condamnation qui sera annoncée le jour du procès.
  • Le camp de travail de Jiamusi, division des femmes (province du Heilongjiang) torture brutalement les pratiquantes de Falun Gong

    Il y avait une phrase favorite parmi les gardiennes du Camp de travaux forcés de Jiamusi, ‘’ Réduire le terme du travail forcé ne compte pas, mais l’étendre, oui. Nous pouvons allonger le terme du travail forcé pour qui nous voulons et pour la durée que nous souhaitons.’’ Et elles faisaient ce qu’elles disaient...