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  • Tirer un buffle sans corde : Le spectacle de Nouvel An de la Télévision New Tang Dynasty

    Lorsque j'étais enfant, j'ai lu une histoire dans laquelle il y avait un homme qui vendait des peintures anciennes. Une des peintures représentait un jeune gardien de troupeaux essayant de tirer un buffle pour lui faire traverser un pont. Faisant face au buffle et inclinant son corps en arrière de façon à tirer le buffle, l'effort du jeune homme était décrit de manière très vivante. Un passant appréciait beaucoup la peinture mais le prix en était élevé et il retourna chez lui chercher l'argent nécessaire. Pendant ce temps, le vendeur suspendit la toile pour la regarder de plus près et découvrit qu'il manquait la corde pour que le garçon puisse tirer le buffle.Y voyant un défaut, il se saisit d'un pinceau et peignit la corde sur la toile ...
  • Dessin humoristique : "Nettoyer"

  • Culture traditionnelle : Les gens de bien s’intéressent peu à la perte et au gain

    Pendant la Dynastie Tang (618-907 A.C) la coupe d’argent de M. Liu Gongquan (778-856A.C) fut volée par un serviteur. Quand le serviteur fut nterrogé il dit n’avoir rien à faire avec cette histoire. Liu Gongquan sourit et dit : « « La coupe d’argent a dû s’élever au ciel en devenant une déité. » Dans la période Liang (502-557 A.C.) de la Dynastie Tang (420-589 A.C.), Zhang Shuai envoya son serviteur chercher trois mille livres de riz. Quand il revint il n’y avait plus que la moitié du riz. Le serviteur lui dit que les oiseaux et les souris avaient volé la moitié du riz. Zhuang Shuai sourit et dit : « Ces oiseaux et ces souris ont beaucoup de capacité ! » Liu Gongquan et Zhang Shuai ne cherchèrent pas à récupérer les biens qu’ils avaient perdu ce qui leur permit d’éviter les conflits en manifestant beaucoup de tolérance.
  • Culture traditionnelle chinoise : "Les gens bienveillants apprécient les montagnes tandis que les sages aiment l'eau"

    Confucius disait à ses étudiants: "Les gens sages aiment l'eau tandis que les gens bienveillants aiment les montagnes. Les sages ont une personnalité aussi pleine de vie que l'eau alors que les personnes bienveillantes sont aussi tranquilles que les montagnes. Les sages vivent heureux tandis que les personnes bienveillantes jouissent de la longévité."
  • Histoires de la Chine ancienne: La sincérité et la révérence peuvent remuer les cieux

    Durant l'été de l'année Qingli à l'ère de Song Renzong, il y eut une terrible sécheresse dans la capitale. Le fonctionnaire des Admonestations Wang Su demanda à l'Empereur Song Renzong de prier personnellement pour la pluie. L'Empereur dit: "Le responsable de l'astronomie a déclaré qu'il pleuvrait le deuxième jour de ce mois, aussi je me préparerai à prier pour la pluie le premier jour." Wang Su répondit: "Je ne suis pas responsable de l'astronomie, mais je suis certain qu'il ne pleuvra pas ce jour là." L'Empereur demanda pourquoi.
  • Culture traditionnelle chinoise: Un homme indulgent gagne le respect de tous

    Un jour, Li Jinglue tint un banquet pour l'armée. Ren Dijian arriva en retard pour le banquet; aussi fut-il obligé de boire une grande coupe de vin en punition. Cependant, le serveur prit par mégarde une bouteille de vinaigre en guise de vin et il lui versa une grande coupe de vinaigre. Ren Dijian sut que c'était du vinaigre quant il leva la coupe à ses lèvres. Mais il savait que Li Jinglue était un homme austère et strict. Si Li Jinglue apprenait que le serviteur lui avait donné du vinaigre au lieu de vin, ce dernier aurait certainement été exécuté ...
  • La véritable amitié requiert la droiture

    Les amis devraient être modestes et avoir l'esprit ouvert, sincère et respectueux, tolérant et pardonnant, avec moins de critiques et plus d'éloges et d'encouragements sincères." Dans "La Norme de Conduite" (ou "Shi Fan"), il est dit: "Même si une personne a des insuffisances dans sa nature et ses actes, il a forcément des points forts. Si nous prêtons seulement attention à leurs insuffisances et aucune attention à leurs points forts, alors il est difficile de rester ensemble même pour une courte période de temps. Si nous prêtons attention aux points forts des autres, et n'accordons aucune pensée à leurs insuffisances, alors nous pouvons aller ensemble toute la vie."
  • L'attitude d'un Empereur bienveillant : Avoir l'esprit ouvert et faire preuve de modération

    Le proverbe dit: "L'erreur est humaine." Pourquoi un conseiller était-il nécessaire à la cour impériale dans la Chine ancienne ? C'était afin d'indiquer ses fautes au monarque afn que les erreurs puissent être corrigées.
  • Récit du Bouddhisme : N'accepter les aumones que des pauvres

    Bouddha avait un grand nombre de disciples. Subhuti et Dajiaye étaient deux d’entre eux. Ils avaient des attitudes différentes en mendiant la nourriture. Dajiaye ne demandait d'offrandes qu' à ceux qui étaient pauvres alors que Subhuti ne demandait qu’à ceux qui étaient riches...
  • Récits du Bouddhisme : N'accepter les offrandes que des riches

    Le disciple de Bouddha Subhuti ne demandait l’aumône que de ceux qui étaient riches. Il ne s’est jamais rendu chez les pauvres parce qu’il savait qu’ils vivaient déjà dans les épreuves et qu’il leur serait très difficile d’offrir en plus des offrandes. Ainsi lorsque les disciples de Bouddha quittaient le temple pour aller quémander, Subhuti s’en allait seul. Peu importe la distance qu’il devait couvrir et la faim qui le tenaillait, il ne s’est jamais rendu chez les pauvres leur demander des offrandes.
  • Un conte mongol : Hailibu, le chasseur au grand coeur

    Dans les prairies mongoles il y avait un chasseur au grand coeur du nom de Hailibu. Après chaque chasse, il partageait la viande entre les villageois et ne gardait qu'une petite portion pour lui-même. Son attention pour les autres lui valait un grand respect dans le village.
  • Histoires de la Chine ancienne : L’adversité mène à des histoires de succès

    La plupart de ceux qui dans les temps anciens avaient de l’ambition ont accompli de grandes choses après avoir appris la ténacité et la persévérance à travers les adversités. Bien qu’ils aient souffert dans un environnement médiocre et dur, ils ont fermement gardé leur croyance avec une grande volonté et une persévérance. Ils sont devenus des modèles pour les générations futures. On se rappelle toujours de leurs histoires qui encouragent les gens à dépasser les difficultés et les épreuves jusqu’au succès.
  • Accumuler de la vertu apporte des bénédictions alors que perdre de la vertu amène le malheur

    Chen Gongcai était un homme au talent littéraire remarquable. Un jour dans un rêve, un être divin lui dit qu'il était" l'Erudit Numéro Un parmi les Ivrognes," et devrait continuer à passer les examens impériaux aux différents niveaux. Après s'être réveillé, il se sentit perplexe, il interrogea d’autres personnes à propos de ce rêve. Quelqu'un dit: "Le caractère (chinois) 'ivre' n'est-il pas constitué de deux parties Xin et You, et quand ils sont combinés, Xin et You n'indiquent ils pas une année particulière dans le calendrier lunaire chinois? Cela veut probablement dire que vous deviendrez l'Erudit Numéro Un au plus haut examen impérial dans l'année de Xinyou."
  • Le bien et le mal naissent d'une seule pensée spontanée ; La rétribution karmique est toujours juste

    Yuan Zishi de la province de Shandong naquit à l'ère Zhizheng ( 1341 ¡V 1368 Ap JC.) pendant le règne de l'empereur Huizhong de la dynastie Yuan ( 1271 ¡V 1368 AP JC.). Il avait un ami proche appelé Miu Qianhu. Miu a eu besoin d'une grosse somme d'argent pour voyager dans le sud de la province de Fujian pour décrocher un poste de surveillance dans le gouvernement local. Yuan lui prêta avec bonté 300 pièces d' argent. Ils avaient été de bons amis depuis l'enfance, ainsi Yuan Zishi ne demanda même pas à Miu de certificat d'endettement...
  • Changer son destin en accumulant de la vertu

    Dans les premières années de la Dynastie Ming, il y avait un homme appelé Zheng Xingr. Il travaillait en tant que serviteur dans la maison d'un fonctionnaire de la cour dont le nom était Wang. Zheng Xingr était très honnête et diligent et son maître le traitait également très bien. Un jour, un célèbre diseur de bonne aventure, Yuan Shangbao, arriva dans la maison de Wang, et après qu'il ait vu Zheng Xingr, dit à Wang que celui-ci lui apporterait de la malchance s'il le gardait sous son toit. Avec grand regret, Wang demanda à son serviteur de quitter sa maison et de chercher ailleurs son gagne-pain ...