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  • Des scientifiques ont découvert qu'il est sage de pardonner aux autres

    Lorsque les autres personnes vous font du mal, allez vous en rire ou chercher à prendre votre revanche? De récentes recherches menées par l'Université de Harvard ont montré que la revanche, non seulement n'est d'aucun bénéfice pour la personne elle-même, mais pas plus pour l'équipe ou le groupe, ce qui signifie aussi qu'il est sage de pardonner aux autres.
  • Des études montrent que la méditation de la compassion change le cerveau

    Pouvons-nous nous entraîner à être compatissant ? Une nouvelle étude suggère que la réponse soit oui. Cultiver la compassion et la bonté par la méditation affecte des régions du cerveau pouvant rendre une personne plus ouverte aux états mentaux des autres, disent les chercheurs de l’Université de Wisconsin-Madison. Publiée le 25 mars par la Bibliothèque publique de Science One, l’étude était la première à utiliser l’imagerie à résonance magnétique fonctionnelle (fIRM) pour indiquer que les émotions positives telles la bonté et la compassion peuvent être apprises de la même façon que jouer d'un instrument de musique ou être compétent dans un sport.
  • Dessin : Un petit disciple court à travers la place Tiananmen

  • Le point de vue de Sima Guang sur le talent et la vertu

    Sima Guang (1019-1086) était un érudit intègre, homme d'état et poète. Il a écrit Zi Zhi Tong Jian, qui veut dire : 'Miroir complet pour aider au Gouvernement', une chronique générale d'Histoire Chinoise allant de l'an 403 avant J-C à 959 de Notre Ere. Cette compilation est considérée comme l'une des œuvres historiques les plus pointues sur la Dynastie des Song du Nord (960-1127). Sima Guang avait classé les gens en quatre groupes, en fonction de leur vertu et talents : les sages - ceux qui possèdent et talents et vertu; les imbéciles - ceux qui ne possèdent ni vertu ni talents; les nobles - ceux qui ont de la vertu mais aucun talent; et les inférieurs - ceux qui ont des talents mais pas de vertu.
  • On devrait se tenir à distance de ceux qui courtisent les faveurs d'autrui

    Selon Shishuoxinyu de la Grande Dynastie Tang, un jour après avoir terminé de donner une audience à la Cour, Tangtaizong (l'Empereur de la Dynastie Tang) passa devant un arbre et s’enchanta de voir ses branches et ses feuilles en pleine floraison. Se tenant près de lui, Yuwenshiji essaya de s'attirer les faveurs de Tangtaizong et continua de faire l’ éloge de l'arbre. Tangtaizong le réprimanda solennellemnt : "Wei Zheng m'a conseillé de me tenir à distance de ceux qui ont une personnalité médiocre. Bien que je suspectais que vous soyez ce genre de personne, je n'en étais pas sûr. Mais maintenant je le sais." Yuwenshiji fut terrifié et implora son pardon.
  • On doit vivre selon les critères établis par le ciel pour être reconnu par le Ciel comme une bonne personne

    Yudu avait cinq fils et quatre filles. Quatre de ses cinq fils tombèrent malades et moururent. Le troisième garçon était intelligent et en bonne santé. Malheureusement, il disparut à l'âge de huit ans alors qu'il jouait à l'extérieur. De ses quatre filles, une seule survécut. Mme Yu, à force d'avoir tant pleuré devint aveugle. Le centre d'apprentissage dut être fermé car il ne générait pas assez de revenus. Alors que Yudu devenait de plus en plus démuni, il pensa : "Je n'ai pas fait de grosses erreurs dans ma vie, pourquoi le Ciel me punit-il ?"
  • Mieux vaut des fonctionnaires compétents que de bons présages

    Il est documenté dan le livre "Les Grands Ecrits de l'Histoire Zi Zhi Tong JIan - la Dynastie Tang, que durant le règne de l'Empereur Taizhong, des oiseaux blancs construisirent un nid au-dessus du palais. Le nid était étroit au milieu et large aux deux extrémités, comme si deux nids avaient été poussés ensemble, comme un tambour de ceinture. Tous ses fonctionnaires firent l'éloge des oiseaux en disant "Les choses ordinaires dans ce monde n'aiment pas être combinées parce qu'elles ne peuvent se tolérer mutuellement. A présent deux nids d'oiseaux se sont fondus en un avec une forme spéciale. C'est vraiment remarquable - une réflexion de l'harmonie existant entre le ciel et la terre, et la vertu de Votre Majesté, notre Empereur. Nous devons célébrer cet événement !"
  • Catastrophe et Renaissance de la culture traditionnelle chinoise (3e partie)

    Le principe de Yin -Yang et les cinq éléments sont au cœur de la culture traditionnelle chinoise. Dans la Chine antique, cette pensée d'inspiration divine a influencé toutes les disciplines. Une telle pensée était reflétée dans chaque aspect de la société et de la vie quotidienne, de la science à l'armée, de la construction au voyage, de la piété à l'agriculture, et même de la naissance au mariage, et même à la mort.
  • Catastrophe et Renaissance de la culture traditionnelle chinoise (2ème Partie)

    Selon la culture traditionnelle chinoise, chaque fois qu'un désastre naturel se produisait, en plus de prier pour les bénédictions des dieux, les gens se réexaminaient pour voir là où ils n'avaient pas bien fait. Même les empereurs "proclamaient leurs propres fautes"...
  • Catastrophe et renaissance de la culture traditionnelle chinoise (Première Partie)

    Selon l'histoire, Pangu créa le ciel et la terre et fixa la base de la culture traditionnelle chinoise, une culture conférée par des dieux. Les Huit Diagrammes, inventés et transmis par l'empereur chinois Fu XI, le père de la culture traditionnelle chinoise, sont la source de la large et profonde culture chinoise ...
  • Le Ciel aidera les personnes vertueuses

    Sous le règne de l'Empereur Huizong, durant l'année 1119, Huang Cong fut nommé chef du Comté de Minqing, dans ce qui est aujourd’hui la Province du Fujian. Il vénérait les divinités au quotidien. Bien qu'étant lui-même végétarien, il achetait tous les jours un morceau de viande pour sa mère. Il était une personne vertueuse et digne, ne craignant pas le pouvoir. Il n'acceptait jamais de présents de la part de fonctionnaires subalternes, ni ne donnait de pot-de-vin à des fonctionnaires plus haut placés pour leur plaire. Les fonctionnaires corrompus le haïssaient en conséquence.
  • Histoires anciennes montrant comment des mères vertueuses ont éduqué leurs enfants

    Il y avait beaucoup de bonnes mères dans la Chine ancienne qui prêtaient une attention toute particulière à l’éducation de leurs enfants. Ce qui suit sont les histoires, qui donnent à réfléchir, de deux mères qui ont appris à leurs enfants, devenus des fonctionnaires du gouvernement, à être irréprochables et honnêtes.
  • Se soumettre aux principes du Ciel - un pays en paix et un peuple vivant en harmonie

    Les êtres sensibles tirent leur origine du Ciel, tout comme les principes de la société ordinaire. C’est pour cela que l’adhésion aux principes célestes était une chose importante pour le peuple chinois. Ils vivaient selon ces principes. Quand les principes célestes sont suivis, le pays connaîtra la paix et les gens vivront en harmonie. Quand les principes célestes ne sont pas pris en compte, il y aura sécheresse, inondations et autres catastrophes naturelles et il sera difficile aux gens de gagner leur vie. Il y a de nombreux exemples documentés venant du passé, lesquels incluent des discussions de ces principes. Ce qui suit raconte deux histoires tirées de : "Registres historiques des Causes et Effets."
  • Servir le public de manière désintéressée, respecter la vertu et aimer le peuple

    Zhao Bian était originaire du Comté de Qu de la Province de Zhejiang sous la Dynastie des Song (960-1279 ap J.C). Au jeune âge de 27 ans, il passa un examen pour devenir fonctionnaire du gouvernement. Il remplit ses fonctions sous trois régimes différents : celui de l’Empereur Ren, de l’Empereur Ying et de l’Empereur Shen. Il était bien connu pour sa droiture, sa générosité avec le peuple et était attentif à sa propre conduite.
  • Assister les pauvres et être au service de ceux qui sont dans le besoin

    Lun Diwu était un fonctionnaire de l’ancienne dynastie orientale Han. Il vivait dans ce qui est aujourd'hui la province de Shaanxi. Il était honnête, sans prétention et généreux. Un de ses collègues lui dit un jour «Vous respectez la bonté et la justice, ce qui est tout à fait noble pour un gentleman. Toutefois, nous sommes des fonctionnaires, et nous avons besoin de savoir comment fonctionne le système. Si vous n’apprenez pas à être flexible, vous le regretterez dans le futur. " Diwu répondit : «Je vis pour la bonté et la vertu. Elles sont primordiales. Comment puis-je les perdre pour maintenir un poste au gouvernement? Vous me voulez du bien, mais vous ne comprenez pas mes aspirations."