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  • Récit du Bouddhisme : N'accepter les aumones que des pauvres

    Bouddha avait un grand nombre de disciples. Subhuti et Dajiaye étaient deux d’entre eux. Ils avaient des attitudes différentes en mendiant la nourriture. Dajiaye ne demandait d'offrandes qu' à ceux qui étaient pauvres alors que Subhuti ne demandait qu’à ceux qui étaient riches...
  • Récits du Bouddhisme : N'accepter les offrandes que des riches

    Le disciple de Bouddha Subhuti ne demandait l’aumône que de ceux qui étaient riches. Il ne s’est jamais rendu chez les pauvres parce qu’il savait qu’ils vivaient déjà dans les épreuves et qu’il leur serait très difficile d’offrir en plus des offrandes. Ainsi lorsque les disciples de Bouddha quittaient le temple pour aller quémander, Subhuti s’en allait seul. Peu importe la distance qu’il devait couvrir et la faim qui le tenaillait, il ne s’est jamais rendu chez les pauvres leur demander des offrandes.
  • Un conte mongol : Hailibu, le chasseur au grand coeur

    Dans les prairies mongoles il y avait un chasseur au grand coeur du nom de Hailibu. Après chaque chasse, il partageait la viande entre les villageois et ne gardait qu'une petite portion pour lui-même. Son attention pour les autres lui valait un grand respect dans le village.
  • Histoires de la Chine ancienne : L’adversité mène à des histoires de succès

    La plupart de ceux qui dans les temps anciens avaient de l’ambition ont accompli de grandes choses après avoir appris la ténacité et la persévérance à travers les adversités. Bien qu’ils aient souffert dans un environnement médiocre et dur, ils ont fermement gardé leur croyance avec une grande volonté et une persévérance. Ils sont devenus des modèles pour les générations futures. On se rappelle toujours de leurs histoires qui encouragent les gens à dépasser les difficultés et les épreuves jusqu’au succès.
  • Accumuler de la vertu apporte des bénédictions alors que perdre de la vertu amène le malheur

    Chen Gongcai était un homme au talent littéraire remarquable. Un jour dans un rêve, un être divin lui dit qu'il était" l'Erudit Numéro Un parmi les Ivrognes," et devrait continuer à passer les examens impériaux aux différents niveaux. Après s'être réveillé, il se sentit perplexe, il interrogea d’autres personnes à propos de ce rêve. Quelqu'un dit: "Le caractère (chinois) 'ivre' n'est-il pas constitué de deux parties Xin et You, et quand ils sont combinés, Xin et You n'indiquent ils pas une année particulière dans le calendrier lunaire chinois? Cela veut probablement dire que vous deviendrez l'Erudit Numéro Un au plus haut examen impérial dans l'année de Xinyou."
  • Le bien et le mal naissent d'une seule pensée spontanée ; La rétribution karmique est toujours juste

    Yuan Zishi de la province de Shandong naquit à l'ère Zhizheng ( 1341 ¡V 1368 Ap JC.) pendant le règne de l'empereur Huizhong de la dynastie Yuan ( 1271 ¡V 1368 AP JC.). Il avait un ami proche appelé Miu Qianhu. Miu a eu besoin d'une grosse somme d'argent pour voyager dans le sud de la province de Fujian pour décrocher un poste de surveillance dans le gouvernement local. Yuan lui prêta avec bonté 300 pièces d' argent. Ils avaient été de bons amis depuis l'enfance, ainsi Yuan Zishi ne demanda même pas à Miu de certificat d'endettement...
  • Changer son destin en accumulant de la vertu

    Dans les premières années de la Dynastie Ming, il y avait un homme appelé Zheng Xingr. Il travaillait en tant que serviteur dans la maison d'un fonctionnaire de la cour dont le nom était Wang. Zheng Xingr était très honnête et diligent et son maître le traitait également très bien. Un jour, un célèbre diseur de bonne aventure, Yuan Shangbao, arriva dans la maison de Wang, et après qu'il ait vu Zheng Xingr, dit à Wang que celui-ci lui apporterait de la malchance s'il le gardait sous son toit. Avec grand regret, Wang demanda à son serviteur de quitter sa maison et de chercher ailleurs son gagne-pain ...
  • Dessin : Eliminer les sous-fifres du mal

  • Le Ciel protège les bonnes personnes

    Au début du règne de l'Empereur Jiajing (1507-1576) dans la Dynastie Ming (1368-1644), M. Jin avait un boutique de prêteur sur gage dans une ville du comté de Yizhen. Une fois, presque toutes les riches familles de la ville furent volées, mais la boutique de M. Jin ne fut pas touchée. Le Chef du comté pensait que les voleurs devaient connaître M. Jin, et que c'était la raison pour laquelle ils avaient épargné sa maison.
  • "Le Moine le saura si vous développez une pensée déviée"

    Dans le livre: Livres Anciens, Règle Miraculeuse, volume 125, il y des contes d'un moine respecté de l'Inde, nommé Fotudeng, qui est resté en Chine pendant presque 40 ans. Il avait un haut niveau de vertu et il manifestait de nombreux pouvoirs divins, tel que la faculté de voir le passé, celle de la clairvoyance et la faculté de télépathie ...
  • Une histoire de cultivation de la Chine ancienne - Avaler le Dan

    Le monde est rempli d'illusions et il se peut que ce que vous voyez avec vos propres yeux ne soit pas vrai. Il y a longtemps de ça, Wei Boyang de l’état de Wu, avait pris trois disciples pour cultiver le Tao et le Dan (1) dans les montagnes. Après plusieurs années d’une cultivation pénible, le Dan fut finalement complètement nourri. Au moment d’avaler le Dan, Wei Boyang découvrit que certains de ses disciples n’avaient pas complètement éliminé leurs mentalités de personnes ordinaires et alors il leur dit : " Le Dan a été complètement nourri et je ne sais pas s' il peut être consommé ou pas. Laissons le chien en manger d’abord un grain et si le chien monte au ciel, alors nous pourrons le manger et si le chien meurt alors nous ne pouvons pas l’avaler. "
  • La piété filiale entretient la gentillesse

    Traiter les personnes âgées de la famille avec obéissance et gentillesse est une vertu traditionnelle de la nation chinoise et un critère de moralité. Pourquoi les anciens mettaient-ils l'accent sur la piété filiale et lui donnaient-t-ils une telle importance? Parce que la piété filiale est liée de près à l'élévation de ses propres critères moraux. Pour être capable de pratiquer la piété filiale, la personne doit avoir un cœur bienveillant, le quel est une vertu nécessaire pour échanger avec les autres en société. Ceci est le plus important. La piété filiale inclut d'autres vertus telles qu'être reconnaissant, rendre la gentillesse, se souvenir de ses racines, respecter les anciens, et avoir la considération des autres.
  • Tenir sa famille strictement mais avec intégrité

    Dans la dynastie Tang (616-907 Av.J.C), il y avait un gentleman du nom de Li Jingrang, qui vivait dans la cité de Loyang, dans ce qui est aujourd’hui la province du Henan. Son père était mort jeune et sa mère, Zheng Shi (qui signifie que son nom de jeune fille est Zheng mais que son prénom est inconnu), tenait sa famille avec discipline mais aussi avec intégrité, et ses trois fils avaient réussi brillamment.
  • Histoires de la Chine ancienne : Un fonctionnaire sage et tolérant

    Wang Dan, un fonctionnaire de haut rang pendant la Dynastie Song, a recommandé Kou Zhun pour la position de Premier Ministre à l'Empereur. Après qu'il soit devenu Premier Ministre, Kou Zhun critiquait souvent les imperfections de Wang Dan devant l'Empereur, alors que Wang Dan félicitait toujours Kou Zhun devant l'Empereur...
  • Histoires de la Chine ancienne: Les vertus accumulées pour avoir commercé avec intégrité

    Huang Jianji, qui était né dans la ville de Chengdu, province de Sichuan sous la dynastie Song du Nord de la Chine ancienne, était un homme bon. Il ne recherchait pas l’intérêt personnel et il était heureux d’aider les autres. Donc, tout le monde le respectait. A cette époque, le maire de la ville de Chengdu était Zhang Yong, qui se faisait appeler Guaiya. C'était un officier droit avec un bilan de performance remarquable, bien qu’il fut un petit peu arrogant. Une nuit, il rêva qu’il parlait avec une déité. Pendant la conversation, quelqu’un fit une annonce : « Huang Jianju de Ximen est arrivé », alors une personne avec des habits taoïstes entra. La déité descendit les escaliers pour accueillir Huang Jianji et elle l’invita également à s’asseoir sur le siège au dessus de Zhang Yong.