Révéler la persécution

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Le traitement cruel souffert par mme. Fan Wenfang avant qu’elle ne soit portée au tribunal sur une civière

    Les policiers l’ont aussi gavée avec de l’eau fortement pimentée et du lait mélangés avec on ne sait quelles drogues. Ils l’ont complètement dévêtue pour la gaver de force. Les gardes et les criminels l’insultaient tout en la torturant. Après avoir été torturée ainsi de nombreuses fois, son corps autrefois sain n’avait plus que la peau et les os. Elle n’a plus pu subvenir à ses besoins quotidiens, et sa vie est en grand danger.
  • FDI : Tortures par chocs électriques, agressions sexuelles en augmentation contre les pratiquants de Falun Gong placés en "rééducation" dans les camps de travail

    Dans un rapport reçu par le centre d'information de Falun Dafa en décembre 2003, les témoins oculaires ont fourni des détails sur 47 cas de tortures qui se sont produits entre 2000 et mai 2003, et confirmé 6 décès sous la torture. Le rapport décrit le nombre de cas dont il donne les détails comme étant "juste le sommet de l'iceberg." Parmi les cas sont les événements qui se sont déroulés l'après-midi du 19 mars 2001, quand le vice-président du camp de travail, Zhang Baolin, a dirigé un groupe du personnel du camp de travail pour torturer des pratiquants de Falun Gong.
  • Cinq Pratiquantes du Falun Gong sont exhibées dans les Rues de la Municipalité de Tongliang, Ville de Chongqing

    En décembre de l’an 2000, cinq pratiquantes du Falun Gong de la Municipalité de Tongliang, Ville de Chongqing ont été arrêtées pour avoir distribué des documents qui clarifient les faits au sujet de Dafa et de la persécution. Le 16 janvier 2001, les autorités de la Municipalité de Tongliang ont tenu un soi-disant "procès public" des cinq pratiquantes. Employant la méthode de démoniser publiquement les pratiquantes, une technique qui était populaire durant la Révolution Culturelle, les autorités ont accroché au cou de chaque pratiquante une pancarte avec les mots "éléments du Falun Gong " et les ont exhibées dans les rues pour inciter à la haine contre elles. Ce mois-là, elles ont été condamnées au camp de travaux forcés, Liu Taiping et Wu Gongbi ont été condamnées à deux ans chacune, Peng Wenbi un an, Gong Debi trois ans, et Peng Dongjun à quatre ans.
  • Nouvelles informations concernant la Torture qui a tué Mme Duan Shiqiong

    Lorsque son mari a vu le corps, il lui a été impossible de reconnaître sa femme.. Elle ne pesait plus qu'un vingtaine de kilos et à 34 ans semblait en avoir plus de 60.. Lorsque son mari a déclaré que le corps n’était pas celui de Duan Shiqiong, la police du centre de détention a suggéré de faire un examen d'ADN. Pour épargner de l’argent, la police a gardé le corps à la morgue d’un très simple et petit hôpital pendant sept semaines. Ils ont fait une autopsie et ont incinéré le corps le 5 novembre 2003.
  • Craignant d’être exposé au public, le procès secret des étudiants de l’Université de Qinghua est déplacé vers un nouvel endroit (Photos)

    Après que le procès planifié de trois étudiants ait été exposé sur un site du Falun Gong, les fonctionnaires du gouvernement ont paniqué. Au début du procès secret, plusieurs policiers et fonctionnaires en civil ont rempli la cour et entouré l'endroit. Nous avons appris qu’ils n’étaient pas de garde pour les membres de la famille des pratiquants; ils surveillaient les “étrangers”, des gens qui auraient eu le courage et les moyens d’exposer la vérité et de maintenir la justice pour ces pratiquants, et qui sont hors du domaine du contrôle de la police.
  • Après l’amputation de ses deux jambes résultant de tortures répétées, le pratiquant Yang Baochun s’est traîné lui-même avec ses mains pour faire appel aux fonctionnaires à Beijing

    M. Yang Baochun, un habitant de la ville de Handan dans la province de Hebei, est allé la première fois à Beijing faire appel pour le Falun Gong en août 1999. Après son arrestation, les autorités de la cinquième équipe du camp de travail local de Handan l'ont cruellement torturé dans la tentative de le forcer à renoncer à sa croyance en Falun Dafa. Il a été torturé et blessé si grièvement que ses jambes ont dû être amputées. Durant ces deux dernières années, puisqu'il a continué à refuser de renoncer à sa croyance en Falun Dafa et les principes de Vérité, Compassion, Tolérance, il a été envoyé à plusieurs reprises à l'hôpital mental d'Ankang et a encore été persécuté. Pendant cette période, tandis qu’il était relâché sous caution, Yang Baochun a décidé d’aller à Beijing faire appel au gouvernement pour que justice soit rendue au Falun Dafa. Poussé par sa foi et le sens de la justice, il a voyagé des dizaines de kilomètres, se déplaçant en utilisant ses deux mains puisque ses jambes étant amputées. Ayant seulement parcouru deux ou trois milles, il a été de nouveau arrêté et envoyé à l'hôpital psychiatrique.
  • Le Régime de Jiang Tente d'Empoisonner les Etudiants Chinois d'Outremer

    "Quand je les contactais, j'appris qu'ils avaient des relations avec l'ambassade Chinoise. Celui avec qui je parlais le plus me dit que l'ambassade Chinoise leur donnait souvent des journaux Chinois à distribuer aux autres. C'était des journaux contenant des articles de propagande et des histoires calomnieuses. A part ça, l'ambassade Chinoise indiquait aussi clairement que s'il y avait des informations positives sur le Falun Gong, alors ils n'étaient pas distribués. S'ils contenaient des informations négatives, alors c'était bien de les distribuer. Ils ont également dit que la liberté d'expression est pour les étrangers, et que les Chinois ne sont pas autorisés à parler de liberté. En d'autres termes, quand les étudiants Chinois d'outremer reçoivent les journaux au collège, ils sont encore empoisonnés par les fausses informations diffusées par les médias Chinois. "
  • Utilisation d’Instruments de Torture pour Infliger un Maximum de Douleur aux Pratiquants de Falun Dafa dans le Centre de Détention de la ville de Dalian

    Zhang Shuquan, Ju Wenyang et Gao Qian étaient parmi les persécuteurs les plus vicieux. Ils y avaient aussi d’autres policiers dont nous n’avons jamais pu avoir le nom. Les ordres étaient donnés par Wang Wenqi, le directeur adjoint du centre. En plus des bâtons en caoutchouc ils utilisaient un autre instrument de torture appelé « incessant ». Il se composait d’une armature carrée environ d’1 pied sur 1de dimension, avec quatre menottes d’acier lourd aux quatre coins.
  • Les Pratiquants sont Torturés avec une Fraise Artisanale Causant des Blessures Béantes et Exposant les Os dans le Camp de Travaux Forcés de Jiutai

    Le 5 avril 2002, je fus emmené dans une pièce de la Division n°1, spécialement utilisée pour torturer les pratiquants de Dafa. Dans cette pièce je vis une personne les quatre membres enchaînés au quatre coins d’un cadran de lit. Il n’y avait pas de planche sur le lit, juste un bout de bois pour soutenir sa tête. Il semblait être enchaîné là depuis fort longtemps, et la police l’électrocutait continuellement avec un bâton électrique. Une fois entré dans la pièce, la police m’a battu plusieurs fois, puis appela des assistants, et ils enlevèrent mes vêtements. Je fus jeté au sol tout nu. Quelqu’un me tint fermement les pieds pendant qu’une autre personne étirait mes mains. Ils fourrèrent un linge sale dans ma bouche, puis ils commencèrent à fraiser dans mes aisselles et derrière les genoux avec une fraise artisanale, composée d’un tube de plastic avec quatre objets tranchants au bout. Ils continuèrent à forer ce tube dans ma chair pendant plus de dix minutes, pendant que je hurlais de douleur. Quand le policier (son nom est peut être Tang Bo) se fatigua il appela un autre assistant pour continuer à forer. L’assistant croyait que j’étais mort, je l’entendais dire qu’il voyait l’os blanc à travers le trou qu’ils avaient fait sous mon bras. Très vite cette partie de mon corps avec un trou béant s’infecta et suppura, et de la chair brûlée et pourrie se dégageait une horrible odeur.
  • Aidez moi à sauver ma mère, Kuai Yajing

    Alors qu’elle révélait les faits sur la persécution au public et exposait la vérité sur Jiang Zemin et ses complices, ma mère a été arrêtée et condamnée à trois ans au camp de travail forcé pour femmes de Guizhou. Récemment, un de mes parents est allé rendre visite à ma mère et nous a informé qu’elle était amaigrie et avait été torturée à en être méconnaissable. Le parent lui a apporté une grosse couverture, mais la police ne lui a pas permis de revoir ma mère. Après maintes demandes pour voir ma mère, elle a été autorisée à sortir et prendre la couverture. Ma mère n’a que 80 Yuan par mois pour vivre [ 500 Yuan est le salaire mensuel de l'ouvrier moyen ]. Tout en souffrant de malnutrition, elle est forcée de faire un travail physique et est mentalement torturée. Si elle essaie de faire les exercices, elle est battue par des prisonniers. Récemment nous avons entendu dire que ma mère et grand-mère Wang sont souvent mises en isolement. La petite pièce sombre et humide n’a qu’un petit trou qui laisse filtrer un filet de lumière.
  • Une Cruelle Persécution Subie par une Pratiquante de la Mongolie Intérieure, Mme Ding Liyan.

    A la mi avril, les pratiquants Tian Miao et Lan Guiqin furent illégalement condamnés. La police essaya de les emmener, mais les pratiquants refusèrent de coopérer. La police envoya plus de dix prisonniers pour leur mettre les « menottes du porc ». Ding courageusement se leva pour défendre ses compagnons de pratique et cria à la police « C’est un crime de persécuter les pratiquants de Dafa ! Falun Dafa est bon ! ». La police était très en colère et utilisa la méthode la plus violente et la plus brutale, pour la punir, « porter une planche sur le dos ». Dans cette torture on utilise des chaînes pour menotter les mains et les jambes sur une croix en métal. La personne sur la croix en métal ne peut pas bouger du tout et on ne la relâche pas pour aller aux toilettes, aussi fait-elle ses besoins tout en étant enchaînée. Pour ne pas déranger les autres, Ding ne mangeait pas et ne buvait pas. Elle s’évanouit plusieurs fois, et elle dépendait de ces autres compagnons de cellule pour se changer et se laver. La police ne la relâcha que sept jours plus tard. Alors qu’elle était enchaînée sur la croix en métal, la police essaya encore de lui faire signer la déclaration stipulant qu’elle renonçait à sa croyance, ce qu’elle refusa fermement.
  • Le Camp de Travaux Forcés de Dalian exploite les Pratiquants de Dafa et gagne plus de 1 500 000 Yuans par An

    Les pratiquants de Falun Gong du camp de Dalian devaient travailler de 5 h du matin à 22 ou 23 heures. Il arrivait même assez souvent qu’ils fassent des heures supplémentaires jusqu’à minuit ou 2 heures du matin, ce qui devint d’ailleurs une routine journalière. Les pratiquantes travaillaient dans le couloir du premier étage. Le couloir était transformé en une salle fermée avec une seule porte pour la ventilation et l’arrivée d’air. En été, il faisait très chaud dans la salle qui était bondée et beaucoup de pratiquantes s’évanouissaient. Un simple calcul peut montrer l'ergent gagné par le camp grâce à ses prisonniers. Par exemple le travail d’écosser des haricots : Un pratiquant doit écosser 5 sacs de haricots par jour, qui se vend 25 yuans (prix moyen le plus bas). Il y a 56 personnes dans une équipe et un total de 3 équipes, (25 yuans/personne) x (3équipes) = 4 200 yuans. Supposant qu’il y ait 30 jours dans le mois, la valeur nette de la production est de 126 000 yuans par mois, allant jusqu’à 1,5 millions de yuans par an (valeur annuelle la plus basse). [Note : 500 yuans est égal au salaire moyen d’un travailleur urbain en Chine].
  • Dr. Li Zhigang est illégalement condamné à 5 ans et torturé dans la prison militaire de la ville de Chenzhou, province de Hunan

    Le 21 août 2002, l'université a rappelé Dr. Li Zhigang. Après son retour, il a été à nouveau détenu contre sa volonté. Cette nuit là, les policiers ont fouillé sa maison et confisqué ses affaires personnelles, y compris son ordinateur. Les policiers locaux et l'université ont essayé de lui soutirer une confession. Ils lui ont interdit de dormir. Quand il fermait les yeux, ils le battaient et lui donnaient des coups de pied. Pour protester contre la persécution, Dr. Li a commencé une grève de la faim. Les policiers l'ont saisi par les cheveux et lui ont frappé la tête avec les bouteilles en plastique remplies d'eau. Après quelques jours de grève de la faim, sa vie était en danger. Néanmoins, les fonctionnaires ont dit: « Ce n'est rien de sérieux »
  • La police de la ville de Shulan engage des membres de grade inférieur dans des organisations criminelles clandestines pour torturer les pratiquants de Dafa

    Ils ont embauché des membres de gang et des gangsters pour gaver de force les pratiquants de Dafa avec de l’eau contenant du poivre de chili et de la poudre de moutarde moulue [les deux peuvent causer des brûlures chimiques à la peau], puis les suspendre avec les menottes derrière leur dos. Pendant qu’ils torturaient les quatre pratiquants de Dafa, les membres de gang embauchés et les gangsters criaient: « Nous avons été payés pour vous faire parler contre le Falun Dafa! »
  • Violences et tortures dans le camp de travail forcé pour femmes de la province de Shanxi : Menottées et forcées de demeurer debout durant un mois

    L'institut de travail forcé des femmes a fait plus de cent vestes étroites pour empêcher les pratiquantes de Falun Gong de pratiquer les exercices. Le directeur de l’institut a copié cette méthode de persécution et de torture envers des pratiquants de Falun Gong d’autres camps provinciaux de travaux forcés. Les vestes sont faites en un tissu noir, solide et épais qui ne peut pas être déchiré. Les manches sont si longues que les mains restent à l’intérieur. Ces chemises sont ouvertes dans le dos avec des ficelles reliant les deux parties. Les vestes sont mises de forces sur les pratiquantes et les manches sont nouées dans le dos, puis ensuite attachées aux ficelles. De cette manière, la pratiquante qui est ainsi attachée ne peu plus bouger. Au milieu de l’été, la chaleur en devenait insupportable.