Nouvelles de Chine, 4940 morts confirmées, Dernières nouvelles, Témoignages individuels, Révéler la persécution, Bureau 610, Mise en scène tragique : l'épisode de l'auto-immolation, Camps de la mort et trafic d'organes, Autres

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  • Analyser les différences entre les auto- immolations sur la Place Tiananmen, mises en scène et véritables.

    Il n’est pas concevable que dans “ la mise en scène de l’auto immolation”, les victimes aient voulu s’immoler dans le but d’ « aller au paradis » sur la Place Tiananmen devant les caméras de la CCTV. Il y a plusieurs raisons à cela. Premièrement, c’est contre les exigences fondamentales du Falun Gong : les pratiquants ne tuent pas et ne commettent pas le suicide. Deuxièmement, cela aurait sérieusement causé tort à l’image du Falun Gong, parce que, pour les chinois, le Jour du Nouvel An est le plus heureux de l’année. Un suicide ce jour là aurait choqué et provoqué la haine de ceux qui ne connaissent pas beaucoup le Falun Gong. Troisièmement, une auto immolation sur la place Tiananmen a un taux de réussite très réduit. Si les victimes croyaient réellement que l’auto immolation pourrait les envoyer au paradis, il aurait été plus logique de trouver un endroit tranquille ou de rester chez eux où la réussite aurait été beaucoup plus probable. Il semble que ces gens non seulement ne suivaient aucun des enseignements du Falun Gong mais aussi ne se souciaient absolument pas de protéger l’image du Falun Gong ou même de réussir l'auto immolation. Quand les médias ont si agressivement rapporté et fait connaître l’incident de la mise en scène de l’auto immolation, il n’était pas difficile de voir leur intention malveillante. Quand la persécution du Falun gong est petit à petit devenue le centre d’attention de la communauté internationale, qui sont les gens qui ont pu souhaiter ce genre d'incident qui a endommagé la réputation du Falun Gong ? Sont-ce réellement les pratiquants de Falun Gong, ou n'est ce juste qu'une mise en scène de Jiang Zemin ?
  • Comment Liu Chengjun a été Torturé à Mort dans la Prison de Jilin (Photo)

    Liu Chengjun, un homme de 32 ans du Comté de Nongan, Province Jilin, était une des personnes de Changchun et de Songyuan qui a diffusé des programmes sur les ondes nationales de Chine révélant la dissimulation systématique des atrocités commises contre les pratiquants de Falun Gong. Arrêté pour piratage du réseau de communication de la TV câblée, il a été condamné à 19 ans dans la Prison de Jilin. Liu a été sévèrement torturé dans la prison et est mort le 26 décembre 2003 à 4:30 du matin. Pour dissimuler leurs crimes, les gardiens responsables de sa mort ont incinéré son corps à 10:40 le matin même, contre la volonté de sa famille.
  • Une famille entière de Pratiquants de Dafa a été envoyée dans le Camp de Travaux Forcés de la Province de Sichuan

    En novembre 2002, Chen Zhirong fut injustement condamné à 4 ans de travaux forcés, et envoyés au Camp de Travaux forcés de la Mécanique de Yaan dans la Province de Sichuan. Depuis on ignore sa situation. Selon une information obtenue en septembre 2003, Chen était toujours détenu, mais il ne faisait aucun travail. Quelques « collaborateurs » l’avaient torturé psychologiquement et avait essayé de lui faire subir le lavage de cerveau.La femme de Chen Zhirong a été illégalement condamnée à deux ans de travaux forcés dans le camp de Lanmu et fut libérée en août 2003. Leur fils, malade depuis son plus jeune age, est aussi mentalement handicapé. L’école élémentaire l’a renvoyé de la classe. Il a aujourd’hui 20 ans, il ne peut toujours pas s’occuper de lui. Il a été condamné à deux ans de travaux forcés dans le camp de Xinhua à Sichuan, même une personne handicapée n’a pas échappé à la persécution.
  • Les Pratiquants du Falun Gong souffrent d’Abus Constants dans le Centre de Lavage de Cerveau de la Ville de Guangzhou du District de Dongshan (photos)

    Ils privent les pratiquants de sommeil, les forcent à regarder des programmes vidéos qui calomnient Falun Dafa et demandent aux collaborateurs [d’anciens pratiquants qui se sont retournés sous la pression de la persécution] d’inoculer des mensonges dans l’esprit des pratiquants. Ils les empêchent aussi de quitter leur chambre, restreignent le temps d’utilisation des toilettes, les isolent pour de longues périodes et ont installé du matériel de surveillance dans chaque pièce afin de les surveiller en permanence A 22h00 chaque nuit le centre commence ses châtiments corporels sur les pratiquants déterminés. Les tortionnaires les traînent dans des pièces vides où toutes les fenêtres sont couvertes de journaux ou de planches et les forcent à rester debout pour une très longue période. Ils versent de l’eau sur le sol, les aspergent d’eau froide et utilisent toute méthode permettant de les tenir éveillés pendant huit à neuf jours d’affilée. Parfois ils utilisent des programmes diffamatoires et mettent le son extrêmement fort pour persécuter les pratiquants.
  • Une femme âgée de 59 ans, Chen Guijun de la Province de Sichuan, a été torturée à mort par la police du Comté de Pi (Photo)

    Pendant sa grève de la faim, le 28 octobre 2003, la Cour du Peuple du District de Qingbaijiang l’a jugée secrètement. Ces personnes hors la loi n’ont pas averti sa famille du procès, et n'ont pas permis à Chen d’engager des avocats. Ils n’ont même pas annoncé l’heure et l’endroit du procès. Chen a été illégalement condamnée à 9 ans de prison.Chen a fermement résisté au verdict illégal, et a continué sa grève de la faim. Après qu’elle ait développé des symptômes menaçant sa vie, elle a été secrètement transférée à l’Hôpital Populaire du District de Qingyang à Chengdu pour traitement d’urgence. En Décembre, l’hôpital a publié une annonce déclarant qu’elle était au seuil de la mort. A plusieurs reprises la famille de Chen avait demandé qu’elle soit libérée pour raison médicale. Cependant, ces demandes ont été rejetées par le centre de détention. Après avoir souffert de nombreuses tortures, Chen est décédée aux environ de 17 h le 21 décembre 2003.
  • Davantage d'informations concernant la torture honteuse infligée à un pratiquant de Dafa de la ville de Fushun

    Yu a souffert d’une commotion cérébrale aigue puis fait une dépression nerveuse suite aux tortures. . Afin de ne pas être accusé d’être responsable des blessures mentales et physiques de Yu, Qu Xiufeng le responsable du centre de détention, inventa un mensonge pour couvrir son crime et dit au gens "Yu est une bonne personne, nous l’avons bien traité. C’est triste de voir qu’il est devenu fou après avoir pratiqué le Falun Gong et qu’il s’est mis à cogner sa tête contre le mur." Les autorités ont fabriqué de honteux mensonges pour cacher le fait qu’elles sont impliquées dans ces crimes.
  • Le Camp de Travaux Forcés de Jiamusi Torture Brutalement Mme Wan Shuying

    Peu après 14h00 le 27 octobre 2002, les gardiens Chen Chunxiang et Sun Limin menottèrent Wan Shuying au coin d’un lit dans une « position forcée du dos courbé » (c’est une torture très douloureuse où un bras rejoint le dos derrière la tête et l’autre vient le rejoindre par en dessous. Les deux mains sont menottés ensemble causant une souffrance insoutenable). Les gardiens de prison desserrèrent les menottes un petit peu à minuit, mais les mains de Mme Wan étaient toujours menottées derrière le dos dans une position atrocement douloureuse. A l’heure du petit déjeuner, elle resta menottée. Les gardiens demandèrent à quelqu’un d’autre de nourrir Mme Wan, mais elle souffrait trop pour manger. A peu près au même moment le garde Li Yongbo secoua les mains déjà extrêmement endolories de Mme Wan pour lui causer encore plus de souffrance.
  • Un cadre retraité du Bureau Administratif des Reliques Culturelles âgée de soixante-dix ans meurt des suites d'une torture prolongée

    Mme Liao Minghui, était un cadre retraité du Bureau Administratif des Reliques Culturelles de la Province de Sichuan, âgée de soixante-dix ans. Elle avait le titre d'« Excellent Travailleur National ». Elle fut arrêtée et détenue pendant 15 jours pour avoir distribué des documents expliquant la vérité. Apres avoir été libérée du centre de détention, elle fut directement envoyée dans une soi-disant « classe de sécurité publique » dans la ville de Chengfu du District de Wuhou qui n'était en fait qu'une classe de lavage de cerveau. Mme Liao n’a jamais pu se remettre des tortures à long terme subies dans cette "classe" et est morte l’été 2003.
  • Un ingénieur de 65 ans de la ville de Chengdu, mme. Gu Ghuanying, meurt en résultat de la torture

    Le 23 mai 2003, les criminels du poste de police de Jianshelu ont enlevé l’innocente pratiquante de Dafa, mme Gu Chuanying, de la ville de Chengdu dans la province de Sichuan et l’ont envoyée au Centre de Détention n°1 de la ville de Chengdu. Ils l’y ont torturée sans pitié, ce qui a causé sa mort six mois plus tard d’un arrêt cardiaque. Ce n’est que le 11 juillet 2003 que les autorités dans le centre de détention ont dit à sa famille de venir la chercher. Mme Gu Chuanying est décédée le 24 décembre 2003. Voici son histoire...
  • Deux pratiquants de Dafa sont persécutés à mort et d’autres sont handicapés à la classe de lavage de cerveau de la ville de Jiaozhou

    Lorsqu’une pratiquant est envoyé là-bas, il/elle ne peut dormir que par terre sur le sol de ciment. Toute l’année, les fenêtres dans les portes de chaque pièce sont enlevées et en hiver une goutte d’eau y gèle immédiatement, des nuées de moustique entrent par l’ouverture. A chaque repas, les pratiquants ne reçoivent qu’une petite portion de petit pain à la vapeur, un morceau de radis aigre et la moitié d’un bol d’eau qui n’a pas été bouillie pour la décontaminer. Ils doivent manger, boire, faire leurs besoins et dormir dans la même pièce. Pour cette sorte d’ « accommodation », les pratiquants doivent quand même payer 50 yuan par jour. Quelques pratiquants se sont fait extorquer 3000 yuan et d’autres plus de 10 000. [le yuan est le salaire moyen mensuel d’où travailleur urbain en Chine] Les méthodes utilisées pour torturer les pratiquants de Falun Gong sont particulièrement cruelles dans cette classe de lavage de cerveau. Cet endroit est pourtant donné en exemple comme « unité modèle de la province de Shandong. »
  • Témoigner pour l’histoire : Une pratique collective le 18 juin 2000 à Daqing, province du Heilongjiang

    Après avoir fini les exercices debout, une pratiquante dans la rangée de devant a déployé une bannière avec écrit « Falun Dafa est Bon ». Un groupe de policiers s’est précipité pour attraper la bannière, mais elle la tenait très fermement et ne la lâchait pas. À ce moment la police l’a sévèrement battue, lui cassant plusieurs os. Un autre pratiquant qui était venu plus tôt nous a dit que deux autres pratiquants avaient ouvert des bannières avant elle, mais avaient déjà été emmenés par la police. Nous sommes venus pour protéger nos pratiquants et les bannières, et les avons reprises à la police en lui disant que Falun Dafa était bon et qu’ils ne pouvaient pas battre les gens. Quand je me rappelle de ce moment, les larmes me viennent encore aux yeux. La police était stupéfaite par la droiture des pratiquants et s’est retirée. À ce point quelques pratiquants se sont avancés à l'avant et ont ouvert la bannière à nouveau et le reste des pratiquants s’est réaligné pour continuer les exercices.
  • Des médecins et des fonctionnaires sans scrupules de la ville de Lingyuan administrent des drogues psychotropes aux pratiquants comme moyen de torture

    Au cours de ces dernières années, Sun Liansheng, le chef du centre de détention N°2 de la ville de Lingyuan, ainsi que des médecins sans scrupule d'un hôpital psychiatrique, ont torturé des pratiquants de Dafa déterminés avec des injections qui endommagent le système nerveux. En raison de cela, beaucoup de pratiquants sont devenus diminués. Certains ont perdu leurs facultés sensorielles, d’autres ont développé des problèmes mentaux et sont devenus incontrôlables
  • Un pratiquant reçoit des injections de produits inconnus à l’hôpital psychiatrique de Zhoukou

    D’après les résultats de leur première rencontre, le jour suivant, Wang Tianyi a conduit plusieurs hommes pour enlever M. Zhang et l’ont fait entrer à l’hôpital psychiatrique pour le persécuter. Plusieurs jours plus tard M. Zhang a dit à sa mère, « ils m’ont attaché les mains et les pieds, et m’ont injecté un produit dans la tête. Après l’injection, je n’étais plus conscient de rien. » Sa mère est allée dire au docteur que son fils n’avait aucun problème ni antécédent de maladie mentale. Elle a demandé au docteur de lui dire quelle drogue ils lui avaient injecté. Celui-ci a répondu « Quelque chose pour lui rendre l’esprit clair. Une fois que son esprit sera clair, tout ira bien. »
  • FDI : Les camps d’entraînement aux techniques de torture en Chine se focalisent sur le Falun Gong – Des femmes sont gavées d’excréments humains

    Dans les années 60, les leaders chinois ont visité diverses communautés modèles pour apprendre de nouvelles et meilleures méthodes pour l’agriculture et l’industrie. Aujourd’hui les autorités sont en train d’envoyer des directeurs de prisons de toute la Chine pour apprendre des camps de travaux forcés modèles ayant réussi dans la « rééducation » ou la « transformation » des pratiquants de Falun Gong par la torture et les méthodes de lavage de cerveau.
  • Yoko Kaneko se rappelle les 548 jours qui ont suivi son enlèvement par les suppôts de Jiang Zemin et Son Régime, Partie 3

    Après la première manifestation du SRAS en Chine, quelques-uns des pratiquants autour de moi ont été progressivement libérés à la fin de 2003, mais j'étais encore emprisonnée. J'ai demandé à mes ravisseurs pourquoi je n'étais pas libérée, mais ils ne me répondaient pas. Ils ne pouvaient pas me torturer, mais ne pouvaient pas me libérer non plus parce qu'ils avaient peur que je raconte aux gens ce qui s'était passé pendant mon emprisonnement.