Nouvelles de Chine, 4940 morts confirmées, Dernières nouvelles, Témoignages individuels, Révéler la persécution, Bureau 610, Mise en scène tragique : l'épisode de l'auto-immolation, Camps de la mort et trafic d'organes, Autres

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Eléments d'enquête | Voix de justice - soutiens | Couverture des médias | Manifestations pacifiques - Forums - Débats | CIPFG | Documents de référence | Opinions et commentaires | Rapports d'enquête | Révélations et Témoignages | Conférences de presse - Déclarations | Enquêtes indépendantes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Mort soudaine et mystérieuse en détention du pratiquant Li Qinzhou de la province de Shaanxi

    Le 8 mars 2000, le couple et leurs amis pratiquants dans la même entreprise allèrent faire appel pour le Falun Gong à Beijing. Ils furent arrêtés et ramenés à leur unité de travail. Par la suite, Li Qinzhou fut trompé et il accepta d’aller aux services de police du comté de Hua. On le fit parader dans les rues et il fut jugé publiquement avec les criminels. Les services de police filmèrent même la parade et le procès en vidéo. Puis il fut condamné à un an de travail forcé.
  • Un professeur adjoint de l’Université de Jilin Pr. Yang Lingyun meurt d’une maladie résultant de la persécution

    La pression d’être sans foyer et d’échapper aux arrestations de la police, et les inquiétudes pour la misérable condition de son fils dans le camp de travail ont eu raison de Mme Yang. On lui diagnostiqua un cancer et elle mourut à l’hôpital au début de l’année 2004.
  • La police de Weifang utilise les menaces et la violence pour tenter de forcer les pratiquants à renoncer à leur croyance

    Un jour de mai 2000, un groupe de la police locale, mené par leur superviseur, a fait irruption chez Li Xiujiang et l’a arrêté. Ils l’ont emmené au poste de police et l’ont suspendu à un mat de basketball. Un officier, Lin Zhiyuan, a giflé le visage de Li et l’a bourré de coups de poings et de coups de pied. Après l’avoir laissé suspendu toute la journée, Lin a amené Li à son bureau, et avec quelques autres policiers, Wang Min, Tang et d’autres, il a essayé de forcer Li à écrire une « déclaration de garantie » de renoncer au Falun Gong. M. Li a refusé. L’officier Tang a alors tenu un container d’eau bouillante au dessus de la tête de Li, le menaçant de l’ébouillanter s’il ne se soumettait pas
  • Une femme saine dans la trentaine est torturée jusqu’à la démence avec des drogues pour psychotiques – elle meurt peu après avoir été relâchée

    Mme Wang Dongmei, la trentaine, était professeur de collège dans une ville de l’agglomération de Hengshui, Province de Hebei. En 2001, après qu’elle ait été forcée à assister à une classe de lavage de cerveau, elle a été envoyée au Camp de travail forcé de Shijiazhuang. Dans le camp de travail, elle a souffert toutes sortes d’abus physiques et mentaux, y compris la torture au moyen d’une corde, la torture à l’électricité, la privation de sommeil, et de longues périodes d’isolation. La police a utilisé toutes sortes de moyens cruels, mais, incapable de la faire trahir sa conscience, ils l’ont transférée à un hôpital psychiatrique pour tenter de briser sa volonté et l’ont torturée avec des drogues pour psychotiques administrées improprement.
  • La persécution de Jiang Zemin contre une famille entière de pratiquants du Dafa : Père et fils sont torturés à mort dans le camp de travail forcé de Chaoyanggou

    Au cours de la troisième semaine de torture intense, les agents ont ignoré le fait que sa vie était en danger parce qu’ils voulaient plus de primes. Ils l’ont dévêtu et ont versé de l’eau glacée sur la région infectée, et les agents Zhao Dongli et Zhu Shenglin de la deuxième salle ont fouetté M. Zhang Qifa avec une ceinture jusqu'à ce que sont corps entier soit recouvert de blessures et qu’il soit à l'agonie. Puisqu’ils ne voulaient pas être responsables de sa mort, ils ont renvoyé M. Zhang Qifa à la maison le 19 janvier 2003, et il est mort le jour suivant.
  • La façon dont M. Xun Ruilin a été persécuté avant de mourir

    La police ne pouvant rien obtenir de lui, on l’a transféré au département de police du comté de Linzhang pour un traitement encore plus sévère. Là, Xun Ruilin a immédiatement fait une grève de la faim pour protester contre son traitement illégal et brutal, sur quoi la police du comté de Linzhang et du comté de Chenan a décidé de le gaver comme forme de torture. Ils n'ont pas permis aux membres de sa famille de lui rendre visite et ils ont également bloqué toutes nouvelles à son sujet. Le 8 septembre, Xun Ruilin a été torturé à mort et les autorités ont dû en informer la famille.
  • La pratiquante de Dafa Mme He Xiuling est décédée (Photo)

    Elle a été arrêtée au mois d’août 2002 et condamnée illégalement à la prison vers le Nouvel An chinois en février 2003. Elle a été envoyée au centre de détention de Nanjiao de la ville de Yantai, où elle a persisté dans sa foi et a été enfermée sous clef dans une cellule isolée où le personnel du « Bureau 6-10 » et les gardiens la torturaient brutalement. Durant son incarcération, la famille de He Xiuling a demandé à plusieurs reprises la permission de lui rendre visite mais n’a jamais reçu de réponse.
  • Le pratiquant de Falun Gong Ma Zhongxing, originaire de Shenyang dans la Province de Liaoning, a été torturé à mort en 2001

    Durant sa détention, il a été sauvagement torturé. Il a alors développé une maladie cardiaque grave et commencé à vomir du sang. Pour échapper à sa responsabilité, le camp l’a relâché pour raisons médicales. Mais après être rentré chez lui, le comité de rue local et le Poste de Police de Huanghai l’ont tour à tour persécuté. II est décédé le 1er novembre 2001.
  • La torture sadique des pratiquantes de Falun Dafa dans le camp de travaux forcés de Dalian

    Le camp de travaux forcés de Dalian, dans la province de Lianing, enferme les pratiquants de Falun Dafa résolus dans des compartiments isolés pour les torturer brutalement et les forcer à renoncer à leur foi en Falun Dafa. Les compartiments isolés sont en réalité des cage en fer, d’un mètre de large et de deux mètres de haut, faits de tubes d’acier carrés. Après que la victime ait été traînée de force dans la cage, ses mains sont menottées au dessus de sa tête et les menottes sont tellement serrées qu’elles arrachent la peau des poignées du pratiquant.
  • EFGIC : les Morts de 25 pratiquants de Falun Gong ont été vérifiées en mars.

    Les morts de plus de 25 pratiquants de Falun Gong en Chine en résultat de la persécution menée par l’état ont été vérifiées en mars, d'après des sources fiables. Parmi celles -ci il y a les détails de morts récentes, ainsi que des informations sur des morts qui ont été dissimulées depuis plus de quatre ans.
  • Plus de détails sur la mort de l’avocat Li Jian due à la persécution

    Le camp de travaux forcés n°3 de la province du Henan est connu comme le "deuxième Masanjia" pour sa cruauté et sa brutalité dans la persécution des pratiquants de Falun Gong. M. Li Jian était un avocat du comté de Zhengyang à Zhumadian, province du Henan. Parce qu’il refusait de renoncer au Falun Gong, le camp de travaux forcés n°3 de la province du Henan l’a sans cesse torturé, causant sa mort le 26 avril 2002.
  • Faits additionnels sur la mort de la pratiquante Mme Li Ying, suite à la torture par la Division No. 1 du Département de la Police de Fushun (Photo)

    La pratiquante du Falun Gong Mme Li Ying, Ville de Fushun, Province de Liaoning, a été torturée à mort par la Division No.1 du Département de Police de Fushun . Mais la police, le procureur et la cour ont donné de concert un faux témoignage, et à présent les meurtriers sont encore en liberté. Li Ying était une personne honnête, de bon coeur, et amicale. Parce qu’elle pratiquait le Falun Gong, elle avait été condamnée à deux ans de travaux forcés en l’an 2001 pour le « crime de déranger l’ordre social ».
  • Le district de police de Mentougou à Beijing torture un jeune pratiquant de Falun Dafa à mort de demande à l’hôpital de fournir un faux certificat de décès.

    Un matin de l’hiver 2000, la police a amené dans la salle des urgences de l’hôpital Mentougou, le corps d’un jeune homme qui avait été torturé à mort . Le jeune homme semblait avoir une vingtaine d’années. Lorsque les médecins ont demandé à la police son nom et son adresse, les policiers ont dit , " Il n’a pas de nom, il est pratiquant de Falun Gong. "
  • M. Wang Zengcheng de la ville de Tianjin est battu à mort dans un Camp de Travail pour avoir refusé de trahir sa conscience

    Lorsque sa famille a examiné le corps de M. Wang Zengcheng, ils ont découvert qu’il n’avait plus de peau intacte sauf une partie de la taille d’un œuf. Ceci a été confirmé par le rapport officiel d’autopsie. Craignant d’avoir à en prendre la responsabilité, le camp de travail a compensé la famille de Wang avec 130.000 yuan dans une tentative de clore l’affaire. Du fait de la grande pression et de l’intimidation des autorités, les membres de la famille ont renoncé à poursuivre les criminels.
  • Sa jeune femme et son enfant restent le cœur brisé après que M. Wang Dayuang ait été battu à mort dans la Première Prison de Harbin

    M. Wang Dayaung, 30 ans, était professeur à l’Institut de Sciences Informatiques et de Technologie de l’Université de l’Industrie de Harbin. En novembre 2002, la police l’a illégalement arrêté et a saccagé sa maison. Il a été détenu pendant plusieurs mois, après quoi il a reçu un terme de huit ans d’emprisonnement à la Première Prison de Harbin. Il a été torturé à mort le 5 avril 2004. Les chefs de la prison ont essayé d’échapper à leur responsabilité en disant que trois détenus criminels avaient battu M. Wang à mort. Nous savons tous que les détenus criminels n’oseraient pas commettre un tel crime sans en avoir reçu l’ordre par la police.