Le déclenchement de l’épidémie du SRAS au début d’avril 2003 a fait paniquer tout le monde. Il y avait peu de gens travaillant dans la rue dans la ville de Baochang (Mongolie) et presque toutes les boutiques étaient fermées.
Vers 4 ou 5 heure de l’après midi, une journée en avril, alors que je passais devant l’édifice du bureau Grain, il y a eu une scène devant une boutique de vêtements qui m’a interpellé. J’ai vu 4 ou 5 hommes se réunir autour d’une femme; un des hommes l’a empoigné avec une main et l’a lancé en bas, du haut d’un escalier. Un comportement aussi cruel et violant m’a sidéré. En regardant de plus près, j’ai découvert que l’homme était le policier, Zhao Baoming, en civil, suivi de près par deux autres policiers en civil également. Les trois hommes ont traîné de force cette femme dans une camionnette. Évidemment, elle ne voulait pas les suivre de son gré. Elle s’est débattue fortement, tout en criant : « Je pratique le Falun Gong. Je suis une bonne personne. C’est une persécution! » Tout à coup, plusieurs gens ont entouré la scène et tous les passants se sont arrêtés pour regarder.
Les policiers en civil, sous la direction de Zhao Baoming, étaient un peu énervés. Alors, d’autres policier se sont sentis concernés et se sont joints à eux pour les aider. Tout à coup, ils ont poussé de force la femme dans le véhicule. Pendant qu’elle se débattait, elle continuait de crier : « Je suis une bonne personne. Je pratique la Falun Gong. Laissez-moi partir! » La camionnette est rapidement disparue. Une voie de l’intérieur du véhicule elle continuait de se faire entendre : « Falun Dafa est bon! » Tous les passants ont été bouleversés par l’événement.
Peu temps après, les gens commencèrent tous à parler en même temps et j’ai découvert ce qui s’était passé. La femme dont je viens juste de parler était une pratiquante de Falun Gong. Elle avait toujours de bonnes manières, était amicale et prête à aider les autres tout le temps. Ce jour là, alors qu’elle lisait un livre dans la boutique, Hu Xiaodong, un policier de la station de police Xinhua de la ville de Baochang, a fait intrusion et lui a demandé de lui donner le livre. Hu a également fait un appel pour convoquer Zhao Baoming, Cao Yi et d’autres de l’équipe de sécurité de l’État pour qu’ils viennent là. Ils ont commencé à fouiller la boutique de fond en comble et kidnappèrent cette pratiquante de façon brutale telle que je viens de décrire.
Tout les gens dans les environs ont été témoins que les policiers ont traité cette petite femme, seule, comme si elle était une meurtrière. Les trois hommes ont utilisé leurs genoux et leurs bras pour la presser brutalement sous un siège de la voiture.
Pourquoi, en plein jour, est-ce que les policiers ont arrêté une personne alors qu’ils étaient en civil, sans même conduire une voiture de police, sans même montrer leur identification? Pourquoi est-ce que des gens qui pratiquent « Vérité, Compassion, Tolérance » sont-ils traités de cette façon? Qu’est ce qui ne tourne pas rond avec ce monde?
Adresse: Tipushi Qi, Baochang Town, Inner Mongolia,
Code postal: 027000
Numéro de téléphone: 86-479, Numéro du comptoir d’information 114
Police du département de police de la ville de Baochang: Cao Yi, Zhao Baoming
Police de la station de police de Changqing: Zhang Hongcai
Chef du bureau: Li Fusheng
Chef député du bureau: Kang Lianpeng
Secrétaire du comité politique et judiciaire: Jianzhong,
Police de Taipushi Qi: Zhao Zhong
Gouvernement de Taipushi Qi: Yen Yuning
Traduit le 5 mai 2004
Version anglaise disponible à:
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/5/4/47698p.html
Version chinoise disponible à:
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2004/5/4/47698p.html
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