Témoignages individuels

  • Un non-pratiquant est témoin de six jours de session de lavage de cerveau

    Il y a deux ans, j’ai entendu, d’un ami policier impliqué dans la persécution du Falun Gong, la façon dont le Parti communiste chinois (PCC) persécute les pratiquants de Falun Gong. Avant cela, j'avais seulement entendu parler du Falun Gong et des mesures de répression par les médias contrôlés par le PCC, mais je ne connaissais aucun détail. Après avoir écouté mon ami, j'ai compris à quel point la persécution était brutale et comment le PCC et ses acolytes avaient fait une telle chose afin de détruire l'humanité des gens.
  • Troisième lettre d’appel de la grand-mère de Mme Wang Bo, demandant une aide légale

    Liu Shuqin a perdu le contrôle de ses intestins à cause de la torture, et elle a mis beaucoup de temps à se remettre, après être rentrée chez elle. Les yeux de Wang Xinzhong étaient injectés de sang et il ne pouvait pas bouger son bras à cause des passages à tabac. Même la jeune Wang Bo a été condamnée à trois ans de travaux forcés et a fini sa scolarité sous la surveillance étroite de la police. Pendant ce temps, la police a continué à les harceler après qu’ils soient rentrés chez eux. La famille n’a vu d’autre alternative que de partir se cacher dans le Nord-est.
  • Une pratiquante révèle les actes de persécution cruels à la prison pour femmes de Harbin, dans la province du Heilongjiang

    Ce qui suit est l’histoire vraie d’une pratiquante de Dafa. La totalité de l’histoire a été écrite sur des petits morceaux de tissus et sortie de la prison par une autre pratiquante qui était libérée, afin de révéler ces crimes vicieux au public. La femme se trouve encore dans la prison pour femmes de Harbin. Elle y est “illégalement détenue” pour neuf ans.
  • Meng Yuan, 9 ans : “Mes parents me manquent”

    Je m’appelle Meng Yuan, j’ai neuf ans. Mon père Li Jianbo et ma mère Liu Xiuyun ont été illégalement condamnés à la prison parce qu’ils pratiquent le Falun Dafa. C’était dans l’après-midi du vendredi 28 octobre 2005. En revenant de l’école, j’ai laissé mon cartable dans le jardin et suis allé jouer avec mes copains au parc. Au bout d’environ 30 minutes, aux environs de 18h, je suis revenu et j’ai attendu ma mère devant la porte de notre appartement. J’ai attendu un long moment, mais ma mère n’arrivait toujours pas. . A partir de ce moment, j’ai été séparé de mes parents et maintenant je vis avec mes grands-parents qui approchent les soixante-dix ans.
  • Canada : Témoignage de Xun Li de l'Association de Falun Dafa au Sous-comité des droits internationaux de la personne (SDIR) à la Chambre des communes

    "L'avocat Gao Zhisheng est appelé « la conscience des avocats chinois. » En 2001, le ministère de la justice de Chine le considérait comme étant l’un des dix plus importants avocats dans le pays. Il n'est pas un pratiquant du Falun Gong, pourtant il est lui-même actuellement sous arrestation [1] parce qu’il défend les droits de l'homme en Chine, en particulier pour ses trois lettres ouvertes adressées aux dirigeants du gouvernement chinois réclamant la fin de la persécution du Falun Gong."
  • Comment le petit Sheng Wei a sauvé sa mère du centre de détention

    Sheng Wei a 14 ans. Lorsqu’il avait 12 ans, sa mère, Mme.Yang Zhonghong, fut arrêtée et emmenée au poste de police de Zhendongshan de la municipalité de Lushuihe, ville de Baishan, province de Jilin après avoir été dénoncée comme étant pratiquante de Falun Gong par Tang Longping. Au poste de police, les officiers de police ont fouetté Sheng Wei avec un fil en acier # 12 et ils ont essayè de le forcer à dire où sa mère avait reçu les documents clarifiant la vérité. Ils l’ont fouettè jusqu'à ce qu’il soit couvert de blessures mais Sheng Wei a serré les dents pour endurer la douleur et il n’a dénoncé aucun pratiquant de Falun Dafa.
  • Entendre s’exprimer des cœurs humains : Enregistrements du service d’assistance téléphonique d’un Centre de service pour démissionner du PCC (suite)

    Le jeune homme voulait déclarer sa démission de l’équipe des pionniers et de la ligue de la jeunesse sous le nom de « Zhang Wu Jin. » Il a dit : « Juste comme ce nom, je n’ai pas d’argent et je souffre une amertume sans fin. » La fille qui écoutait tout près de lui a dit : « S’il vous plait choisissez un nom pour moi également. » J’ai dit : « Le PCC est vicieux et corrompu. La société est complètement injuste et la moralité des gens a dégénérée et vous vivez dans cet environnement. Aujourd’hui, en vous retirant de l'équipe des pionnier et de la ligue de la jeunesse vous avez échappé à la perversité, comme une fleur de lotus sortant de la boue sale en demeurant cependant pure. Est-ce qu’on peut utiliser le nom Xiao Lian (petit lotus) ? » Elle dit : « C’est formidable. »
  • Entendre s’exprimer des cœurs humains : Enregistrements du service d’assistance téléphonique d’un Centre de service pour démissionner du PCC (suite)

    Après avoir composé un numéro de téléphone dans la Province du Guangxi, j’ai demandé à la personne qui a répondu si c’était lui qui venait tout juste de m’appeler. Il m’a dit que ce n’était pas lui, car il venait d’arriver à son bureau. Je lui ai donc dit, “C’est le bon moment pour que nous ayons une petite discussion et j’ai à vous apprendre des nouvelles choquantes. » Il m’a écouté attentivement. J’ai réalisé qu’il travaillait pour un organisme qui est directement en relation avec le parti. Donc pour sa sécurité, j’ai essayé d’éviter l’utilisation de mots sensibles. A chaque fois que je marquais une petite pause, il me demandait calmement, « Avez-vous quelque chose à ajouter ? » A la fin, je lui ai demandé d’utiliser les trois derniers chiffres sur son téléphone comme pseudonyme et de déclarer sa démission. Il a calmement répondu, “OK.”
  • En souvenir du pratiquant M. Zhang Zhong

    J’ai été bouleversée en lisant la nouvelle que Zhang Zhong, pratiquant de Falun Dafa de l’agglomération de Chongqin avait été persécuté à mort. Je ne voulais pas croire que ce soit vrai. Des images persistantes de l’éclat persévérant dans les yeux de Zhang Zhong, de son sourire honnête et de son image pure apparaissaient dans mon esprit. C’était un si jeune homme. Il éclatait de santé lorsque je l’avais vu un an auparavant, mais en seulement un an, il avait été persécuté à mort.
  • Un juge droit

    Un juge d'une cour locale, dans la province du Hebei, a obtenu le verdict "innocent" pour un pratiquant, condamné pour avoir distribué des matériaux clarifiant les faits. Un pratiquant, qui avait parlé à ce juge du Falun Gong, lui a demandé s'il avait eu peur d'avoir des ennuis en allant contre les politiques gouvernementales établies. Le juge a répondu : "Non, je ne fais qu'agir selon ma conscience. Je suis très heureux de n'être pas allé contre ma nature la meilleure. Dîtes je vous prie à votre maître que je sais que les pratiquants de Falun Dafa sont de bonnes personnes. Je ne ferais pas condamner des disciples de Maître Li!"
  • M. Du Yinghui raconte la persécution soufferte par sa famille dans la ville de Tianjin

    Je m’appelle Du Yinghui et je suis des cours à l’Université de Formation Electronique de la ville de Tianjin. J’ai un frère ainé du nom de Du Yingguang. Il fut un temps enseignant dans l’école élémentaire N°4 du village de Yang, district de Wuqing dans la ville de Tiajin. Aujourd’hui il a dû s’enfuir de chez lui pour devenir sans domicile afin d’éviter la persécution. Ma mère Wang Yuling est une paysanne. Le 31 janvier 2001, tous les trois avons été illégalement arrêtés et jetés dans le centre de détention du district de Wuqing dans la ville de Tianjin.
  • Des détails sur la persécution du pratiquant de Dafa M. Yang Xuehua du district de Fangshan à Beijing

    Il a été vérifié que le 11 septembre 2006 l’équipe de la sécurité nationale de la ville de Zhouzhuo a arrêté Yang Xuehua, pratiquant de Falun Dafa, du district de Fangshan à Beijing, parce qu’il avait sur lui des copies des Neuf commentaires sur le Parti communiste. Yang Xuehua est en traitement dans le service intensif de l’hôpital de la ville de Zhuozhou
  • M. Zhou Yongbing de la province du Hunan Province s'est effondré mentalement après s'être vu injecté des drogues toxiques dans le Camp de travail de Xinkaipu

    M. Zhou Yongbin s'était effondré mentalement le 30 septembre 2006, et n'a pas pu reconnaître sa maison. Les gardes ont contacté sa famille et l'ont renvoyé chez lui. Lorsque les membres de sa famille l'ont vu, il n'a pas reconnu ses parents, mais appelait seulement le nom de sa femme (Liu Dafa, elle aussi pratiquante, détenus dans le Camp de travail de Baimalong dans l'agglomération de Zhuzhou, province du Hunan) Il ne pouvait pas se tenir debout, parler normalement, jetait tout ce qu'il trouvait par terre et ses mains battaient l'air de façon incontrôlée. Il y avait des marques de corde sur son corps, indiquant qu'il avait été ligotté. Il avait des cicatrices de brûlures de cigarettes sur ses mains.
  • Une lettre écrite par M. Wang Gang, paralysé suite à la torture, de la prison Baoding, province de Hebei

    Ce qui suit est une lettre d’un pratiquant de Falun Dafa, M. Wang Gang. Il est actuellement emprisonné dans la prison Baoding, aussi connue sous le nom de Prison No. 1 de la province de Hebei. Il y décrit les détails de sa torture entre le 18 et le 30 mai et demande à la ‘’Coalition Pour Enquêter sur la Persécution de Falun Gong en Chine ‘’ d’enquêter sur la persécution et la torture des pratiquants de Falun Dafa dans la prison Baoding.
  • Voir l’imposture du système légal Chinois à travers ma propre expérience de persécution

    Le 20 juillet 1999, je suis allé à Pékin faire appel pour Dafa. Le 24 juillet, à huit heures du matin, ensemble avec trois cent pratiquants, nous avons récité l’article du Maître Lunyu sur la Place Tienanmen. La police nous a arrêtés et détenus dans le gymnase Fentai à Pékin. Le second jour, j’ai été ramené sous escorte dans ma ville natale (Xuzhou) et détenu illégalement dans le centre de détention local pendant une semaine. Plus tard, j’ai été détenu par la section de la sécurité dans ma propre compagnie ...