Témoignages individuels

  • J’ai été arrêtée illégalement et emmenée au camp de travail forcé de Gaoyang afin d’être persécutée pour ma croyance spirituelle

    La plupart des personnes emprisonnées dans le camp de travail de Gaoyang étaient des pratiquants de Falun Gong. Il y avait aussi quelques non-pratiquants mais pas beaucoup. L’atmosphère y est très intense. Aussitôt qu’une personne arrive au camp, lui ou elle peut sentir l’horreur et la frayeur, à en faire perdre le souffle. J’étais au premier étage. Il y avait cinq personnes par chambre. La fenêtre était clouée fermée et la chambre n’était pas ventilée. L’odeur venant des toilettes était très forte. Nous entendions souvent des gardes en train de battre et de maltraiter des personnes au deuxième étage. Il y avait aussi les cris des pratiquants alors qu’ils se faisaient battre.
  • Un lycéen s’éveille à la vérité

    "Je suis un lycéen et je vis dans le Nord-est de la Chine. Avant de comprendre la vérité au sujet de Falun Gong, j’ai été trompé par la CCTV et par mon école, comme tous les lycéens en Chine. Chaque fois que j’entendais parler de Falun Gong, je pensais toujours aux auto-immolations et aux suicides. J’avais peur de cela. A cette période-là j’étais à l’école élémentaire."
  • Une Lettre ouverte au monde extérieur par des pratiquants illégalement détenus dans la Seconde prison de Shenyang city

    Nous sommes des dizaines de pratiquants du Falun Gong persécutés par le Parti communiste Chinois (PCC), et sommes actuellement "illégalement détenus1" dans la Seconde Prison de la Province du Liaoning. Je vous prie de prêter attention à la persécution dont nous sommes victimes et la brutale négation de nos droits humains durant ces sept années écoulées et entendre notre appel à l’aide.
  • La persécution a déchiré ma famille

    Au lieu d'accepter mon appel, le PCC m'a illégalement arrêté. La police m'a forcé à m'asseoir sur le sol de ciment glacé avec les jambes écartées, pendant sept heures. Plus tard, j'ai été escorté de retour à Guiyang, où la persécution a continué. La police m'a continûment interrogé depuis tôt le matin jusqu’au matin le jour suivant. Ensuite, j'ai été détenu pendant onze jours. Les conditions dans le centre de détention étaient misérables.
  • Lettre d’appel au Haut Commissaire aux réfugiés des Nations Unies – La communauté internationale doit devenir consciente de l’infiltration et de la tromperie du Parti communiste Chinois dans le monde entier

    "J’ai reçu récemment une lettre d’un agent de l’immigration de l’ambassade canadienne en Thaïlande dans laquelle j’étais informé que ma demande de transfert au Canada était rejetée. Ce qui suit sont les raisons pour lesquelles je vous contacte à présent. Cette information est vitale pour nombre de ceux qui font des demandes aux Nations Unies et pour d’autres...
  • Mes amis ont changé d’attitude

    Après que la persécution du Falun Gong ait commencée en 1999, mon mari était souvent appelé pour une « discussion » par son superviseur, qui combinait des menaces avec des tentatives de le convaincre de m'empêcher de pratiquer Falun Dafa. A l' époque son ami était un cadre d’un niveau provincial qui craignait que mon mari soit puni par son unité de travail. Toute sa famille venait chez nous pour faire sur moi le « travail idéologique », me demandant de renoncer au Falun Dafa ne serait-ce que pour mon mari et mon enfant. Je voulais leur clarifier les faits mais ils ne me laissaient simplement pas ouvrir la bouche, faisant des remarques sans fondement et disant que je ne semblais pas normale. Tout ce qu’ils disaient imitait la propagande diffamatoire des diffusions télévisées qui calomniaient Dafa et les disciples de Dafa...
  • La confession d’un policier du gisement pétrolier de Shengli

    "La véritable situation en chine la voici : l’argent des contribuables est volé par le gang puissant et corrompu des fonctionnaires. L’argent est utilisé par tous les niveaux de fonctionnaires pour créer de fausses images et établir des systèmes au sein de l’armée, de la police et des organisations d’agents spéciaux pour assassiner et réprimer des gens afin de maintenir le PCC au pouvoir, et acheter le soutien d’autres pays pour couvrir leurs crimes de génocide. Le PCC est en fait une organisation de corruption, de meurtre et de tromperie."
  • Allemagne: Un ancien employé de Volkswagen, de Changchun en Chine, écrit au Directeur de la maison mère en Allemagne

    De 2000 à 2003 au moins dix pratiquants du Falun Gong en Chine ont été licenciés par FAW-Volskwagen Co. Ltd parce qu’ils pratiquent le Falun Gong. Le siège social de la compagnie qui se trouve en Allemagne garde le silence sur cette injustice. Un ancien ingénieur de FAW-VW de Changchun a écrit au Président M. Prischetsrieder. Voici une traduction de la lettre ...
  • La persécution de deux personnes handicapées et de leur jeune fils.

    Zou Cairong, âgé de quarante quatre ans vient de Jiamusi, province de Heilongjiang. Elle est handicapée par la polio. Après avoir commencé à pratiquer Falun Gong en 1995, elle a pu marcher sans canne, et ses autres maladies ont été, de même, guéries. Son mari est moitié aveugle, mais lui et leur fils ont aussi commencé à cultiver Falun Gong. Depuis que le Parti communiste chinois a lancé la persécution en juillet 1999, Mme Zou, son époux partiellement voyant et leur fils de neuf ans ont aussi été persécutés.
  • Persécution de Wang Shuijiao, pratiquante de Falun Dafa

    Mme Wang Shuijiao, 53 ans, et son mari, qui est aussi pratiquant, sont allés dans la Commune de Caoshan pour distribuer de la documentation clarifiant les faits (Ndt : sur la persécution) le 23 novembre 2001, mais ils ont été dénoncés à la police. Yin Xiaofeng, un agent de la police locale, a amené Mme Wang au poste de police où six personnes l’ont battue. Le lendemain, Yin Xiaofeng a essayé de forcer Mme Wang à révéler la provenance des documents. Elle a refusé et il l’a battue jusqu’à ce que son corps soit couvert d’ecchymoses. Mme Wang a été plus tard envoyée dans un centre de détention du comté et elle y a été détenue durant deux mois. Son mari a du payer 11,000 yuans aux autorités avant qu’elle ne soit relâchée.
  • En mémoire de M. Zhang Yanchao, pratiquant de Dafa persécuté à mort à 30 ans

    M. Yang Yanchao, 30 ans, vivait dans le village ouest de Huangzhen, ville de Lalin, Wuchan City, dans la province du Heilongjiang. Le 10 avril 2002, M. Zhang a été illégalement arrêté par des policiers du commissariat de police du village de Hongqi alors qu’il retournait chez lui de Shuangcheng. Il a perdu contact avec sa famille. Le 30 avril, lorsque sa fille a pu le revoir de nouveau, il était déjà mort.
  • La reconnaissance du mari d’une pratiquante envers l'Enseignant de Dafa

    "En février 2003, quand ma femme est partie demander justice pour Dafa à Pékin, je l’en ai empêchée et j’ai déchiré la photo du Maître dans le livre Zhuan Falun. Un mois plus tard, je suis tombé subitement malade d’une maladie inconnue et mystérieuse. Je ne pouvais ni manger ni boire ; il était pénible de supporter cette douleur. J’ai pensé que j’avais un cancer. Finalement, après avoir consulté plusieurs hôpitaux, on m’a diagnostiqué une laryngite. J’ai dépensé beaucoup d’argent pour des injections et des médicaments, mais rien ne marchait ....
  • Mes expériences de persécution en prison

    je suis un pratiquant de Falun Dafa qui habite Fushun City, Chine. En juillet 1999, tous les journaux ont commencé à diffamer Falun Dafa et Maitre Li. En octobre lorsque je suis allé à Beijing demander justice pour Falun Dafa et clarifier les faits, j'ai été arrêté illégalement et envoyé au centre de détention Dashagou à Qingyuan. Le soir, le directeur a demandé à deux détenus d' attacher les cordons d'un générateur de courant autour de mes poignets, et alors ils ont démarré la machine pour me torturer avec du haut-voltage. Ensuite ils ont attaché les cordons à mes chevilles et ils m'ont électrocuté. Mon corps entier s'est contorsionné et je suis tombé sur le sol, mais les détenus m'ont relevé et ils ont continué à me torturer.
  • J’ai été torturée avec des drogues toxiques au Camp de travail forcé de Shayang dans la province du Hubei

    La première fois que j’ai été détenue dans le Camp de travail forcé de Shayang, j’étais dans la Neuvième division du camp des femmes. Aux alentours de mai et juin 2001, les gardes ont donné des injections forcées aux pratiquants prétendant les "protéger de la fièvre typhoïde. " Les gardes ont recruté quelques voyous qui attendaient dans un véhicule de police. Quiconque ne se soumettait pas était emmené dans le véhicule à destination d’un autre endroit. Cependant, les prisonniers qui nous surveillaient n’ont pas reçu d’injections, ce qui montre que l’intention des gardes n’était pas celle qu’ils annonçaient.
  • Deux courtes histoires témoignant de l’étonnante puissance de Falun Dafa

    Lors d’un dîner en compagnie d’une de mes amies, je lui ai dit que le parti communiste chinois prélevait les organes des pratiquants du Falun Gong alors qu’ils étaient encore en vie. Après qu’elle ait écouté mon récit, elle m’a dit avec des larmes dans les yeux, « Comment arrives-tu à parler de choses d’une telle atrocité ? »