Dernières nouvelles, Témoignages individuels, Divers

  • Une famille entière de Pratiquants de Dafa a été envoyée dans le Camp de Travaux Forcés de la Province de Sichuan

    En novembre 2002, Chen Zhirong fut injustement condamné à 4 ans de travaux forcés, et envoyés au Camp de Travaux forcés de la Mécanique de Yaan dans la Province de Sichuan. Depuis on ignore sa situation. Selon une information obtenue en septembre 2003, Chen était toujours détenu, mais il ne faisait aucun travail. Quelques « collaborateurs » l’avaient torturé psychologiquement et avait essayé de lui faire subir le lavage de cerveau.La femme de Chen Zhirong a été illégalement condamnée à deux ans de travaux forcés dans le camp de Lanmu et fut libérée en août 2003. Leur fils, malade depuis son plus jeune age, est aussi mentalement handicapé. L’école élémentaire l’a renvoyé de la classe. Il a aujourd’hui 20 ans, il ne peut toujours pas s’occuper de lui. Il a été condamné à deux ans de travaux forcés dans le camp de Xinhua à Sichuan, même une personne handicapée n’a pas échappé à la persécution.
  • Témoigner pour l’histoire : Une pratique collective le 18 juin 2000 à Daqing, province du Heilongjiang

    Après avoir fini les exercices debout, une pratiquante dans la rangée de devant a déployé une bannière avec écrit « Falun Dafa est Bon ». Un groupe de policiers s’est précipité pour attraper la bannière, mais elle la tenait très fermement et ne la lâchait pas. À ce moment la police l’a sévèrement battue, lui cassant plusieurs os. Un autre pratiquant qui était venu plus tôt nous a dit que deux autres pratiquants avaient ouvert des bannières avant elle, mais avaient déjà été emmenés par la police. Nous sommes venus pour protéger nos pratiquants et les bannières, et les avons reprises à la police en lui disant que Falun Dafa était bon et qu’ils ne pouvaient pas battre les gens. Quand je me rappelle de ce moment, les larmes me viennent encore aux yeux. La police était stupéfaite par la droiture des pratiquants et s’est retirée. À ce point quelques pratiquants se sont avancés à l'avant et ont ouvert la bannière à nouveau et le reste des pratiquants s’est réaligné pour continuer les exercices.
  • Yoko Kaneko se rappelle les 548 jours qui ont suivi son enlèvement par les suppôts de Jiang Zemin et Son Régime, Partie 3

    Après la première manifestation du SRAS en Chine, quelques-uns des pratiquants autour de moi ont été progressivement libérés à la fin de 2003, mais j'étais encore emprisonnée. J'ai demandé à mes ravisseurs pourquoi je n'étais pas libérée, mais ils ne me répondaient pas. Ils ne pouvaient pas me torturer, mais ne pouvaient pas me libérer non plus parce qu'ils avaient peur que je raconte aux gens ce qui s'était passé pendant mon emprisonnement.
  • En mémoire de Liu Chengjun, tué pour avoir intercepté les programmes télévisés en Chine afin de diffuser la Vérité à propos du Falun Gong

    "Je ne peux toujours pas croire qu’une si jeune vie a été torturée à mort. Cette tragédie ne peut que permettre aux gens de voir plus clairement la vraie nature de ce régime pervers. Par sa violence il causera sa propre destruction ! Je crois fermement qu’un jour, l’histoire reviendra sur cette page d’aujourd’hui. D’ici là, les gens reconsidéreront chaque chose qui s’est passée et se rappelleront ce nom — Liu Chengjun."
  • Yoko Kaneko se souvient des 548 jours suivant son Enlèvement Par les suppôts de Jiang Zemin et Son Régime (Partie 2)

    L'Hôpital Tiantanghe est l'hôpital désigné pour la Section d’Expédition du Camp de travail Forcé pour Femmes de Beijing. La plupart des détenus qui ne sont pas consommateurs de drogue sont pratiquants de Falun Gong. Beaucoup de ces consommateurs de drogue souffrent de maladies contagieuses comme le SIDA, les maladies de foie ou la tuberculose pulmonaire. Cependant, tous les détenus doivent vivre ensemble, et les contagieux ne sont pas isolés. Les conditions sont très mauvaises et la police surveille de prés les pratiquants de Falun Gong. Ils ne leur permettent pas de parler entre eux, et sont surveillés par les criminels toxicomanes.
  • Les téléphones cellulaires de tous les policiers ont sonné presque au même moment pendant une réunion portant sur la persécution du Falun Gong

    Un jour au mois de décembre, les policiers du Département de Police de Shulan (Province de Jilin) ont tenu une réunion afin de discuter la question de la persécution du Falun Gong. Soudain, tous les téléphones cellulaires dans la salle de réunion ont sonné presque en même temps. Les policiers ont regardé leurs téléphones. C’était des appels provenant tous de pratiquants de Falun Gong outremer. L’organisateur de la réunion était extrêmement effrayé et a ordonné aux policiers d’éteindre immédiatement leurs téléphones cellulaires. L’action coordonnée des pratiquants outremer a terrifié la police. Ils craignent vraiment que les faits criminels de leur persécution soient exposés au public.
  • Témoignage tardif - Mme. Wang Qiuxia a été battue à mort dans le camp de travaux forcés de la ville de Dalian

    "De la fenêtre de la cellule, j'ai à plusieurs reprises vu des personnes sortir de l'entrepôt. Après qu'ils aient enlevé leur sueur avec de l'eau, ils retournaient pour continuer les coups. Ceci a continué jusqu'à ce que la pratiquante de Dafa Wang Qiuxia soit morte. Duan, le chef de la cellule où j'étais détenu, est revenu et a dit, "Wang ne peut pas respirer ! Ils lui font la respiration artificielle. Quelqu'un est allé rapporter ce qui s'est produit." Alors j'ai vu le chef de division, dont le nom de famille est Ma, arriver. Après qu'il ait jeté un coup d'oeil à l'intérieur de l'entrepôt, il est parti à la hâte. Un court moment plus tard, Ma a amené le docteur du camp de travail (un homme d’environ 40 ans), et ils ont pris de l'oxygène à l'entrepôt. Peu après, j'ai vu que plusieurs personnes portaient mme. Wang dehors. J'ai vu que les jambes de mme. Wang étaient noires et bleues."
  • Yoko Kaneko se rappelle les 548 jours qui ont suivi son enlèvement par les complices de Jiang et son régime , 1ère partie.

    Le 24 mai 2002, deux pratiquantes de Falun Gong et moi-même sommes parties du Japon pour aller faire appel Place Tienanmen à Beijing. Nous avons été arrêtées, vers 11h du matin en allant là-bas, alors que nous distribuions des documents sur la vérité à propos du Falun Gong aux gens dans la rue et dans une zone résidentielle. La police a emmené les deux citoyennes japonaises ce soir là et parce que je suis chinoise, ils m’ont enfermée seule sous la surveillance de trois policiers dans un sous-sol...
  • Un pauvre villageois recouvre la santé en pratiquant le Falun Gong, puis est torturé à mort au centre de détention de Weiyuan

    Quand Zhang Congming quitta le centre de détention, il ne pouvait plus bouger ni marcher normalement. Il avait constamment mal au ventre et des élancements dans les jambes, il y avait du sang dans son urine et dans ses matières fécales et il toussait et vomissait du sang suite à de graves lésions internes causées par les coups des gardiens et des détenus criminels . La famille de Zhang étant très pauvre Zhang a dû endurer la souffrance sans aucun traitement médical. Sa santé a continué à se détériorer et le 11 août 2003, il est mort dans une totale agonie. Les personnes hors-la-loi du gouvernement de la ville de Gaoshi ont donné à sa famille 300 yuan comme dessous de table pour leur silence. Un honnête fermier qui croyait en Vérité, Compassion, Tolérance a été brutalement assassiné par des fonctionnaires qui ont suivi le régime de Jiang. Loin d’être poursuivis, les persécuteurs n’ont pas reconnu leur culpabilité dans la mort de Zhang. Cela s’est passé pendant la période que Jiang Zemin (l’ancien président de la Chine) prétend être « La meilleure époque des Droits de l’Homme en Chine ! » Nous appelons toutes les personnes bienveillantes à prendre acte de cette cruauté en soutenant la droiture et aider à punir les meurtriers.
  • Un pratiquant de Falun Gong de Hong Kong écrit au Conseil Législatif pour demander de l’aide pour sa soeur arrêtée à la douane de Luohu à Shenzhen

    Après de nombreuses investigations, j’ai appris que ma soeur était détenue dans un centre de rééducation. J’ai téléphoné plusieurs fois au centre et me suis renseigné su la date de sa libération. Un directeur m’a dit que ma soeur était une « personne clé ». Une femme ordinaire peut-elle être considérée comme une « personne clé » ? Un tel mensonge est ridicule et lamentable. Je suis très inquiet sur le sort de ma soeur.
  • Le Docteur Lin Yanqing Endure de Grandes Souffrances Pour Avoir eu le Courage de Faire Appel pour le Falun Gong

    Déterminé à aller à Pékin pour dire la vérité au sujet du Falun Dafa, le Docteur Lin a suivi les rails jusqu'à Pékin. C'était une soirée glaciale de janvier, le mois le plus froid dans le nord est de la Chine, qu'il a commencé son long trajet à pieds . [Note: La distance entre Harbin et Pékin est approximativement de 1000 kilomètres. On ne sait pas au juste où le Docteur Lin s'est échappé du train.] Il a marché sans arrêt de minuit jusqu'à l'aube, le froid lui causant des engelures sur les mains, le visage et les oreilles. Lorsqu'il est finalement arrivé chez ses beaux parents à Pékin, ils l'ont immédiatement enmené au Département chrirurgie de l'hôpital affilié à la compagnie ferroviaire de construction de Pékin. Les officiers de polices réussirent à suivre sa piste jusqu’à l'hôpital, mais ils décidèrent de retarder temporairement leurs plans de persécution, voyant que le Docteur Lin avait perdu sept doigts suite au gel.
  • Les fonctionnaires de la ville de Yingkou emploient des personnes prétendant être des pratiquants pour augmenter le nombre d’assistants dans leurs classes de lavage de cerveau

    Les non pratiquants ont été chacun payés de 1000 à 1200 yuans pour leur participation, et on leur a appris quel langage tenir pour tromper les pratiquants. Sans savoir la vérité, ces personnes ont été empoisonnées par leur poursuite d’un gain insignifiant. Le personnel du « bureau 610 » de Yingkou projette de continuer à tenir les classes de lavage de cerveau après la nouvelle année.
  • Un fonctionnaire du Consulat Chinois jugé par contumace dans un procès pour diffamation

    M. Chipkar a dit que les attaques écrites par M. Pan contre lui et ses croyances offrent une ressemblance troublante avec la propagande entreprise par l’état en Chine. "Ma belle-mère a été arrêtée, électrocutée et battue par la police en Chine jusqu’à devenir aveugle et sourde, simplement parce qu’elle s’est opposée pacifiquement à la persécution orchestrée par Jiang Zemin," a dit M. Chipkar.
  • Ce que je sais au sujet de la mort du pratiquant de Dafa Mr. Wei Laihe dans la Ville de Tangshan.

    Depuis le 20 Juillet 1999, Wei Laihe a été détenu plusieurs fois parce qu’il continuait sa pratique de Falun Gong. Je me rappelle encore ce qui est arrivé un matin du printemps 2000. Après que Wei Laihe fut détenu depuis quinze jours à son unité de travail, trois personnes l’ont poussé dans un véhicule de police pour retourner chez lui, et lui ont demandé d’aller chercher 400 yuan [ 500 yuan est le salaire moyen d’un ouvrier en Chine] afin de leur payer les « frais de séjour ».Sa famille ne disposait pas de cet argent à l'époque et durent emprunter à un voisin pour le donner à la police. Wei Laihe fut envoyé au Centre de Détention du District de Hexi et gardé là pendant quinze jours pour ne pas avoir écrit une « Déclaration de Garantie » déclarant qu'il renonçait à pratiquer.
  • Plus de 800 pratiquants de Falun Gong ont été arrêtés et persécutés dans une lointaine région de Mongolie Intérieure

    Certains pratiquants sont enchaînés. La police les menotte avec des chaînes pendant des jours de sorte qu’ils ne puissent pas se tenir debout. Puis la police leur fait porter des sacs de farine de plus de 50 kilos et les forcent à aller et venir dans le couloir. Même les femmes dans leur cinquantaine ne sont pas épargnées. Certains pratiquants sont suspendus par leurs poignets menottés. La police les choque alors avec des bâtons électriques des heures durant pendant plusieurs jours consécutifs. D’autres sont menottés et forcés à se tenir leur tête en s’accroupissant au sol. Si les pratiquants bougent ne serait-ce qu’un petit peu, la police et les détenus les battent. Si un pratiquant est battu et perd conscience, la police verse sur lui de l’eau froide pour le ranimer. Ils sont forcés de rester dans la position accroupie pendant plusieurs jours. En janvier 2003, une pratiquante a été battue et sérieusement blessée. Elle est morte le jour où elle a été envoyée à l’hôpital. Lorsque quelqu’un a demandé à la police pourquoi ils ne se conformaient pas aux lois en traitant les pratiquants de Falun Gong, ils ont répliqué qu’ils avaient reçu des ordres du gouvernement central que le Falun Gong faisait exception.