Nouvelles de Chine, 4940 morts confirmées, Dernières nouvelles, Témoignages individuels, Révéler la persécution, Bureau 610, Mise en scène tragique : l'épisode de l'auto-immolation, Camps de la mort et trafic d'organes, Autres

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Eléments d'enquête | Voix de justice - soutiens | Couverture des médias | Manifestations pacifiques - Forums - Débats | CIPFG | Documents de référence | Opinions et commentaires | Rapports d'enquête | Révélations et Témoignages | Conférences de presse - Déclarations | Enquêtes indépendantes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Le pratiquant Jiang Yanqing de Shenyang est décédé suite aux harcèlements intenses de la police

    M. Jiang, âgé de 50 ans, était employé à l’entreprise de construction numéro deux de la ville de Shenyang. En 2000 il s’est rendu à Beijing pour faire appel pour le Falun Gong et a été arrêté. Pendant les deux années qui ont suivi, 2000 et 2001, il a été détenu dans trois différents camps de travail forcé où il a souffert des tortures extrêmes . En Mai 2004, il est brutalement tombé dans le coma et n’a jamais repris conscience. Il est mort vingt jours plus tard.
  • Le jeune Tian Zhiyang perd son père et son grand-père dans la persécution

    M. Tian Junlong était de Yitong dans la province de Jilin. Il a été torturé jusqu’au seuil de la mort aux camps de travaux forcés de Weizigou et de Chaoyanggo M. Tian est décédé de ses blessures quelques jours après son retour à la maison. En raison de la mort de son fils, son père est également décédé, bouleversé par le chagrin et la colère.
  • Le pratiquant de Falun Gong Liu Ziwei, originaire de la ville de Hunjiang, dans la Province de Jilin, est mort sous la torture au camp de travaux forcés de Chaoyanggou, à Changchun

    Le 12 octobre 2004, le pratiquant de Falun Gong Liu Ziwei originaire de la ville de Hunjiang, dans la Province de Jilin a été envoyé au camp de travaux forcés de Chaoyanggou à Changchun. Il avait entamé une grève de la faim qu’il a maintenue durant toute sa détention et il y a subi des tortures inhumaines parce qu’il est resté ferme dans ses convictions. Le 13 décembre 2004, Liu Ziwei est mort sous la torture. Voici quelques détails sur ce qui lui est arrivé:
  • Des immeubles d’appartements à Shanghai ont été transformés en prisons virtuelles pour bloquer la distribution des documents d’information du Falun Dafa

    Dans le cadre de leur effort pour persécuter les pratiquants de Falun Dafa, des fonctionnaires de Shanghai transforment des immeubles d’appartements résidentiels en “prisons” pour bloquer la distribution des documents clarifiant la vérité à propos de Falun Dafa. Suivant la politique de répression des pratiquants de Falun Dafa, de façon encore plus détournée tout en essayant de dissimuler les faits de la persécution au monde extérieur, ces fonctionnaires rendent complices des gens innocents tels que des portiers, des membres du parti communiste retraités, des opérateurs d’ascenseur, des concierges et du personnel de maintenance.
  • La police a arrêté des pratiquants du Falun Gong sur la place Tiananmen parce qu’ils brandissaient des bannières ; un occidental a été agressé parce qu’il prenait des photos

    Les pratiquants du Falun Gong avaient cousu une bande de tissu jaune à l’intérieur de leurs manteaux. Ils ont ouvert leurs manteaux pour montrer la bande jaune avec les mots "Falun Dafa est bon". Les policiers ont accouru, attrapé les pratiquants et ont commencé à les frapper. Leurs visages saignaient abondamment. Les policiers leur ont couvert la tête avec leurs manteaux et les ont fait rentrer dans des voitures de police. Un témoin a dit qu’un occidental qui mesurait plus d’1m80 a pris des photos des policiers qui frappaient les pratiquants. Un officier de police l’a immédiatement frappé à la tête. Du sang a jailli de sa bouche et il a lâché son appareil photo.
  • Au sein de la dévastation causée par les ouragans, la maison d’un avocat au bon cœur reste intacte

    "Ils m’ont dit que presque tous les autres mobiles homes du coin avaient été gravement endommagés, et certains avaient été complètement détruits par les quatre ouragans. Cependant, leur maison n’avait pas été touchée ! Il a toujours respecté ma pratique du Falun Gong. Après avoir entendu parler de la persécution, il nous a offert gratuitement ses conseils juridiques s’il y avait quoi que ce soit qui pouvait nous aider. Nous n’avons pas vraiment pu accepter son offre parce qu’il vivait loin des grandes villes. Mais son cœur était avec nous. Et il semble que son petit mobile home, simple mais bien-aimé, a été sauvé grâce à cela. Le bien est véritablement récompensé !"
  • M. Wei Xu, pratiquant de Dafa de la province de Gansu est mort en résultat de la persécution

    M. Wei Xu avait 66 ans, il fut illégalement détenu dans un Centre de désintoxication de la région administrative de Longxi pendant plus d’un an. Il fut relâché en 2004, mais en résultat de la torture physique et mentale qu’il avait endurée, son problème de pression sanguine se manifesta de nouveau ainsi qu’une leucémie qui avait été guérie auparavant par sa pratique du Falun Gong. Une fois relâché, M. Wei était dans un état mental confus. A cause des fréquents harcèlements de la police locale, sa condition empira et il décéda à la fin d’octobre 2004.
  • Rapport retardé - Quatre pratiquants du Falun Gong des provinces de Hubei, Hebei et Henan sont morts des suites de la persécution

    Luo Jiazhi, âgée de 62 ans est décédée en juin 2002 après avoir terriblement souffert de la persécution. Zhu Fengzhao, âgé de 69 ans est mort le 14 novembre 2004 après avoir subi la torture lors d'une détention de deux mois. Lu Shenghua est morte le 24 avril 2003 suite à la torture puis au harcèlement constant de la police. Liu Yucai est mort des suites de la persécution le 16 janvier 2004.
  • En souvenir de mon frère cadet, Liu Chengjun

    Le 21 octobre 2003, la prison de Jilin a téléphoné et m’a dit que Liu Chengjun allait mourir et nous a demandé d’aller le voir pour une dernière fois. Après avoir subi d’innombrables atrocités, Chengjun était au seuil de la mort et respirait à peine. Il était maigre comme un squelette. Son corps était couvert de blessures. Il avait de la difficulté à parler et pouvait à peine murmurer un son. Je lui ai pris la main et je lui ai dit : " Chengjun ta sœur est ici. Je vais faire une demande de remise en liberté sur parole pour soins médicaux pour toi. Tu reviendras bientôt à la maison. " Il a fait un très grand effort pour dire " Ne … sois… …attachée…à…rien. » Je n'ai pas pu m’empêcher de pleurer.
  • Un pratiquant de 62 ans de la province de Hebei, Ma Jinfeng, est mort après des années d'abus et de harcèlement

    M. Ma Jinfeng, 62 ans, de la ville de Juyang, ville de Sanhe, province de Hebei, a commencé à pratiquer Falun Dafa en novembre 2000. Pendant les 4 dernières années, il a été soumis à une persécution continuelle. Sous cette énorme pression, il est mort le 20 septembre 2004. La police locale est même venue chez lui le lendemain de sa mort pour essayer de le harceler encore.
  • Un pratiquant de 62 ans de la province de Hebei, Ma Jinfeng, est mort après des années d'abus et de harcèlement

    M. Ma Jinfeng, 62 ans, de la ville de Juyang, ville de Sanhe, province de Hebei, a commencé à pratiquer Falun Dafa en novembre 2000. Pendant les 4 dernières années, il a été soumis à une persécution continuelle. Sous cette énorme pression, il est mort le 20 septembre 2004. La police locale même est venue chez lui pour essayer encore de le harceler le lendemain de sa mort.
  • La méthode de torture employée pour persécuter les pratiquants dans le camp de travail de Chaoyanggou, province de Jilin

    Le camp de travail de Chaoyanggou adopte des moyens sans scrupule pour brutalement attaquer les pratiquants de Falun Dafa qui refusent de renoncer à leur croyance. Les gardiens de prison poussent la tête du pratiquant entre les barreaux de l’échelle des couchettes et le forcent à étreindre l'échelle, ils lui attachent étroitement les bras à l’échelle. Alors plusieurs gardiens battent le pratiquant avec des manches de pioche, du cou jusqu’aux chevilles, et ce, jusqu'à ce qu'ils soient fatigués.
  • Souvenirs de mon ami Li Wensheng : Une lettre aux habitants de la ville natale de Wensheng

    Cela fait un an que M. Li Wensheng est mort. Sa voix et son image sont encore dans mon cœur. En tant qu’ami de Wensheng, j’écris cette lettre pour le garder dans nos mémoires, pour parler en son nom et pour partager ses idées et ses sentiments avec les habitants de sa ville d’origine.
  • M. Feng Min fonctionnaire du parti est mort des suites de la persécution

    Après que la persécution du Falun Gong ait commencé le 20 juillet 1999, Chang Jianguo, un officier de police du commissariat de Baliqiao à Tianjin, a harcelé à de nombreuses reprises M. Feng. M. Feng n'a pas pu supporter les menaces et la persécution dont il était l’objet et a été obligé de déménager.Plus tard, les policiers se sont encore présentés à son domicile pour le harceler. Un jour où les policiers lui avaient rendu visite, M. Feng s’est écroulé au sol le même après-midi. Il ne s’est jamais relevé et est décédé le jour suivant.
  • "Pendu dans la position de l’avion" : Une méthode de torture utilisée sur les pratiquants du Falun Gong au camp de travail forcé de Chaoyanggou, province de Jilin (illustrations)

    " Pendu dans la position de l’avion" est une méthode de torture utilisé sur les pratiquants qui refusent de renoncer à Falun Dafa. Les mains des pratiquants sont tordues derrière leur dos et fermement attachées. La corde qui leur lie les mains ensembles est accrochée à la partie supérieure d’un lit superposé, ce qui fait que leurs pieds touchent à peine le sol et que tout leur poids repose sur leurs poignets. Leurs vêtements sont remontés pour recouvrir leurs visages. Les policiers peuvent alors utiliser des matraques électriques pour les électrocuter sous les aisselles. Chaque choc électrique provoque un spasme et une douleur intense.