Nouvelles de Chine, 4940 morts confirmées, Dernières nouvelles, Témoignages individuels, Révéler la persécution, Bureau 610, Mise en scène tragique : l'épisode de l'auto-immolation, Camps de la mort et trafic d'organes, Autres

Torture | Arrestations, enlèvements, disparitions | Lavages de cerveau | Détentions illégales et emprisonnements | Extorsions | Persécutions dans la société | Dans les camps de travail | Témoignages individuels | Accusations fabriquées | Hôpitaux psychiatriques | condamnations illégales | Usage de faux et mensonges | Violer la loi | Procès secrets | avortements forcés | Traffic d'organes | Eléments d'enquête | Voix de justice - soutiens | Couverture des médias | Manifestations pacifiques - Forums - Débats | CIPFG | Documents de référence | Opinions et commentaires | Rapports d'enquête | Révélations et Témoignages | Conférences de presse - Déclarations | Enquêtes indépendantes | Travail forcé | Persécution hors de Chine

  • Monsieur Wu Lei pratiquant de la ville de Shijiazhuang a été illégalement arrêté et détenu en rapport au procès de Wang bo et de ses parents.

    Il a été dit que le gouvernement communiste a envoyé des forces de police de la ville de Shijiazhuang et des zones environnantes pour arrêter tous les pratiquants de Falun Gong qui essaieraient d’assister au procès. Le juge a menti et dit aux avocats : « Nous avons retardé l’ouverture du procès parce que nous voulons attendre les personnes qui viennent assister au procès. » En dépit de protestations énergiques de la part des avocats, seulement huit personnes ont été autorisées à s’asseoir dans la section réservée au public, à la cour. Monsieur Wu Lei un pratiquant d'une vingtaine d'année qui travaille à Shijiazhuang a été arrêté par la police parce qu’il prenait des photos.
  • Brutalité de la police à la Prison pour femmes de la province du Liaoning

    A la prison pour femmes de la province du Liaoning, le chef de la division N°7, Li Ying, le chef politique Wang LIan, le garde Guo Xiaorui et quelques autres ont ordonné aux prisonniers de surveiller les pratiquantes de Dafa 24h sur 24 pour les empêcher de parler. Ils les ont suspendues chaque jour et leur ont fait d'horribles choses comme introduire un liquide pimenté dans leurs parties intimes. Pendant l'hiver, ils ne laissaient les pratiquantes porter rien d'autre que leurs sous-vêtements, elles devaient rester nu-pieds et étaient privées de sommeil. Ils ont mis des clips de fer aux seins d'une pratiquante, versé de l'urine sur les têtes, les maltraitant chaque jour, et restreint l'usage des toilettes. Des pratiquantes, Zhang Shuxia est celle qui a le plus souffert.
  • Communiqué de presse : Matas/Kilgour disent que la nouvelle loi sur les organes en Chine doit être appliquée

    Dans une déclaration, publiée aujourd'hui, David Matas et David Kilgour ont réagi en demandant au gouvernement de la Chine d’appliquer leur nouvelle loi sur les organes. Le gouvernement de la Chine a adoptée une nouvelle loi, vendredi le 6 avril laquelle devait entrer en vigueur le 1er mai. La nouvelle loi interdit la vente d’organes humains pour le profit.
  • Mme Su Xiying de la ville de Chongqing est morte des suites de la persécution

    Mme Su Xijying, pratiquante de Falun Dafa, 53 ans, était une employée de l’Usine de Changan (une grosse entreprise d’Etat) de la ville de Chongqing. Elle a été persécutée à plusieurs reprises pour sa ferme croyance en Falun Dafa. Elle était en bonne santé mais a été torturée au point où ses vertèbres lombaires n'étaient plus alignées. Elle ne pouvait plus marcher et est morte le 18 avril 2007.
  • M. Ma Qinghai soumis à une torture poussée dans la Prison de Chifeng dans la région autonome de Mongolie intérieure

    Le 31 octobre 2005, le pratiquant de Falun Dafa M. Ma Qinghai a été arrêté par Gong Chuanxing, un officier de la Division de la Sécurité d’Etat en Mongolie intérieure. En décembre 2005, M. Ma a été condamné à neuf ans de prison et envoyé à la prison de Chifeng.
  • Deux cas de pratiquants disparus

    M. Yan Xuejun et sa femme du district de Nankai dans l'agglomération de Tianjin ont été enlevés une nuit en 2002. Leur maison a été mise à sac. Depuis lors personne n'a plus eu de leurs nouvelles. Leurs familles se sont informées au département de la police locale, mais les fonctionnaires y ont répondu qu'ils ne savaient rien à leur sujet. Aujourd'hui le PCC vend des organes humains. Leurs proches, leurs amis et les autres pratiquants s'inquiètent à leur sujet.
  • Connaître la vérité et être sauvé

    Il y a plusieurs jours, deux de mes collègues, qui ont appris la vérité à propos du Falun Gong, m'ont annoncé leur intention de quitter le parti communiste chinois et ses organismes affiliés, ils m'ont dit que le chef de leur unité de travail avait parlé avec eux du plan pour les nommer membres de l'équipe de réservistes du PCC. Ils ont refusé immédiatement ...
  • Une toxicomane qui traite les pratiquants avec bonté voit ses cheveux repousser

    Après avoir entendu que la fille d'un parent avait été emprisonnée, il y a deux ans pour consommation de drogues, je lui ai donné une copie d'un article de clarification de la vérité : « Une lettre aux résidents de Pékin ». Quand elle a lu la lettre, elle s'est écriée avec surprise. « J'ai été invitée à faire la même chose à un pratiquant de Falun Gong quand j'étais en prison. Tout ce qu’on relate ici est vrai ! Pourquoi est-ce que ceci a encore lieu ? N'est-ce pas honteux ? » Accablée par l'incident, elle nous a rapporté son expérience en prison...
  • Des agents de police chassent un avocat hors du tribunal pendant le second procès de Wang Bo

    Le second procès a commencé à 8h 30 heure du matin, et a fini à environ 14h00. Six avocats de Pékin défendent ouvertement la famille de Mme Wang Bo. Pendant le procès, cependant, les agents de police ont porté de force l'un d'entre eux hors de la salle du tribunal. Après que le second procès se soit achevé, la famille de Mme Wang a été emmenée dans un fourgon de police aux vitres opaques ne laissant rien voir rien de l'extérieur. Selon les avocats, il n'y a pas eu de condamnation dans le deuxième procès et ils attendent d'autres nouvelles.
  • La grave persécution du pratiquant Monsieur Zhou Jiangang à la prison de Qinduankou, province du Hubei

    Zhou Jiangang a été placé dans l'équipe de surveillance stricte à la prison de Qinduankou. Le 25 avril 2006, Zhou Jiangang, menotté et attaché, a été forcé de se tenir face à un mur. Xiao Weihua, un fonctionnaire de la section administrative de la prison, Qin Lin, directeur adjoint de l'équipe de surveillance stricte, et d’autres membre de l’équipe ont alors ordonné aux prisonniers, Wang Zhonghuan et d'autres de frapper Zhou Jiangang par derrière avec des objets lourds. En conséquence ses sixième et septième vertèbres ont été fracturées de manière complexe. Il est resté au sol sans connaissance.
  • Mme Chuai Cuijun a été condamnée à une peine de cinq ans de prison pour avoir distribué des imprimés – Quatre membres de sa famille ont été arrêtés pour avoir fait appel à la Cour de Tangshan (Province de Hebei)

    Le 16 avril 2007, quatre membres de la famille de Mme Chuai Cuijun, pratiquante de Dafa du quartier de Qianxi, ville de Tangshan dans la Province du Hebei, accompagnés par des membres de la famille de Chen Baihe, se sont rendus à la Cour de Quanxi pour demander justice au sujet des condamnations illégales de Mme Chuai et de Mme Chen. Ils ont demandé à ce qu'elles soient libérées, mais au lieu de cela ils ont été arrêtés par l'Equipe de la Sécurité Nationale et détenus illégalement.
  • Comment le régime communiste chinois m’a forcé à être leur espion (photo)

    Après quelques jours de détention, j’ai été torturé mentalement et épuisé physiquement. Je n’ai plus pu supporter la pression qu’ils m’imposaient et j’ai signé la lettre de repentir contre ma volonté. La lettre disait que j’abandonnais volontairement la pratique du Falun Gong. Une fois que j’ai signé ils m’ont demandé d’ajouter : « Je viendrai peu importe le moment où je serai appelé et ferai tout ce qui me sera demandé. » Cette dernière ligne m’a éclairé sur leurs vraies intentions en m’enlevant : me transformer en espion à leur service...
  • La Coalition d’Investigation sur la persécution du Falun Gong en Chine (CIPFG) écrit une lettre à la Chancelière Fédérale allemande Angela Merkel

    Les derniers rapports du député canadien David Kilgour et de l’avocat des droits de l’homme David Matas ont montré que les gouvernements internationaux devraient adopter une position plus dure avec la Chine sur la question des droits de l’homme. Ils ont cumulé des preuves non seulement sur l’envergure de la persécution mais aussi sur la collecte systématique d’organes sur des milliers de pratiquants du Falun Gong vivants pour la vente à des étrangers. Aucun des dialogues avec les fonctionnaires d’autres pays n’a abordé ce sujet. Nous suspectons également que ce rapport n'est que la pointe d’un iceberg beaucoup plus sinistre
  • Les pratiquantes Zuo Li et Li Lin sont détenues à la prison pour femmes de Xi'an; leurs vies sont en danger

    En février 2004, les deux pratiquantes distribuaient des dépliants de clarification de la vérité dans la rue et ont été illégalement arrêtées. Elles ont été emmenées au centre de détention du comté de Chenggu et menottées à la fenêtre en métal pendant 24 heures par les gardes Yuan Yu et Zhang Zhigang. Les deux pratiquantes ont résisté à la persécution en faisant une grève de la faim. Elles ont été gavées, ce qui a endommagé leur œsophage. Elles ont toutes deux reçu une lourde peine du département de police de Chenggu : Mme Zuo a été condamnée à cinq ans et six mois et Mme Li a été condamnée à six ans. Elles sont emprisonnées dans la prison pour femmes de Xi'an où elles sont torturées. Quoique leurs vies soient dans un état critique, les gardes de la prison continuent à les torturer.
  • M. Yu Huaicai est mort après avoir été maltraité au camp de travaux forcés de Changlinzi, dans la ville de Harbin, province du Heilongjiang

    Au camp de travaux forcés, la famille a vu M. Yu Huaicai pour la dernière fois quatre jours avant sa mort. La bouche ouverte, il regardait fixement sa famille. Il a déplacé sa langue mais n'a pu prononcé aucun son. Il était menotté. La famille a demandé aux fonctionnaires du camp de travaux forcés, « Pourquoi le menotter quand il est déjà dans un tel état ? » Les autorités ont répondu, « C'est la règle ». Ils ont fini par enlever les menottes de M. Yu, à la demande de la famille. Les yeux de Yu Huaicai étaient enflés. Il a saisi sa chemise devant sa poitrine et a à plusieurs reprises frappé ses mains contre le mur. Il semblait en proie à une grande souffrance.