Nouvelles de Chine, 4940 morts confirmées, Dernières nouvelles, Témoignages individuels, Révéler la persécution, Bureau 610, Mise en scène tragique : l'épisode de l'auto-immolation, Camps de la mort et trafic d'organes, Autres

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  • Deux cas de pratiquants disparus

    M. Yan Xuejun et sa femme du district de Nankai dans l'agglomération de Tianjin ont été enlevés une nuit en 2002. Leur maison a été mise à sac. Depuis lors personne n'a plus eu de leurs nouvelles. Leurs familles se sont informées au département de la police locale, mais les fonctionnaires y ont répondu qu'ils ne savaient rien à leur sujet. Aujourd'hui le PCC vend des organes humains. Leurs proches, leurs amis et les autres pratiquants s'inquiètent à leur sujet.
  • Connaître la vérité et être sauvé

    Il y a plusieurs jours, deux de mes collègues, qui ont appris la vérité à propos du Falun Gong, m'ont annoncé leur intention de quitter le parti communiste chinois et ses organismes affiliés, ils m'ont dit que le chef de leur unité de travail avait parlé avec eux du plan pour les nommer membres de l'équipe de réservistes du PCC. Ils ont refusé immédiatement ...
  • Une toxicomane qui traite les pratiquants avec bonté voit ses cheveux repousser

    Après avoir entendu que la fille d'un parent avait été emprisonnée, il y a deux ans pour consommation de drogues, je lui ai donné une copie d'un article de clarification de la vérité : « Une lettre aux résidents de Pékin ». Quand elle a lu la lettre, elle s'est écriée avec surprise. « J'ai été invitée à faire la même chose à un pratiquant de Falun Gong quand j'étais en prison. Tout ce qu’on relate ici est vrai ! Pourquoi est-ce que ceci a encore lieu ? N'est-ce pas honteux ? » Accablée par l'incident, elle nous a rapporté son expérience en prison...
  • Des agents de police chassent un avocat hors du tribunal pendant le second procès de Wang Bo

    Le second procès a commencé à 8h 30 heure du matin, et a fini à environ 14h00. Six avocats de Pékin défendent ouvertement la famille de Mme Wang Bo. Pendant le procès, cependant, les agents de police ont porté de force l'un d'entre eux hors de la salle du tribunal. Après que le second procès se soit achevé, la famille de Mme Wang a été emmenée dans un fourgon de police aux vitres opaques ne laissant rien voir rien de l'extérieur. Selon les avocats, il n'y a pas eu de condamnation dans le deuxième procès et ils attendent d'autres nouvelles.
  • La grave persécution du pratiquant Monsieur Zhou Jiangang à la prison de Qinduankou, province du Hubei

    Zhou Jiangang a été placé dans l'équipe de surveillance stricte à la prison de Qinduankou. Le 25 avril 2006, Zhou Jiangang, menotté et attaché, a été forcé de se tenir face à un mur. Xiao Weihua, un fonctionnaire de la section administrative de la prison, Qin Lin, directeur adjoint de l'équipe de surveillance stricte, et d’autres membre de l’équipe ont alors ordonné aux prisonniers, Wang Zhonghuan et d'autres de frapper Zhou Jiangang par derrière avec des objets lourds. En conséquence ses sixième et septième vertèbres ont été fracturées de manière complexe. Il est resté au sol sans connaissance.
  • Mme Chuai Cuijun a été condamnée à une peine de cinq ans de prison pour avoir distribué des imprimés – Quatre membres de sa famille ont été arrêtés pour avoir fait appel à la Cour de Tangshan (Province de Hebei)

    Le 16 avril 2007, quatre membres de la famille de Mme Chuai Cuijun, pratiquante de Dafa du quartier de Qianxi, ville de Tangshan dans la Province du Hebei, accompagnés par des membres de la famille de Chen Baihe, se sont rendus à la Cour de Quanxi pour demander justice au sujet des condamnations illégales de Mme Chuai et de Mme Chen. Ils ont demandé à ce qu'elles soient libérées, mais au lieu de cela ils ont été arrêtés par l'Equipe de la Sécurité Nationale et détenus illégalement.
  • Comment le régime communiste chinois m’a forcé à être leur espion (photo)

    Après quelques jours de détention, j’ai été torturé mentalement et épuisé physiquement. Je n’ai plus pu supporter la pression qu’ils m’imposaient et j’ai signé la lettre de repentir contre ma volonté. La lettre disait que j’abandonnais volontairement la pratique du Falun Gong. Une fois que j’ai signé ils m’ont demandé d’ajouter : « Je viendrai peu importe le moment où je serai appelé et ferai tout ce qui me sera demandé. » Cette dernière ligne m’a éclairé sur leurs vraies intentions en m’enlevant : me transformer en espion à leur service...
  • La Coalition d’Investigation sur la persécution du Falun Gong en Chine (CIPFG) écrit une lettre à la Chancelière Fédérale allemande Angela Merkel

    Les derniers rapports du député canadien David Kilgour et de l’avocat des droits de l’homme David Matas ont montré que les gouvernements internationaux devraient adopter une position plus dure avec la Chine sur la question des droits de l’homme. Ils ont cumulé des preuves non seulement sur l’envergure de la persécution mais aussi sur la collecte systématique d’organes sur des milliers de pratiquants du Falun Gong vivants pour la vente à des étrangers. Aucun des dialogues avec les fonctionnaires d’autres pays n’a abordé ce sujet. Nous suspectons également que ce rapport n'est que la pointe d’un iceberg beaucoup plus sinistre
  • Les pratiquantes Zuo Li et Li Lin sont détenues à la prison pour femmes de Xi'an; leurs vies sont en danger

    En février 2004, les deux pratiquantes distribuaient des dépliants de clarification de la vérité dans la rue et ont été illégalement arrêtées. Elles ont été emmenées au centre de détention du comté de Chenggu et menottées à la fenêtre en métal pendant 24 heures par les gardes Yuan Yu et Zhang Zhigang. Les deux pratiquantes ont résisté à la persécution en faisant une grève de la faim. Elles ont été gavées, ce qui a endommagé leur œsophage. Elles ont toutes deux reçu une lourde peine du département de police de Chenggu : Mme Zuo a été condamnée à cinq ans et six mois et Mme Li a été condamnée à six ans. Elles sont emprisonnées dans la prison pour femmes de Xi'an où elles sont torturées. Quoique leurs vies soient dans un état critique, les gardes de la prison continuent à les torturer.
  • M. Yu Huaicai est mort après avoir été maltraité au camp de travaux forcés de Changlinzi, dans la ville de Harbin, province du Heilongjiang

    Au camp de travaux forcés, la famille a vu M. Yu Huaicai pour la dernière fois quatre jours avant sa mort. La bouche ouverte, il regardait fixement sa famille. Il a déplacé sa langue mais n'a pu prononcé aucun son. Il était menotté. La famille a demandé aux fonctionnaires du camp de travaux forcés, « Pourquoi le menotter quand il est déjà dans un tel état ? » Les autorités ont répondu, « C'est la règle ». Ils ont fini par enlever les menottes de M. Yu, à la demande de la famille. Les yeux de Yu Huaicai étaient enflés. Il a saisi sa chemise devant sa poitrine et a à plusieurs reprises frappé ses mains contre le mur. Il semblait en proie à une grande souffrance.
  • Ouverture du deuxième procès de Wang Bo et de sa famille; Cinq avocats défendent l’innocence de la famille, un avocat assiste au procès (Photos)

    Le deuxième procès de Wang Bo et des ses parents de l’agglomération de Shijiazhuang, dans la province du Hebei a commencé le 27 avril 2007 à 8h30 à la Cour Intermédiaire de Shijiazhuang pour se terminer à 13h 40 l’après midi. Cinq avocats, Li Heping, Li Xiongbing, Zhang Lihui, Li Shunzhang et Wu Hongwei ont défendu l’innocence de la famille Wang sur la base de la constitution chinoise qui garantit la liberté de croyance et les droits de l’homme. Ils ont fait des déclarations sous l’aspect législatif, celui du processus judiciaire et ceux appartenant aux faits légaux. Teng Biao, un sixième avocat assistait au procès.
  • Un dépliant scintille d’une vive lumière bleue

    La grande vague de démissions du Parti communiste chinois (PCC) déclenchée par les "Neuf Commentaires sur le Parti Communiste" a secoué Xiaoer. Il ne comprenait pas sa sœur quand elle en parlait, il lui a donc dit, "Tu devrais pratiquer tranquillement chez toi. Pourquoi cherches-tu des problèmes en t’impliquant dans la politique?" Immédiatement après avoir prononcé cette phrase, ses dents se sont mises à le faire souffrir. Durant la nuit, ses gencives et sa bouche se sont mises à gonfler, il lui était impossible de dormir à cause de la douleur...
  • "Nous devrions être courageux en exigeant que les autorités libèrent nos membres de famille qui pratiquent, parce qu’ils n’ont commis aucun crime."

    Je ne suis pas un pratiquant de Falun Gong mais mon épouse, Liu Xiaolian, l’est. Le 21 mars 2007, quand elle visitait la maison de son amie, elle a été illégalement arrêtée par la police. Vers 23h cette nuit là , Li Ning du commissariat de police de Xialu dans la ville de Huangshi, province de Hubei, est venu chez nous avec un groupe de policier pour confisquer mes biens . Ils ont emporté un ordinateur et quelques autres articles. Juste après qu'ils soient partis j’ai constaté qu'ils avaient également volé deux mille yuans que j'avais mis de côté pour les dépenses quotidiennes de ma famille...
  • Discours donné lors des activités de Londres en commémoration du 25 avril: "Mon expérience d'avoir été persécutée par le Parti communiste chinois"

    "Mon nom est Xinxia Jiang. Je pratique le Falun Gong depuis 1994. Le 21 juillet 1999, je suis allée à Beijing avec quelques pratiquants pour appeler le gouvernement central à lever l'interdiction sur le Falun Gong. La police nous a tous arrêtés. J'ai été renvoyée à l'école de Shanghai où je travaillais en tant que professeur des beaux-arts. J'y ai été enfermée dans une petite salle de classe et n'ai pas été autorisée à voir quiconque durant plus d'un mois. Chaque jour cinq ou six policiers m'interrogeaient tour à tour Ils m'ont privée de sommeil pendant quinze jours; me forçant à regarder des vidéos calomniant le Falun Gong. Le bureau 610 a fait pression sur mon école, les obligeant à assigner deux personnels enseignants à ma surveillance. Les professeurs n'ont pas osé désobéir aux ordres ...
  • M. Wang Jitao meurt suite à la torture

    M. Wang Jitao, 54 ans, vivait dans l'agglomération de Chengde, province du Hebei. Le 1er septembre 2003, il a été arrêté par les agents de la Sécurité d'Etat et détenu au centre de détention de Chengde. Il y a été inhumainement torturé. Il a a eu des côtes cassées sous les coups et des blessures internes à la tête. Après avoir été relâché ses fractures se sont remises mais il souffrait de constants maux de tête. Le 29 avril, le médecin a trouvé un épanchement de liquide dans son crane. Il est mort le 30 avril 2007.