Dans les camps de travail

  • Dénoncer les brutalités dans le camp de travaux forcés de Guanshan dans la province du Liaoning

    Après que le parti communiste chinois (PCC) ait commencé à persécuter le Falun Gong, le 20 juillet 1999, certains pratiquants inébranlables de la province du Liaoning ont été secrètement transférés à cet endroit, en provenance d'autres camps de travaux forcés. Les autorités ont caché ce fait et n'en ont pas informé les membres de leurs familles. Elles ont aussi puni les gardiens ou les ont envoyés dans d'autres endroits s'ils avaient laissé fuir quelque information à ce sujet. En mars 2002, le camp de travaux forcés de Shenyang Zhangshi a transféré Wang Jianmin et trois autres pratiquants à Guanshan. L'un d'entre eux a été persécuté à la mort. L'administration du camp a menti en disant qu'il s'est suicidé en se pendant dans les toilettes. En conséquence, ce cas a été considéré comme classé.
  • Mme Zhu Guilin défigurée et émaciée après deux ans et demi de torture au camp de travaux forcés de Baimalong dans la province du Hunan

    Zhu Guilin, 33 ans a été illégalement détenu plusieurs fois pour avoir pratiqué le Falun Gong et clarifié les faits [de la persécution] aux gens. Après avoir été illégalement détenue dans le camp de travaux forcés de Baimalong pendant deux ans et demi, le 8 avril sa peine était terminée, mais le camp ne l'a toujours pas libérée. Le matin du 9 avril, la mère, le frère et la belle soeur de Zhu sont allés au camp de travaux forcés Baimalong pour lui rendre visite. Mme Zhu est sortie soutenue par d'autres personnes, incapable de marcher seule. En voyant l'état de sa fille , sa mère n'a pu s’empêcher de pleurer.
  • La persécution des pratiquantes dans le camp de travaux forcés pour femmes Tuanhe de Daxing à Beijing

    Mme Zhang Shurui, 40 ans, est originaire de Changping à Beijing. Parce qu'elle est restée déterminée dans sa croyance, les gardiens l'ont choqué avec des matraques électriques. Elle a perdu connaissance suite à ces abus qui ont duré plus de dix heures. Mme Zhang a été contrainte de faire face à un mur durant plus d'un mois.
  • Des fonctionnaires admettent avoir été témoins de la persécution à mort d’environ six pratiquants du Falun Gong qui se trouvent au camp de travail de Zibo

    Selon des informations fournies par un chef d’équipe du camp de travail de Zibo, le camp de travail a mis des vêtements sur cinq ou six corps de pratiquants de Falun Dafa qui ont été persécutés à mort. Voici quelques informations sur des pratiquants qui ont été persécutés dans ce camp.
  • Le camp de travaux forcés de Baimalong, dans la ville de Zhuzhou, province du Hunan, détient la pratiquante de Falun Dafa, Mme Zhu Guilin, au delà de la limite légale

    En 2004, Mme Zhu Guilin, une pratiquante de Falun Dafa a été arrêtée et condamnée à une peine de deux ans et demi, au camp de travaux forcés de Baimalong, dans la ville du Zhuzhou. Elle a été brutalement torturée pendant sa détention. Actuellement, la soit disant « période de détention pour travaux forcés » est terminée, mais le camp de travaux forcés refuse toujours de la libérer.
  • Plus de détails à propos de la mort de M. Bai Xiaojun, un professeur d'Université, qui est décédé au Camp de Travail Forcé de Chaoyanggou (Province de Jilin) en 2003

    Nous avons précédemment rapporté le cas de M. Bai, bien que les détail à propos de sa mort aient été incomplets à ce moment là parce que les fonctionnaires du Camp de Travail Forcé de Chaoyanggou faisaient tout pour les dissimuler. Depuis, plus de détails ont émergé et nous prenons notre responsabilité afin d'exposer les crimes commis au Camp de Chaoyanggou et publié la vérité sur sa mort.
  • Les Crimes commis au camp de travaux forcés de Wangcun à Zibo dans la Province de Shandong

    Depuis que le Parti communiste chinois (PCC) a commencé à persécuter le Falun Gong le 20 juillet 1999, le camp de travaux forcés de Wangcun à Zibo a été un bastion central qui participe directement à la persécution des pratiquants de Dafa. Durant ces sept ou huit dernières années, les gardiens du camp de travaux forcés, n’ont jamais cessé de torturer brutalement les pratiquants. D’après des informations internes, à partir de février 2006, le camp de travaux forcés de Wangcun a utilisé des criminels de droit commun pour persécuter les pratiquants. Les policiers ont donné des menottes aux prisonniers et les ont incités à torturer et frapper les pratiquants autant qu’ils voulaient.
  • Passages à tabac cruels et torture à la matraque électrique au camp de travail de Gaoyang dans la province du Hebei

    Les autorités du camp lui avait coupé les cheveux extrêmement court, plus court encore que la coupe de cheveux d'un homme. Elle était timide et impatiente, observant tout le monde avec précaution et avec méfiance. Elle ne répondait à personne qui lui parlait directement. Il était évident qu'elle avait été battue et torturée. Quand elle a pris une douche, j'ai vu que son corps portait de grandes blessures. Plus tard quand nous avons fini par la connaitre mieux, elle nous a confié une partie de ses expériences de persécution au camp de travail de Gaoyang.
  • Des pratiquantes sont soumises à des analyses de sang forcées au camp de travail pour femmes de la province du Jiangxi

    Toutes les pratiquantes envoyées au camp de travaux forcés pour femmes de la province du Jiangxi, situé dans la zone de Qingyunpu, ont dû subir des tests sanguins. Les gardiennes ont utilisé d'autres détenues pour forcer les pratiquantes de Falun Dafa à donner leur sang. Le manque d'hygiène et la façon dont les prises de sang étaient effectuées ont fait qu'une détenue toxicomane a été infectée par le SIDA. Les gardiennes du camp de travaux forcés étaient au courant mais ont dissimulé la vérité. Elles ont forcé cette détenue à travailler et à servir de « moniteur » pour surveiller les pratiquantes.
  • Tromperie et brutalité dans le camp de travaux forcés de Weining dans la ville de Benxi, province du Liaoning

    Le soi-disant « centre légal » dans le camp de travaux forcés a mis en oeuvre plusieurs moyens cruels pour mener "lavages de cerveau" et " transformations" à haute pression. Par exemple, dès son premier jour au « centre légal » un nouveau venu doit d'abord passer par la soi-disant « conversation », depuis les premières heures du matin jusqu'à tard dans la nuit. La personne fait face à des attaques continues telles que calomnies, menaces, et tentations, de la part des gardes ou de collaborateurs. Un tel traitement se poursuit nuit et jour avec l'aide de vidéos attaquant Dafa. Une torture plus brutale consiste à installer le pratiquant sur un lit, sur le dos ou sur le ventre, ses 4 membres étendus, pendant 15 à 20 jours. Il doit manger sur le lit et n'a pas la permission d'aller aux toilettes. Quand il est finalement relâché, il est incapable de marcher, même sur une courte distance.
  • Où êtes-vous, disciples de Dafa qui avez été transférées ailleurs du Camp de travaux forcés de Masanjia ?

    "J’ai été illégalement détenue au Camp de travaux forcés de Masanjia en 2000. Je ne me souviens pas la date exacte à laquelle j’ai été envoyée là-bas, c’était aux alentours de juin 2000. Un jour après le dîner,à la nuit tombante, j’ai entendu les gardes et les 'collaboratrices' appeler les noms de plusieurs pratiquantes qui étaient déterminées dans leur croyance en Dafa et refusaient d’être « transformés ». Le nom de la pratiquante Mme Sun Min a été appelée et elle a été emmenée, tous ses bagages et ses affaires ont été emmenés avec elle. J’ai entendu que dix pratiquantes ont été envoyées cette fois-là. Je ne connais pas le nom des neuf autres mais je savais que Mme Sun Min était de la région de Dalian. Elle avait été professeur d’école primaire, et avait entre 30 et 40 ans.
  • Des pratiquantes de Falun Gong sont persécutées au camp de travail pour femme de Masanjia dans la province de Liaoning

    Le 30 janvier 2007 la pratiquante de Falun Dafa Mme Zhang Lirong a été enfermée dans l'atelier du camp de travail de Masanjia par un gardien et un chef d'équipe, pour avoir refusé de réciter les 30 règles disciplinaires que les criminels sont tenus de réciter. Plus tard, l’Instructeur politique Ren Huaiping de la seconde division et la responsable administrative de la division Wang Shuzeng l’ont enfermée dans une salle vide et ont inséré des bâtons électriques à haut voltage dans ses sous-vêtements visant ses seins et sa poitrine et ils l'ont torturée brutalement.
  • Mme Zhang Lianying, pratiquante de Pékin, souffre d’une hémorragie cérébrale due à la torture, son état est critique (Photos)

    M. Niu Jinping, ne voyant aucun espoir, d ‘obtenir en Chine de l’aide pour sa femme, a rencontré le Vice Président du Parlement Européen M. Edward McMillan-Scott. Il lui a raconté la persécution que sa femme, ses amis et lui ont souffert. M. Niu lui a montré l’endroit où se situe le Camp de Travaux Forcés (à Pékin), des preuves de la torture de sa femme, un document concernant sa condamnation et des récépissés des amendes payées, etc. Depuis cette rencontre, M. Niu Jinping, Mme Zhang Lianying et M. Cao Dong, un autre pratiquant qui a rencontré Edward McMillan-Scott, ont souffert des menaces continues et des mesures de rétorsions des officiels du PCC. La torture de Mme Zhang dans le camp de travaux forcés à Pékin s’est intensifiée entraînant un hémorragie cérébrale. Mme Zhang est actuellement dans le coma et lutte entre la vie et la mort.
  • Dénoncer la persécution menée par les policiers du comté de Jixian dans la province du Heilongjiang

    En été 2002, les policiers ont pénétré de force chez moi et ont essayé de me forcer à renoncer au Falun Gong, de me photographier et de prendre mes empreintes digitales. J'ai refusé de coopérer. Plusieurs policiers m'ont poussé dans une voiture et m'ont amené au commissariat de police de Hedong. Wang Yawen et d'autres policiers m'ont battu, ont marché avec leurs talons sur mes pieds et m' ont donné des coups de coude dans le dos. Ils m'ont ramené chez moi après avoir pris de force mes empreintes digitales et m'avoir forcé à signer mon nom. Depuis lors, la police locale m'a constamment traqué avec des visites et des fouilles imprévues de mon domicile.
  • Comment les pratiquants sont persécutés dans le deuxième camp de travaux forcés de la ville de Jinzhou, province de Liaoning

    Les gardiens du deuxième camp de travaux forcés de la ville de Jinzhou, province du Liaoning, forcent les prisonniers à surveiller les pratiquants de Falun Gong 24 heures sur 24. Ils isolent les pratiquants dans des salles séparées et les surveillent jusque dans les toilettes.