Dernières nouvelles, Témoignages individuels, Divers

  • À la mémoire de la pratiquante Li Weihong

    Bien qu'elle ait souffert terriblement, elle n'avait pas de regret, ni de ressentiment. Elle a dit: « J'ai juste fait ce qu’un pratiquant de Falun Dafa devrait faire et je n'ai pas bien fait dans beaucoup de domaines ». Actuellement, sa soeur Li Weiling a été illégalement condamnée à une peine de huit ans de prison et est détenue dans la prison pour les femmes du quartier de Songjiang, à Shanghai. Sa mère (68 ans, illégalement condamnée à deux ans de réforme par le travail forcé) a été récemment libérée du camp de travail forcé. Li Weihong a dit lentement dans ses derniers moments: « Falun Dafa est la grande Loi de l'univers. Vous devez tous continuer... »
  • Encouragée par les Actions Droites de Gens qui ont appris la Vérité

    Nous avons été « ré-éduqués » par le travail obligatoire pendant une période de 3 ans. A cause de cela mon mari a beaucoup résisté, à la fois spirituellement et financièrement. Au début il n’avait pas une compréhension claire, et avait même un peu de haine envers le Falun Dafa, mais plus tard il a progressivement distingué ce qui le vrai du faux et la droiture de la perversité. Il n’admire pas seulement les grandes actions des pratiquants de Falun Dafa, mais il a aussi commencé à être fier de faire partie d’une famille de pratiquants de Falun Dafa.
  • Une pratiquante de Dafa de Shijiazhuang handicappée par la torture aux mains du personnel du « Bureau 610 »

    Selon une information interne, pendant presque deux ans, Li Huixin était devenue indigente et sans foyer afin d’éviter d’être illégalement arrêtée pour sa croyance en Dafa. Après qu’elle soit capturée, la police l’a torturée afin de lui extorquer une confession, et l’a suspendue par ses menottes pendant 24 heures. Ceci a causé de sérieuses blessures à ses mains et poignets, et elle avait de nombreuses meurtrissures sur le corps.
  • Le génocide de Jiang continue de plus bel, plus de soixante dix pratiquants de la province de Heilongjiang qui ont fourni des informations pour soutenir le procès contre Jiang sont illégalement arrêt

    Selon les rapports, après que Jiang ait été poursuivi en justice à l’étranger, il a secrètement organisé une série de persécutions de masses systématiques en Chine tout en "travaillant sur"les Etats-Unis par les moyens diplomatiques. Il a ordonné que le Département de la Sécurité Nationale de Chine établisse un corps expéditionnaire spécial pour traiter le procès.
  • Les pratiquants de Falun Dafa de la province de Hebei tiennent avec succès un stage de dix jours pour regarder les conférences de Maître Li en vidéo.

    Le 21 avril 2003, un stage a commencé dans une maison de pratiquants où pratiquants et non-pratiquants ont pu regarder les cassettes vidéo des conférences de Maître Li sur le Falun Dafa quelque part dans la province de Hebei. Plus de dix pratiquants ont suivi le stage. Tout le monde a chéri cette occasion rare et regardé avec une grande sincérité. Ils ont également passé le temps précieux entre les conférences pour partager des compréhensions et des expériences, élevant ainsi la compréhension de Falun Dafa de tous. Grâce au dur travail des pratiquants locaux de Falun Dafa, le stage de dix jours s’est conclut le 30 avril sans heurts.
  • Le pratiquant de Dafa Xiong Jiwei est toujours détenu à la prison de Fanjiatai, alors qu’il a été torturé à deux doigts de la mort

    Le 20 juillet 2002 vers 6 heures du matin, après avoir découvert que sa femme avait été arrêtée parce qu’elle avait révélé à quelqu’un la vérité sur le Falun Gong, Xiong Jiwei est allé chercher leur bébé de 7 mois avant de se rendre au poste de police de Dongmafang pour demander la libération de sa femme. Un policier du nom de Zou Musheng a mis M. Xiong et sa fille en état d’arrestation. M. Xiong a demandé des explications, mais, en dépit du fait que M. Xiong tenait dans ses bras un bébé, Zou lui a donné un coup de pied dans l’entre jambes. Il a ensuite continué à le frapper en s’y mettant avec 7 ou 8 autres policiers, dont le directeur du poste de police Xu Guohua. Puis ils lui ont attaché les mains derrière le dos.
  • Des prisonnieres bénéficient d’apprendre la vérité sur le Falun Gong

    Une nuit, une toxicomane qui a dormi près de moi était en manque. J'ai tenu sa main droite et lui ai dit de récité les mots : "Vérité, Compassion, Tolérance". Peu de temps après avoir commencé à réciter silencieusement les mots, elle est devenue plus tranquille et s’est endormie. Le deuxième jour, elle a dit à chaque personne de la cellule : " Falun Gong est vraiment merveilleux. Il peut faire n'importe quoi pour vous si vous récitez seulement : "vérité, compassion, tolérance."
  • Le parcours des pratiquants de Falun Dafa d’une région du Nord de la Chine

    En fait, pendant l'étape la plus grave de la persécution, quelques personnes ordinaires ont également pris la défense des pratiquants de Falun Dafa. Deux personnes dans mon groupe de recherche étaient les plus précieuses. Quand j'ai été renvoyé de mon travail pour la détention, elles m'ont défendu plusieurs fois devant les chefs dans les conférences. elles ont même démissionné de leurs postes pour me défendre. Quand j'ai été forcé de laisser mon unité de travail pour poursuivre un Ph.D. et pendant le temps que je préparai des documents pour aller à l'étranger, beaucoup de spécialistes, professeurs, et amis célèbres ont risqué leurs carrières pour m'aider. Tous ces actes ont démontré que beaucoup de gens ont eu le courage de supporter et soutenir le Falun Dafa, même sous une pression aussi extrême.
  • Une radio diffusion du Falun Dafa a été entendue au-dessus du Centre de detention du Comté de Pengxi dans la ville de Suining, province de Sichuan.

    Le 11 mai 2003, de 23h50 à minuit et demi, une radio diffusion du Falun Dafa clarifiant la vérité a été entendue venant de la zone entourant le centre de détention de Pengxi dans la ville de Suining. Le son a pu être entendu sur un tiers du comté. Durant la nuit, les nouvelles concernant le procès contre Jiang intenté aux Etats-Unis et l’établissement de l’Organisation Mondiale d’Enquête sur la Persécution du Falun Gong se sont fait entendre dans le Comté de Pengxi.
  • Le courage de clarifier la vérité du Falun Gong à des journalistes américains résulte en trois ans de brutale persécution

    M. Liu Jianli, ingénieur, a une fois exposé le fait que la TV chinoise prétendait qu’un voleur était pratiquant de Falun Gong pour tromper les téléspectateurs. Il a également donné sa carte professionnelle aux journalistes. Avec cette carte, un journaliste américain s’est rendu au Ministère des Affaires Etrangères chinois et leur a demandé pourquoi ils avaient fabriqué cette nouvelle. Depuis lors, Liu Jianli a été illégalement condamné et envoyé en camp de travail forcé et dans un hôpital psychiatrique deux fois, et par la suite envoyé deux fois à l’ « Ecole légale » un centre de lavage de cerveau. A ce jour il a déjà été emprisonné pendant trois ans
  • Comment se fait-il qu'un seul mot simple puisse faire la différence entre la vie et la mort?

    Il y a une question à laquelle je ne trouve aucune réponse. Si quelqu'un accepte de cesser de pratiquer le Falun Gong, alors il peut avoir la liberté, peut aller de nouveau au travail, simplement parce qu'il a dit « oui » à leurs demandes de cesser la pratique, s’il ne veut pas dire ceci, il est envoyé au camp de travaux forcés et perd son emploi. Se plier, se compromettre et dire ce seul mot unique détermine comment on est traité par les autorités. Vraiment je ne peux pas comprendre comment ceci peut être justifié.
  • Mme Li Yanlin Dafa, pratiquante de Dafa de la province de Hubei a été torturée jusqu'à l'effondrement mental, elle a été transférée par le bureau "610" vers un lieu inconnu.

    La famille a demandé un examen. Un docteur l'a examinée et l'a diagnostiquée gravement dépressive en raison de la persécution. Le docteur a proposé qu'elle soit libérée pour raison médicale de sorte qu'elle puisse rester avec sa famille et récupérer. Cependant, Li Yingjie, le chef "du bureau 610" du district de Jiang'an, avait peur que les gens apprennent la vérité sur les tortures que Li Yanlin avaient subies si elle était libérée. Non seulement il ne l'a pas libéré mais il a intensifié la persécution. Il a secrètement transféré Mme Li Yanlin vers un endroit inconnu.
  • CIEFG : Un homme détenu pour avoir dénoncé la persécution du Falun Gong à la télévision officielle chinoise meurt en détention aux mains des policiers

    « La persécution du Falun Gong en Chine a été maintenue à grande échelle par une campagne de propagande anti-Falun Gong basée sur les mensonges et la trahison, » dit M. Jauhal. « La plus grande peur de Jiang Zemin est que tout cela soit dénoncé, donc ceux qui tentent de le faire sont sévèrement punis sur-le-champ, souvent avec violence. Cette peur de Jiang Zemin est confirmée par la mort en détention de M. Hou et la volonté apparemment ferme du régime de garder Dr Li en détention malgré les condamnations indignées de la communauté internationale. »
  • La police prend une femme enceinte en otage, se cache dans le cimetière pour piéger et arrêter le pratiquant de Falun Gong

    Lorsque le bébé a eu deux mois, ils sont venus et ont essayé d’amener ma femme aux classes de lavage de cerveau. Tenant le bébé, ma femme a fermement refusé de coopérer avec eux. Alors ils ont dû partir. Après, dès qu'un jour « sensible » approchait, pour éviter la persécution, ma femme devait chez des parents avec le bébé. Souvent elle revenait à la maison dix jours ou un demi mois plus tard. Elle a vécue ainsi pendant plus d’un an, et le tourment sur son corps et son âme sont difficiles à décrire.
  • Un bébé meurt presque de faim en prison pendant que sa famille, tous pratiquants de Dafa, est persécutée.

    Depuis avril 1999, ma famille n’a pas eu un seul jour de tranquillité. Mon mari a souvent été détenu et nos ressources ont été coupées. Ma belle-mère et la femme de mon beau-frère pour manger ont dû ramasser des feuilles de légumes jetées par d’autres ou chercher des plantes sauvages. En raison des harcèlements constants et des arrestations par des personnes perverses, mon mari et moi avons dû laisser notre fils d’un an à la maison et devenir sans ressources et sans domicile.