Dans les camps de travail

  • Quarante six femmes innocentes sont détenues au Camp de travaux forcés de Chongqing

    La plupart des pratiquantes de Falun Dafa 'illégalement détenues' sont incarcérées dans la brigade N° 4. Ces femmes innocentes se voient assigner à leur surveillance des détenues qui les torturent . Ces détenues sont des toxicomanes, elles forcent les pratiquantes à rester debout ou à s’agenouiller dans une position militaire pendant de longues périodes de temps. Elles les insultent et les battent à volonté. Ce qui suit est une liste partielle de pratiquantes de Dafa détenues dans le camp de travaux forcés pour femmes de Chongqing.
  • Mme Shi Xiuyan de la ville de Tangshan est envoyée dans un camp de travaux forcés

    Shi Xiuyan était en train d’afficher des messages concernant la persécution du Falun Gong près de la banque dans la partie ouest de la ville de Fengrun quand elle a été soudainement enlevée par des policiers en civil. Li Chunyuan, directeur adjoint du bureau de la sécurité publique de Fengrun a envoyé six ou sept policiers fouiller son domicile. Ils ont confisqué son imprimante, son ordinateur, des livres de Dafa et d’autres effets personnels. Elle a été détenue au centre de détention de Fengrun et a été condamnée subséquemment à deux ans dans un camp de travaux forcés. Le 4 août 2009, elle a été secrètement emmenée au camp de travaux forcés de Tangshan Kaiping.
  • Jiang Xiqing persécuté à mort dans le camp de travaux forcés de Xishanping, sa fille est arrêtée pour avoir fait appel en son nom

    Après que M. Jiang Xiqing de Jiangjin, ville de Chongqing, a été persécuté à mort dans le camp de travaux forcés de Xishanping, sa fille, Jiang Hong, a cherché à obtenir justice par des moyens légaux. Les fonctionnaires du comité politique et judiciaire et le Bureau 610 de Jiangjin ne voulant pas être exposés davantage se sont arrangés pour que Mme Jiang soit arrêtée.
  • Mme Chen Guoqing a été torturée dans le camp de travaux forcés pour femmes de Guangxi

    Le 15 janvier 2002, j'ai collé des affiches clarifiant les faits dans la ville de Qiaoyu, agglomération de Guigang, province du Guangxi. La police m'a arrêtée et détenue dans un centre de détention. Début mars, ils m'ont envoyée en camp de travaux forcés pour les trois années suivantes, sans la moindre procédure judiciaire. Ils ont essayé de me forcer à signer mon nom, mais j'ai refusé. Ils ont alors signé mon nom à ma place et m'ont placée dans le camp de travaux forcés pour femmes de Guangxi.
  • Mme Guo Wenyan inapte à prendre soin d'elle-même au camp de travaux forcés pour femmes du Hebei

    Mme Guo Wenyan, la soixantaine, est une pratiquante de Falun Gong de la ville de Shijiazhuang. Après avoir été arrêtée et détenue au camp de travaux forcés pour femmes de la province du Hebei, elle a été forcée à se tenir debout sans bouger pendant quinze jours et privée de sommeil. Après s'être évanouie, elle est tombée et s'est brisée le fémur et le tibia, avec une grave dislocation. En conséquence, elle est incapable de prendre soin d'elle.
  • Un professeur remarquable gravement persécutée dans le camp de travaux forcés de Masanjia (Photos)

    Zhang a commencé par étirer violemment les mains de Mme Liu à leur maximum dans des directions opposées, puis les a menottées aux supports de métal. Elle a été immobilisée de la sorte de la soirée du 2 mai jusque dans l’après-midi du 4 mai, pendant 53 heures. Elle a dû rester debout, étirée entre les deux supports de métal pendant toute cette période. Il lui était interdit de manger, d’utiliser les toilettes, et elle a été privée de sommeil durant tout ce temps.
  • Chen Jingyu a souffert de graves sévices au camp de travaux forcés pour femmes de Heizuizi

    Les conditions de vie étaient très dures au camp. Une pratiquante dans la cellule d’à côté a entamé une grève de la faim, et les gardiens l’ont gavée de force. Aucune des détenues n’avait le droit de sortir des cellules qui étaient fermées par plusieurs verrous. On ne voyait jamais la lumière du jour. Un mois plus tard j’ai été soumise à un an de travaux forcés. Le formulaire de travail forcé indiquait que j’étais restée muette durant tout l’interrogatoire et que j’avais refusé de signer le document.
  • Le Camp de Travaux Forcés Sanshui de la province du Guangdong gèle les pratiquants

    Le détenu et l’officier étaient là pour surveiller les faits et gestes du pratiquant 24 heures sur 24. La température due à l’air conditionné était extrêmement basse et les pratiquants n’étaient autorisés à porter que des shorts et des chemisettes. Les climatiseurs étaient contrôlés uniquement par l’officier du camp et personne d’autre n’était autorisé à y toucher. Le détenu pouvait, quant à lui, porter un pantalon et une veste. Après un moment dans le froid, les pratiquants commençaient à frissonner de manière incontrôlée...Parce que chaque pièce était isolée de l’extérieur, personne n’a su ce qui se passait à l’intérieur pendant un long moment. Plus tard, les gens ont fini par apprendre que beaucoup de pratiquants, qui avaient été soumis à cette torture, avaient été envoyés à l’hôpital.
  • Mme Yuan Shuzhe a été persécutée sauvagement au camp de travaux forcés de Masanjia

    L’après midi du 31 mars 2005, deux chômeurs qui avaient été employés temporairement par le poste de police de la 12ème route du district de Tiexi à Shenyang et plusieurs policiers en civil ont emmené Mme Yuan Shuzhe, pratiquante de Falun Gong qui avait été détenue au centre de détention municipal de Shenyang pendant quarante jours, au camp de travaux forcés de Masanjia. Les policiers ont incité l’un des chômeurs à pousser Mme Yuan au sol. Elle a crié " Falun Dafa est bon !" et " Arrêtez de persécuter le Falun Gong ! " Il a enfoncé une chaussette sale dans sa bouche et lui a piétiné la tête. Le bruit a alerté les policiers qui étaient à l’étage. Trois grands policiers costauds en civil se sont précipités à l’extérieur et, sans hésiter, ont traîné Mme Yuan à l’étage...
  • Un résumé de mon expérience de la torture au camp de travaux forcés de Dalian et au camp de travaux forcés pour femmes de Masanjia

    Pendant les deux semaines avant la fin de ma peine, ils m'ont de nouveau battue sauvagement et pendue parce que je refusais de me plier aux ordres des gardes. Un chef de section du nom de Ma Jishan a menotté une de mes mains au montant supérieur d'un lit, tiré mon autre main aussi loin que possible et l'a attachée fermement avec une corde. Après plusieurs minutes je ne pouvais plus respirer et j’étais couverte de sueur sous la douleur intense... J'ai vu des pratiquantes être torturées au point de ne plus pouvoir marcher ...
  • Les peines de prison de pratiquantes de Falun Gong sont arbitrairement étendues dans le camp de travail pour femmes du Hebei

    Des peines d’emprisonnement imposées illégalement à de nombreuses pratiquantes de Falun Gong détenues dans le camp de travail pour femmes de la province du Hebei sont récemment arrivées à leurs termes, mais les autorités ont refusé de libérer ces pratiquantes sans la moindre explication. Les gardes ont demandé aux pratiquantes de remplir et signer des formulaires de libération, sans révéler la date de leur libération. Approximativement 400 pratiquantes sont détenues dans ce camp de travail, dont beaucoup ont été illégalement arrêtées dans la période des Jeux Olympiques 2008 et reçu une condamnation d’un an.
  • Les gardes de la salle N°5 du Camp de travaux forcés de l'agglomération de Fuzhou, dans la province de Fujian tourmentent brutalement les pratiquants

    En novembre 2007, la salle N°5 du Camp de travaux forcés a commencé à détenir des pratiquants de Falun Gong. Ces derniers ont été isolés et interdits de bouger et de parler. On les a empêchés de voir leurs familles et leurs courriers ont été arbitrairement confisqués. Les pratiquants n'étaient pas autorisés à acheter eux mêmes ce dont ils avaient besoin mais devaient remplir un formulaire créé par la Salle N°5 et on sortait acheter pour eux les articles approuvés. Le personnel de la salle a interrogé, tabassé, torturé et humilié les pratiquants.
  • M. Zhou Jingcheng du canton de Ningxiang, dans la province du Hunan a été détenu, placé dans un camp de travaux forcés et condamné à dix reprises

    M. Zhou a été condamné à la prison de manière illégale, envoyé dans un camp de travaux forcés à deux reprises, détenu sept fois et soumis à de nombreuses formes de torture. Il est actuellement détenu à la prison de Wangling dans le canton de You, à Zhuzhou, dans la province du Hunan. Depuis 1999, M. Zhou Jingcheng a passé la majeure partie de son temps en prison, et presque 60,000 yuans ont été extorqués à sa famille. M. Zhou est maintenant emprisonné et torturé à nouveau et sa famille est harcelée et menacée.
  • Inimaginable cruauté au camp de travail forcé de Masanjia

    La 3e division du camp de travail forcé no 1 à Masanjia, mise sur pied le 29 septembre 2008, a pour objectif de persécuter les pratiquants masculins de Falun Gong. On dit qu'il y a trois de ces camps dans la province du Liaoning. Les deux autres sont le camp de travail forcé de Dalian et le camp de travail forcé de Benxi. L'objectif du camp d'atteindre un taux de " réforme " de 100 % signifie que ses responsables auront recours à n'importe quel moyen, aussi pervers soit il, afin de pouvoir complètement " réformer" les pratiquants.
  • Mme Long Lihong de la province de Hunan a été blessée dans le Camp de Travail Forcé de Baimalong, agglomération de Zhuzhou

    Alors qu'elle clarifiait la vérité à propos du Falun Gong, elle a été dénoncée à la police par quelqu'un travaillant dans la même entreprise. Plusieurs agents de police sont aussitôt arrivés et ont emmené Mme Long au poste de police. Ils l'ont interrogée afin de découvrir si elle possédait des livres de Falun Gong ou d'autres choses en rapport. Quand ils n'ont rien trouvé sur elle, ils n'ont rien pu lui faire. Ils sont alors allés tout droit à l'entreprise où elle travaillait et ont saccagé ses affaires personnelles. Ils ont même été jusqu'à traîner une de ses collègues au poste de police pour interrogatoire. Ils n'ont pu produire aucune preuve, aussi ils ont pris des photos de Mme Long ainsi que ses empreintes digitales contre sa volonté