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  • The Irish Times : La Chine objet d’un examen minutieux sur les droits

    Lors d’un débat sur les relations UE-Chine dans la période précédant ce week-end du sommet UE-chine, Le député de Fine Gael, Simon Coveney a dit que l’UE “doit se montrer ferme et cohérente dans ses efforts pour assurer qu’un développement des relations commerciales aille de pair avec un développement démocratique et un respect croissant des droits de l’homme. » Il a dit que l’UE devait soulever les « questions pénibles » sur les rapports de prélèvements d’organes et les allégations que la Chine s’approvisionne en organes humains, destinés à la vente, sur des prisonniers qui sont exécutés.
  • Sheffield Today (UK) : Des activistes révèlent les abus qui ont cours en Chine

    Des activistes des droits humains sont venus à Sheffield diffuser une information sur la persécution ayant cours dans leur pays d’origine. Les visiteurs étaient tous pratiquants de Falun Gong, une pratique que les autorités ont interdite en Chine. Zhen s’est échappée du pays avec l’aide d’amis et vit actuellement sous un faux nom pour protéger son identité. Avant de quitter le pays, elle se cachait depuis plusieurs mois et était sans ressource et sans foyer depuis des années. Elle voyage désormais dans tout le pays avec des gens qui la soutiennent, afin d’éveiller les consciences au sujet de la situation à laquelle font face les pratiquants de Falun Gong.
  • Brooklyn Graphic, New York : Les activistes du Falun Gong dénoncent les atrocités chinoises

    Deux pratiquants de Falun Gong sont assis les jambes croisées, méditant paisiblement devant la Cour Suprême de Justice de Brooklyn face à la Rue du Tribunal un matin du mois d'août. Faire la même chose en Chine pourrait conduire à leur détention, et même à avoir leurs organes prélevés en vue d'une greffe sur des patients occidentaux, disent les manifestants.
  • Epoch Times: L’influence chinoise étend la persécution au-delà du continent (Photo)

    Alors que pour nous l'été tire à sa fin , le sort de deux pratiquants de Falun Gong à Singapour est entre les mains d’un juge qui n’a montré jusque là aucune sympathie pour leur cause. Ehr Boon Tiong, un ingénieur informatique et Ng Chye Huay, femme au foyer, sont en procès pour avoir déployé une banderole en face de l’ambassade chinoise à Singapour. La police prétend que les mots sur la banderole : « 20.7 Arrêtez la persécution du Falun Gong en Chine » étaient insultants et pouvaient causer un harcèlement pour les employés de l’ambassade et les passants. En fait, les mots commémorent le 20 juillet 1999, jour où le gouvernement chinois a rendu la pratique du Falun Gong illégale.
  • The Epoch Times : Le système de justice de Singapour mis à l'épreuve dans le procès du Falun Gong

    SINGAPOUR – Dans une pièce minuscule, repoussé dans le coin le plus éloigné de la Cour subordonnée, un procès de grand intérêt sur les droits de l’homme a commencé le 29 août. Les accusés sont deux pratiquants de Falun Gong qui manifestaient pacifiquement devant l’ambassade chinoise le 20 juillet dernier ; exerçant leur droit démocratique à pratiquer leur liberté de croyance et déployant une bannière avec les mots écrits en chinois : "20 juillet – Arrêtez la persécution inhumaine du Falun Gong en Chine." Dès le début du procès, un nombre démesuré de policiers interdisaient l'accès à la cour à quiconque n'était ni un témoin ni un membre de la famille des accusés. Initialement, la presse internationale n'a pas été autorisée à entrer alors que la presse locale est rentrée sans problème.
  • The Epoch Times : La Chine moderne d’aujourd’hui est comme l’Allemagne Nazie, a dit un député australien

    Chris Bowen, député travailliste pour l'électorat de Fairfield à l’ouest de Sydney, a dit récemment à la chaîne de télévision de langue chinoise NTDTV que les gens dans les années 30 et 40 ne pouvaient pas croire les rapports préliminaires de meurtres de masse contre les juifs parce que le concept de telles atrocités étaient trop incroyable pour beaucoup de gens. M. Bowen a dit, « Les gens n'ont pas cru les rapports sortant d'Allemagne parce qu'ils ne pouvaient pas croire qu'un être humain puisse faire la sorte de choses qui étaient faites à un autre être humain, et je pense que nous sommes confrontés à une situation semblable, [en ce qui concerne] la situation en Chine ».
  • Yorkshire, RU: Une grand-mère est torturée par les chinois - tout ça à cause de sa croyance

    "ZHEN est perchée au bord du sofa. Si elle s'enfonce vous craignez que sa charpente minuscule ne soit avalée par le fauteuil. En écoutant cette grand-mère à la voix douce on a du mal à comprendre comment quelqu’un pourrait en venir à lui faire du mal – pourtant ils l’ont fait. Cette dame de 66 ans déclare avoir été battue, gavée de force et avoir subi des électrochocs dans les mains de la police chinoise – et cela à cause de sa croyance"
  • Vancouver Sun : "La Chine tue les membres de Falun Gong pour leurs organes", dit un ex-député

    Sophia Bronwen, une porte-parole des pratiquants du Falun Gong de Vancouver, a dit qu’elle était satisfaite par le rapport, quil donne de la crédibilité aux allégations. « Je suis contente de constater que quelqu’un nous a pris au sérieux et qu’une enquête a été menée par des tiers. » Bronwen a dit que les pratiquants essaient depuis des mois d’attirer l’attention du public sur ce problème, mais la nature horrible des ces allégations, ajoutée à la forte dépendance du commerce avec la Chine, rendent difficile l’obtention de soutien.
  • San Gabriel Valley Tribune (Californie) : Un Pilote demande l'asile [Extrait]

    La déclaration d'un pilote de ligne chinois qu'il ferait face à la persécution pour ses croyances religieuses s'il retournait dans son pays natal n'est pas infondée, selon au moins un groupe des droits de l'homme majeur. Sheng Yuan, 39 ans, de Shanghai, a annoncé la semaine dernière à El Monte qu'il ne retournerait pas en Chine sur son vol régulier de la China Eastern Airlines. Yuan, qui a quitté son épouse et une fille adolescente, a dit qu'il avait été confronté par la police aéroportuaire de Shanghai et presque détenu avant son vol du 8 août pour Los Angeles après que son collègue l'ait dénoncé aux autorités pour sa critique du gouvernement communiste chinois et sa pratique de la religion hors la loi Falun Gong.
  • ABC, Australie : L'interdiction faite aux bannières du Falun Gong est levée

    Le Falun Gong a été autorisé à utiliser de grandes bannières dans ses protestations devant l'Ambassade chinoise à Camberra, quatre ans après qu'elles aient été interdites par le Ministre des Affaires étrangères Alexandre Downer. Le Falun Gong dit que M. Downer a cessé de signer les certificats prohibitifs pour la première fois. La porte-parole du Falun Gong, Kay Rubcek, dit que le groupe a maintenu une présence continue devant l'ambassade depuis 1999. "C'est vraiment important que cette vérité soit connue et qu'il y ait des gens qui protestent contre les tueries massives ayant cours dans toute la Chine," a dit Mme Rubacek .
  • Suède : Le journal Oriental Daily dénonce les crimes de prélèvement d'organes sur des pratiquants du Falun Gong vivants (photos)

    Le Falun Gong est une sorte de cultivation spirituelle chinoise. Malgré la persécution le Falun Gong continue à se propager. Le Parti Communiste Chinois en pensant que son pouvoir est menacé arrête et torture les pratiquants dans des camps de travail. Selon un rapport récemment publié par un ancien député canadien et un avocat des droits de l’homme, 60 000 organes ont été prélevés entre 2000 et 2005 dont 41 500. dont on ne connaît pas la source.
  • Les médias hollandais prêtent attention aux prélèvements d'organes (Photos)

    Le 14 juillet, la Chaîne de Télévision n°2 en Hollande a diffusé une émission sur les atrocités du Parti communiste chinois (PCC) récoltant les organes des pratiquants de Falun Gong vivants. Le titre de l'émission était "Prélèvement d'organes en Chine". Dans cette émission, il a été mentionné qu'un rapport provenant du Canada avait confirmé que le prélèvement d'organes à grande échelle sur des pratiquants de Falun Gong vivants suivi de leur décès existait réellement.
  • The Epoch Times : A deux doigts d’être envoyée dans un camp de concentration—Les épreuves par lesquelles je suis passée.

    En 1999 et 2000, au début de la persécution du Falun Gong en Chine, beaucoup de pratiquants de Falun Gong ont été détenus pour s’être rendus à Pékin réclamer leur droit à la liberté religieuse. Depuis, des témoins de Chine ont osé dénoncer la pratique des prélèvements d’organes sur des pratiquants de Falun Gong. Ceux qui ont été détenus dés le début de l’année 2000 ont reconsidéré leurs arrestations sous une nouvelle perspective. Chen Ying, qui vit aujourd’hui en France, a été arrêtée à trois reprises et emprisonnée dans le centre de détention Chaoyang en 2000 pour sa pratique de Falun Gong. Là, elle a vu plusieurs de ses amis envoyés dans les camps de concentration d’où Chen Ying a réchappé de justesse.
  • Espagne : La Cour suprême statue et accepte le procès du Falun Gong

    Le 6 juin, la Cour suprême d’Espagne a tenu une audience et statué qu’elle pouvait accepter un procès intenté par plusieurs victimes accusant de hauts fonctionnaires chinois d’avoir commis un génocide contre le Falun Gong ces quelques dernières années. The Advertiser (Australie) rapportait le 7 juin ce que la Cour Suprême d’Espagne a dit le 6 juin après une audience, à savoir qu’un procès intenté par le Falun Gong accusant un haut fonctionnaire chinois de génocide pouvait continuer. Ce qui signifie que le Falun Gong peut à présent faire appel du rejet précédent du procès par l' Audencia Nacional, la plus haute cour pénale d’Espagne.
  • Epoch Times : les compagnies américaines choisissent d’acquiescer au régime communiste chinois

    Une annonce pour le moteur de recherche américain Yahoo sur Internet dans une station de métro à Pékin. Les actions de Yahoo et d'autres géants internet aux Etats-Unis provoquent la fureur internationale en se soumettant aux pressions de la censure chinoise - Les compagnies qui font affaire avec le régime communiste chinois fournissent le savoir-faire pour empêcher les citoyens de Chine continentale de connaître la vérité, pour trouver ceux qui ont des points de vue différents et persécuter ceux qui sont considérés comme une menace à sa puissance.