Epoch Times: L’influence chinoise étend la persécution au-delà du continent (Photo)

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Le 6 septembre 2006

Mme. Ng Chye Huay (gauche) et M. Erh Boon Tiong tiennent une protestation en face de l’Ambassade chinoise à Singapour le 20 juillet . (The Epoch Times)
Mme. Ng Chye Huay (gauche) et M. Erh Boon Tiong tiennent une protestation en face de l’Ambassade chinoise à Singapour le 20 juillet . (The Epoch Times)

Alors que pour nous l'été tire à sa fin , le sort de deux pratiquants de Falun Gong à Singapour est entre les mains d’un juge qui n’a montré jusque là aucune sympathie pour leur cause. Ehr Boon Tiong, un ingénieur informatique et Ng Chye Huay, femme au foyer, sont en procès pour avoir déployé une banderole en face de l’ambassade chinoise à Singapour. La police prétend que les mots sur la banderole : « 20.7 Arrêtez la persécution du Falun Gong en Chine » étaient insultants et pouvaient causer un harcèlement pour les employés de l’ambassade et les passants. En fait, les mots commémorent le 20 juillet 1999, jour où le gouvernement chinois a rendu la pratique du Falun Gong illégale.

Ça n’est pas la première fois que Singapour manifeste son hostilité envers les pratiquants de Falun Gong qui cherchent à exposer la persécution qu’ils souffrent aux mains du régime communiste chinois. En janvier 2004, Cheng Lu Jin et Ng Chye Huay ont été accusées de rassemblement illégal et de distribuer des VCD sans licence. Les deux femmes ont été condamnées à un an de prison. [Note : l’accusation était « rassemblement sans permis » et les deux pratiquantes ont été relâchées sept jours plus tard après que leurs familles aient payé les amendes.]

Certains petits pays asiatiques semblent particulièrement vulnérables aux pressions de la Chine. Ils courtisent les faveurs du gouvernement chinois en harcelant, arrêtant sinon en attentant aux droits des pratiquants de Falun Gong agissant légalement dans leurs pays.

Le Cambodge qui bénéficie des largesses de la Chine, a arrêté et déporté Li Guojun et sa femme Zhang Xinyi en août 2002, en dépit du fait qu’ils étaient sous la protection des Nations Unies. La Chine a beaucoup soutenu le régime des Khmers rouges qui a causé la mort d’estime-t-on 1.7 millions de cambodgiens à la fin des années 70 et qui continue à jouir d’une étroite relation avec la nation appauvrie.
La pratique du Falun Gong n’est pas illégale en dehors de la Chine, bien que des exemples troublants similaires aient eu lieu en Thaïlande, en France, en Islande, en Allemagne et ailleurs depuis 1999. Chaque nation a démontré qu’elle était prête à faire une entorse à ses lois ou à la loi internationale pour apaiser les chinois.

Les citoyens chinois cherchent de plus en plus à se libérer de la tyrannie du PCC, en témoignent les 13 millions de chinois qui ont renoncé au Parti depuis que le journal The Epoch Times/ La Grande Epoque a publié les Neuf commentaires sur le Parti communiste il y a deux ans. Pour le bien de leurs citoyens et de leur souveraineté national, nous demandons instamment à Singapour et aux autres nations libres de reculer d’un pas des bords du précipice de la dictature chinoise corrompue et prête à s’effondrer.

Alan Adler est Directeur Exécutif des Amis du Falun Gong, USA, une organisation à but non lucratif des droits de l’homme établie pour soutenir la liberté de croyance des pratiquants de Falun Gong.


http://theepochtimes.com/news/6-9-6/45679.html

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

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