Torture

  • Complément d’information sur la mort d’une pratiquante de Dafa de la ville de Harbin, Mme Gu Xiuhua, due à la persécution

    Pendant la période d’emprisonnement illégal, le corps et l’esprit de Mme Gu ont été gravement blessés à cause de la torture et des abus subis. Quelquefois, elle ne réussissait même plus à manger, boire, ou dormir pendant plus de dix jours à la suite. A sa sortie de prison, à cause de sa persistance dans la pratique de Dafa, la police locale a intensifié la persécution à son égard. Ils ont confisqué la propriété de sa famille et leur ont extorqué de l’argent. Mme Gu a été obligée de déménager car les dirigeants locaux l’ont expulsée de force. Ils ont extorqué à sa famille à quatre reprises de l’argent, pour une somme totale de 25 000 yuans.
  • Les cinq ans de persécution de Lin Junlan, veuve de M. Liu Yufeng

    "Je n’avais jamais imaginé qu’ils avaient si brutalement torturé mon mari qu’il fallait qu’il reçoive un traitement médical. Le quatrième jour, ils ont téléphoné à mon beau-fils et lui ont demandé de venir chercher Liu Yufeng. Mon beau-fils a porté Liu Yufeng sur son dos jusqu’à un taxi et l’a ramené à la maison. Lorsqu’ils sont arrivés à la maison, j’ai découvert que mon mari était inconscient, et qu’il avait des contusions partout sur son corps. C’était déchirant de le voir souffrir ainsi ! Liu Yufeng est mort à 6h30 le jour suivant. "
  • J’ai souffert de tortures incessantes pendant près de 4 années d’emprisonnement illégal

    J’ai été emprisonnée pendant quatre ans à cause de ma ferme croyance en « Authenticité, Compassion et Tolérance ». Depuis que la persécution a commencée en juillet 1999 jusqu’en mai 2003, j’ai été illégalement emprisonnée. Au cours de ces quatre ans j’ai été persécutée sans arrêt par les gardiens de la prison. La douleur était comme si une couche de peau était arrachée encore et encore. Mon esprit et mon corps ont énormément souffert.
  • Mme Song Guifeng torturée par la police de la ville de Huadian, province de Jilin (photos de reconstitution)

    Mme Song Guifeng est de la ville de Huadian, province de Jilin. La police municipale l’a enlevée alors qu’elle était dans la rue le 30 janvier 2001. Au commissariat, le policier Bai Shijie et d’autres ont menotté ses bras sur le mur. Les photos suivantes ont été reconstituées afin de montrer ce qui s’est réellement passé.
  • Des simulations montrent comment la police chinoise torture les pratiquants de Falun Gong dans le comté de Yilan, Province de Heilongjiang (Photos)

    Dans le Comté de Yilan, Province de Heilongjiang la police torture cruellement des détenus, pratiquants de Falun Gong. Ils incitent les détenus à faire de même. Parmi les moyens de torture : l’utilisation d’un sac plastique pour faire suffoquer des pratiquants, cogner la tête contre le mur, racler la cage thoracique, fouetter avec un bâton en bambou et percer les bouts des doigts.
  • Le camp de travail forcé de la ville de Handan persécute les pratiquants de Falun Gong avec la torture du banc du tigre (Photos)

    Ils attachent les genoux d'un pratiquant ensemble avec un drap, ils lui font faire face au mur et ils lui abaissent la tête de sorte que l’arrière du cou est en contact avec le mur. Quelqu'un retient les jambes et les fesses du pratiquant, les rendant incapables de bouger. Ensuite, ils poussent les mains du pratiquant vers le haut jusqu'à ce qu'elles touchent le mur. En même temps, ils serrent le drap autour des genoux. Seulement quelques minutes de torture rendent le pratiquant incapable de marcher normalement.
  • Démonstrations de méthodes de torture utilisées au camp de travail forcé Xishanping à Chongqing (Photos)

    Les gardes à Xishanping ont choisi parmi les 8 000 prisonniers qui étaient à leur charge (dont plus de 90% d’entre eux étaient condamnés pour toxicomanie) ceux qui étaient les plus robustes et impitoyables pour commettre des méfaits et pour se servir d’eux pour persécuter les pratiquants de Falun Gong. À présent, quelques dizaines de pratiquants sont toujours incarcérés à Xishanping. Un des toxicomanes a dit : « C’est un enfer vivant là».
  • L’appel de Gao Rongrong : Punir sévèrement ceux qui persécutent les pratiquants de Falun Gong, restaurer la justice pour le peuple- Partie 2 (Photos)

    "Je ne pouvais imaginer quels type de tortures m’attendaient le long de cette longue nuit. Durant les cinq ou six dernières heures, j’avais déjà souffert horriblement. Je regardais la porte et vit Teng Jiliang qui la gardais, je craignais que Tang Yubao la franchisse à n’importe quel moment. Je vis les matraques électriques et les menottes dans la pièce, et seule la fenêtre derrière moi n’était pas si effrayante. J’ai sauté par la fenêtre du deuxième étage. Le fémur de ma jambe s’est fracturé ; mon pelvis s’est fracturé en deux endroits et l’os de mon talon droit s’est brisé en éclats. "
  • Treize méthodes de tortures utilisées de nos jours en Chine

    Le document qui suit provient de Sina.net, un média de la Chine, qui dresse la liste de treize méthodes de tortures cruelles existant actuellement en Chine. Il n’est pas nécessaire d’argumenter sur le fait que la torture existe en Chine. A quel degré la torture est-elle appliquée à travers tout le pays ? Pour les gens qui n’ont jamais fait l’expérience de vivre dans une prison chinoise, il est difficile de connaître les faits. Selon Chen Yunsheng, un expert légal chinois reconnu, la première caractéristique des tortures « sponsorisées » par l’état –en se basant sur les définitions internationales- est qu’elles nécessitent que la personne qui applique les tortures soit employée par le gouvernement. La situation normale est qu’une telle personne travaille dans un des départements judiciaires en tant qu’homme faisant respecter la loi (soit juge, policier, etc).
  • Gao Rongrong : Punissez sévèrement ceux qui persécutent les pratiquants du Falun Gong, restaurez la justice pour le peuple, première partie (photo)

    Mme Gao Rongrong, 36 ans, travaillait dans les services comptables du Collège des Beaux Arts de Luxun à Shenyang, province de Liaoning. Elle a été l’objet d’une persécution continuelle parce qu’elle persistait dans sa pratique du Falun Gong. Récemment, elle a été détenue au camp de travaux forcés de Longshan. Au début du mois de mai 2004, Tang Yubao, chef adjoint de la Division No. 2 du camp de travail et d’autres gardes ont électrocuté Gao Rongrong au visage avec des matraques électriques pendant six ou sept heures, finissant par la défigurer. Le 5 octobre 2004, avec l’aide de personnes justes, Gao Rongrong s’est échappée de la salle 0533 de l’hôpital No.1 affilié à l’Université Médicale de la Chine dans la ville de Shenyang. Ce qui suit est sa déclaration et sa requête.
  • Les méthodes de tortures de la prison pour femmes de Heilongjiang : la “suspension” et les injections de drogues

    La méthode de torture appelée la“suspension” consiste à soulever les mains menottées et les pieds juste au-dessus du sol, et elle n’est pas autorisée d’après le règlement intérieur de la prison. Cependant, dans la prison pour femmes de Heilongjiang, Xu Longjiang et Liu Zhiqiang, des officiers affectés récemment, ont adopté cette technique brutale pour persécuter les pratiquantes de Falun Gong. Au départ, c’était l’équipe n°2 de la prison 1 qui l’utilisait, et cela s’est ensuite répandu aux autres équipes.
  • Appel urgent pour M. Sun Shiyou, Mme Ma Lianxiao et d’autres pratiquants de la ville de Shenyang persécutés pour avoir secouru Gao Rongrong

    Selon les Nouvelles de Minghui du 12 mars 2005, les pratiquants de Falun Dafa M. Sun Shiyou, Mme Ma Lianxiao et d’autres pratiquants de la ville de Shenyang ont été arrêtés pour avoir participé au secours de Gao Rongrong, une compagne qui a souffert de torture sévère et a été défigurée aux mains de la police. La police dans la division de police criminelle du district de Teixi, ville de Shenyang, a torturé M. Sun Shiyou en battant le bas de son corps et en le choquant avec des bâtons électriques.
  • Reconstitution des méthodes de torture utilisées au centre de détention du canton de Fangzheng, province de Heilongjiang (Photos)

    Zhao Xiaopo, Hu Yajun et Quan Xingtong, directeurs du centre de détention de Fangzheng, ont ordonné à des criminels (Wang Yi, Deng Hongpeng, Yang Mingjun et Tong Shuxue) de torturer des pratiquants du Falun Gong. Les méthodes employées ont été : 1 ; Frapper les globes oculaires avec les doigts 2 ; Percer des trous dans les doigts, doigts de pied, tête, visage et autres 3 ; Frapper les côtes 4 ; Frapper la gorge avec des chaussures et marteler la tête 5 ; Tirer la barbe 6 ; Donner des coups de pieds en forçant les pratiquants à se pencher
  • Dents tombées et ongles d’orteils arrachés – Les tortures endurées par le pratiquant M. Li Shaotie de la ville de Fujin, province de Helongjiang

    Parce que M. Li ne renonçait pas au Falun Dafa, les gardes l’ont souvent très sévèrement battu. Quatre ou cinq d’entre eux ont traîné M. Li à une chambre vide. Après qu’ils aient scellé sa bouche avec du ruban, le leader du groupe no.2 Cong Handong a dit : « Avez-vous besoin de moi ? » L’officier avec le nom de famille Diao a répondu : « Non, nous allons nous occuper de lui ». Le leader du groupe du milieu Long Kuibin a électrocuté M. Li avec un bâton électrique à haut voltage. L’officier Shi Jian a frappé son visage, en alternant les mains, jusqu’à ce que son visage soit défiguré et contusionné. Diao Xuesong a pris la relève lorsque Shi Jian s’est senti fatigué
  • La situation de Hao Shuang, la fille survivante de la pratiquante Zheng Shiying, de la ville de Jilin (photos)

    Presque morte, Zheng Shiying, une pratiquante de Falun Dafa de la ville de Jilin, a été libérée et rendue à sa famille après avoir été torturée pendant plus de 10 mois dans la prison pour femmes de Jilin. Elle est morte le lendemain, le 19 juillet 2003, et sans jamais avoir repris conscience, laissant derrière elle une famille dans le chagrin..la fille survivante de Zheng Zhiying, a 14 ans. Elle est maintenant sous le soin de sa grand-mère et de son père, Hao Xiaoguang, qui est actuellement chômeur.