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  • Le solstice d’hiver : Les 'Trois amis de l’hiver’ et autre sagesse de la Chine ancienne

    Dans l’ancienne tradition chinoise, trois plantes se démarquent des autres par leur charme et leur endurance alors que l’hiver s’installe et que le temps devient plus froid, : le pin, le bambou, et le prunier.On s’y réfère respectueusement, dans la longue histoire de la culture chinoise, comme aux " Trois amis de l’hiver, "ou littéralement les "Trois amis du Temps du froid. "
  • Shen Yun Performing Arts : Renaissance de la culture chinoise

    "Je pense que cette culture et ces traditions offrent une solution à la plupart des conflits que nous voyons dans le monde entier ", a déclaré Charles Taku, avocat principal à la Cour pénale internationale, après avoir assisté au spectacle en famille en avril. " La renaissance de cette culture pourrait effectivement aider à nous libérer de la culture de la violence et de la haine. "...
  • Incapable de faire comme on le désire (力不從心)

    L’expression chinoise « 力不從心 » (lì bù cóng xīn) signifie « incapable de faire comme on le désire » ou ne plus avoir des compétences à la hauteur de ses ambitions. Il provient d’une histoire sur Ban Chao, contée dans le Livre des Han postérieurs1....
  • Un " Pavillon de conscience claire " en mémoire des mérites d'un homme sage et intégre

    Zhu se préoccupait des gens qui travaillaient pour lui ainsi que de leur subsistance. Il écrivit "Un poème sur le ramassage du sel " après avoir vu comment les hommes trimaient dans des conditions très dures, en pleine chaleur de l’été, pour récolter le sel. Dans le poème, il décrivait de manière vivante et fidèle les vies difficiles de dix mille paludiers qui étaient là par conscription et comment ils manquaient à leurs familles, exprimant pour ces gens une profonde sympathie.
  • Histoires de rétribution karmique adaptées d’anciens récits populaires chinois

    Pendant le règne de Yongzheng (1722 - 1735 AJC) de la dynastie des Qing, un gentilhomme nommé Su Dounan rencontra un ami dans un pub de la rivière Baigou. L'ami buvait et pleurnichait sans arrêt : " les principes célestes n’existent plus, "disait-il. "Personne n’est récompensé pour ses bonnes œuvres, et personne n’endure la rétribution pour avoir mal agi. " ...
  • L'histoire des deux amis qui marchaient dans le désert

    "Quand quelqu'un nous blesse, nous devons l'écrire dans le sable, où les vents du pardon peuvent l'effacer. Mais quand quelqu'un fait quelque chose de bien pour nous, nous devons le graver dans la pierre, où aucun vent ne peut l'effacer. Apprends à écrire tes blessures dans le sable et à graver tes joies dans la pierre."
  • Le Ciel, la Terre, et les fondations morales de la foi chinoise

    L'éthique confucéenne basée sur la famille est bien connue dans le monde comme étant la pierre angulaire de l’héritage social et philosophique chinois. Ces enseignements anciens de 2500 ans sont tirés des traditions religieuses chinoises pré-impériales, qui recherchaient l’harmonie entre l’homme et l’univers à travers le respect envers le ciel et la terre ...
  • La contribution d’impératrices chinoises au rayonnement du pouvoir dynastique

    À travers la longue histoire de la Chine, plusieurs dynasties ont été établies par des hommes forts et ambitieux. Mais les femmes sages et vertueuses qui se tenaient à leurs côtés ont aussi joué un rôle essentiel dans le façonnage du caractère chinois, et de l’héritage porté par la civilisation chinoise.
  • Le sacrifice d’un fonctionnaire de la dynastie Qin récompensé par la chance

    Durant la dynastie Qing (1644-1912) vivait un homme du nom de Lui Qi. Alors qu’il était gouverneur de la région de Ningqiang, dans la province du Shaanxi, il vendit ses propres biens pour s’acquitter des taxes de ses citoyens, endettés en raison d'une famine. Son sacrifice généreux lui gagna le respect et la confiance de ses citoyens. En conséquence de sa bonté, sa famille fut récompensée par la chance.
  • Des prisonniers tiennent leurs promesses et reçoivent le pardon

    Wang Jia servait en tant qu’aide militaire du fonctionnaire en charge de la Préfecture de Qi, l’actuelle Province du Shandong, durant les dernières années des Dynasties du Nord et du Sud (420 – 590 av. n-è) et de la Dynastie Sui (589 – 618 av. n-è). Wang, qui n’était pas connu pour avoir accompli quoique ce soit de remarquable, reçut pour mission d’escorter plus de 70 prisonniers à la capitale ...
  • La Chine ancienne: Quand la société était régie par la musique et les rites

    "Li", couvrant le rituel, la bienséance, et l'étiquette, est la troisième des cinq vertus cardinales enseignées par Confucius. Cet idéal est souvent abordé de pair avec la théorie musicale chinoise, tel que consigné dans les textes de conversation compilées par les disciples du sage ...
  • Venir à bout d’un tyran démon : le bien l’emporte sur le mal dans un récit populaire chinois

    La culture traditionnelle chinoise accorde une grande importance à cinq vertus fondamentales : la bienveillance, la loyauté, la courtoisie, la sagesse et la foi. Elles ont été transmises à travers les siècles depuis Confucius. La deuxième de ces cinq vertus, la loyauté, se traduit en chinois par "Yi" et englobe aussi le principe de justice ...
  • Un fonctionnaire qui se savait être au service des gens

    À l'âge de 19 ans, dans la septième année du règne de l’Empereur Kangxi (1668 AJC), Yu Zongyao prit ses fonctions en tant que commissaire du canton de Changshu. Ce qui était alors Changshu est aujourd’hui la province du Jiangsu. En tant que commissaire du canton, Yu initia des réformes, instaurant des mesures efficaces tout en mettant fin aux pratiques de corruption
  • Retourner la faveur fût-ce en prenant des risques

    Dans la huitième année de l’ère Shunzi (1651 ap. J.C), sous la dynastie Qing (1636 – 1912 ap. J.C), Song Bida prit ses fonctions en tant que commissaire du canton de Ningdu, l’actuelle province de Jiangxi. Une grande partie des terres du canton étaient stériles et la plupart des gens vivait dans la pauvreté ...
  • Un insatiable penchant pour la luxure entraine de mauvais retours

    Lu Qing vivait durant la dynastie Ming (1368-1644). Il était un voyeur invétéré et trouvait son plaisir dans des passe-temps obscènes. En conséquence de ses désirs pervers, sa famille vivait dans la pauvreté, et ses deux fils étaient morts alors qu’il avait à peine trente ans. Un jour, Lu mourut et alla en enfer ...