L’agenda secret du numéro un des sciences chinoises : Lavage de cerveau, génocide et torture

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Le Vice Secrétaire du Parti communiste pour l'Académie des Sciences reçoit un jugement par défaut dans une cour de justice de New York


M. Guo Chuanjie, le Vice Secrétaire du Comité du Parti communiste chinois à l'Académie des Sciences chinoise, pris en photo ici alors qu'il se voit remettre des documents juridiques dans Battery Park de New York. Le jugement, inscrit contre lui cette semaine, reposait sur le génocide, la torture et les crimes contre l'humanité.
NEW YORK (FDI) – À l'ombre de la Statue de la Liberté de New York, un homme ostensiblement bien accueilli par les chefs de file de la communauté scientifique américaine s'est vu remettre un document qu'il n'attendait probablement pas. C'était une citation à comparaître et une plainte, le poursuivant en justice pour génocide, torture et crimes contre l'humanité devant la cour fédérale des Etats-Unis de New York, et révélant son rôle dans une campagne de persécution secrète et massive exécutée sous le manteau dans son pays natal, la Chine.

M. Guo Chuanjie, Vice Secrétaire à l'Académie Chinoise des Sciences du Comité du Parti communiste chinois, était en visite aux Etats-Unis au début de l'année avec une équipe d’enseignants de l'Académie afin de rencontrer d'anciens élèves de l'Académie qui travaillent aux Etats-Unis. Cependant, ses compatriotes aux USA ne connaissaient probablement pas l'autre titre de M. Guo: Directeur adjoint responsable du "Bureau de Contrôle du Falun Gong" opérant à l'intérieur de la dite Académie.

L'académie est une façade pour la Gestapo chinoise

Le "Bureau de Contrôle du Falun Gong" lequel supervise le bien connu " Bureau 610", est une organisation extrajudiciaire secrète avec des pouvoirs au-dessus et au delà de tout appareil d'agences légale ou d'application des lois en Chine, est chargé d'une mission simple: exterminer le Falun Gong aussi bien en Chine qu'à l'extérieur de la Chine. Depuis des années, le Bureau 610, aussi connu comme la "Gestapo chinoise", a opéré derrière la scène, commandant des ressources énormes et engageant tous les niveaux de l'appareil du Parti communiste chinois, pour attaquer et éliminer le Falun Gong par tout les moyens ainsi que ceux qui y croient et qui le soutiennent.

Ces moyens incluent souvent des incursions de nuits illégales chez les gens, la révocation des finances et de la propriété, l'annulation d'emplois et même de mariages. Dans beaucoup de cas les victimes sont alors soumises à la détention Illégale sans représentation judiciaire, aux camps de travaux forcés, à la torture, et dans des milliers de cas, à la mort. En utilisant les mêmes moyens que le Parti communiste chinois a employé pour accroître son pouvoir, le Bureau 610 distille la peur, offre des dessous de table, et arrache finalement l'obéissance.

Une partie de ce qui a permis au bureau 610 d'effectuer sa mission illicite et souvent terrifiante est exactement ce que M. Guo apporte sur la table : conduite et influence à beaucoup de niveaux de la société chinoise. Par exemple, à une réunion pour l'Académie du Comité d'expansion du Parti communiste chinois, M. Guo a mis l'accent sur l'importance de "réformer" les pratiquants de Falun Gong. Cette "réforme" est un euphémisme pour le lavage de cerveau brutal et souvent prolongé qui finit soit quand la victime abandonne sa foi, ou meurt de la torture.

Bien qu'il ait reçu une convocation en justice le 23 février 2005, M. Guo n'a jamais répondu en aucune façon à la poursuite. Plus tôt cette semaine, le Juge Kaplan de la Cour du District des Etats-Unis pour le District Méridional de New York a prononcé un jugement par défaut contre M. Guo. Les charges incluent le génocide, la torture, la violation du droit à la vie, du droit à la liberté, et d'autres crimes contre
l'humanité.

Collègues trompés

Tant d'universitaires, de scientifiques, d'éducateurs et d'hommes d'affaires en occident n'ont pas réalisé les agissements du Bureau 610 ainsi que ceux du Parti communiste chinois pénètrent partout. M. Guo n'est pas une exception – en fait, le PCC a à plusieurs reprises invité tous les niveaux du gouvernement chinois et de ses tributaires à s'associer vigoureusement à la campagne illicite et sanglante contre le Falun Gong.

Les complices vont des niveaux supérieurs du Politburo du Parti communiste chinois jusqu’aux branches gouvernementales régionales et au niveau de la communauté. La police dans chaque ville a reçu des quotas pour l'arrestation et la "conversion" des pratiquants de Falun Gong. Les professeurs des collèges et des écoles élémentaires ont reçu du matériel anti-Falun Gong pour l'enseignement, avec les instructions de dénoncer tous les étudiants qui ne veulent pas l'apprendre. Des étudiants sont incités à répéter la propagande du Parti sur des tests normalisés, dans lesquels répondre en faveur du Falun Gong signifie abandonner toute chance d'avancement au niveau suivant.

Voilà le contexte dans lequel, M. Guo, en apparence un représentant de la science et du milieu universitaire, est arrivé à New York. Heureusement dans cette affaire, il s’est vu offrir un avant-goût de la justice M. Guo doit être jugé responsable de ses crimes. Mais également, à un moment où la Chine est prête à bondir pour rejoindre le monde à la pointe de la recherche scientifique, M. Guo doit répondre à ses détracteurs dans la communauté scientifique, ainsi que pour les atrocités qu'il a commises contre les pratiquants de Falun Gong.

Plaignants soumis au lavage de cerveau et à la torture

Un des plaignants, Mme Liu Jinghang, était un chercheur scientifique dans l'Académie que M. Guo dirigeait, et avait gagné des récompenses pour son travail scientifique. Parce que Mme Liu n'aurait pas signé des papiers de renonciation à sa croyance dans le Falun Gong, elle a été arrêté et détenu 6 mois. Sa maison a été pillée à 3 reprises. En février 2000, Mme Liu a été arrêté arbitrairement, détenu, et condamnée à une peine de 3 ans de prison.

Lors de son séjour en prison, Mme Liu a enduré des tortures cruelles, telles que "Dormir sur le Lit de la Mort" dans le quel ses quatre membres ont été étirés et attachés aux quatre coins d'un lit glacé en métal. Elle n'était pas autorisée à se lever pour manger et boire ni aller aux toilettes. Mme Liu a été soumise à des techniques de lavage de cerveau, comme d'être forcée de regarder des vidéos contenant des reportages fabriqués vilipendant le Falun Gong.

Le mari de Mme Liu, M. Li Baoqing, est une autre plaignant dans le procès. Il était Directeur de Doctorat des étudiants et également un chercheur scientifique à la même Académie. Il était un récipiendaire " de la Récompense spéciale nationale de contribution " présenté par le Conseil d'état, et avait également reçu une récompense en tant qu'employé exceptionnel de l'Académie. Seulement pour avoir pratiqué le Falun Gong, M. Li a été détenu 4 fois. Le 1er février 2001, plusieurs hommes de fortes statures ont enlevé M. Li en lui couvrant la tête d'un sac. M. Li a été retenu au "Camp de Re-éducation de Xin'an" et obligé de se soumettre à des classes de lavage de cerveau. Il a été forcé de regarder des vidéos et du matériel remplis de fausse propagande anti-Falun Gong, et il a été torturé physiquement et mentalement. Plus tard le couple s'est échappé et maintenant ils habitent en Australie.

Deux autres plaignants restent actuellement anonymes en raison des menaces existantes du Parti communiste chinois sur la vie et le bien-être des membres de leurs familles et de leurs amis qui sont en Chine.

POUR PLUS d'information sur les procès intenté au nom des pratiquants de Falun Gong dans le monde, visitez :

Source :
http://www.faluninfo.net/fdifocus.asp?FocusType=Lawsuits

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.

* * *

Facebook Logo LinkedIn Logo Twitter Logo Email Logo Pinterest Logo

Vous pouvez imprimer et faire circuler tous les articles publiés sur Clearharmony et leur contenu, mais veuillez ne pas omettre d'en citer la source.