M. Li Dezhong était commissaire dans le département de police de la province du Heilongjiang. Il commença à pratiquer le Falun Gong en 1996 et suivit les principes Authenticité-Bienveillance-Tolérance pour être une bonne personne. Après que le PCC a lancé sa persécution du Falun Gong en juillet 1999, il fût placé sous assignation à résidence et son domicile fût fouillé. Sa maladie de foie réapparut et il mourut fin janvier 2000, à l’âge de 49 ans.
Guéri d’une hépatite B et considéré comme un fonctionnaire de police incorruptible
M. Li avait servi 17 ans dans l'armée. En 1984, il fût muté dans le civil et se vit offrir un poste dans les services de police de la province du Heilongjiang. En 1996, il devint commissaire de police.
En 1996, il emprunta et lut le livre Zhuan Falun lors d’un voyage d’affaires en train. Il se rendit sur un site de pratique et commença à pratiquer le Falun Gong, il devint ultérieurement l’assistant du site.
Grâce à la pratique de Falun Gong, il fût guéri d’une hépatite B. Il prenait légèrement gain et renom. Il partageait un petit bureau jusqu’en 1999 lorsque son responsable lui a donna son propre bureau.
M. Li était responsable des évaluations et récompenses au département de police de Heilongjiang. Il s’en tenait lui-même à des critères stricts et refusait tout cadeau. Lorsqu’une section de police lui envoya un cadeau en or, il le retourna. Ils le lui envoyèrent de nouveau et il le refusa une deuxième fois. A la troisième tentative, il le mit simplement dans dans une enveloppe avec la mention "confidentiel " et le renvoya. En une autre occasion, une personne responsable d’un projet vint à son domicile avec un cadeau, mais il refusa simplement d’ouvrir la porte.
Domicile fouillé, placement en résidence surveillée et privé de sommeil
Le 20 juillet 1999, le PCC commença à persécuter Falun Gong. Cette même nuit, la police fouilla le domicile de M. Li Dezhong et de son beau-père. Ils placèrent M. Li en résidence surveillée. Son superviseur exerça des pressions sur lui pour lui faire abandonner ses convictions, le privant de sommeil et l'obligeant à regarder des programmes TV qui calomniaient Falun Gong 24 heures sur 24. Il fut menacé par la police armée pointant leurs fusils. Un membre du Bureau 610, autrefois son ami, le menaça, affirmant : "Je peux te battre à mort ". Après 13 jours d'un tel régime, M. Li était mentalement et physiquement stressé. Son foie commença à lui poser des problèmes. Il fût autorisé à rentrer chez lui, mais fût renvoyé de son emploi. À cette époque, Chen Yongcai, responsable du département de police de Heilongjiang, l’informa en personne que s’il abandonnait Falun Gong, il pourrait retrouver son emploi. M. Li répondit : " le Falun Gong m’a donné une corps sain et m’enseigne à être une bonne personne. Puisque le Parti communiste n’autorise pas ses membres à pratiquer le Falun Gong, je suis disqualifié et je peux démissionner du Parti."
M. Li Dezhong décéda le dernier jour de janvier 2000. La persécution par le PCC avait eu raison de la vie d’encore une bonne personne.
Traduit de l'anglais :
http://en.minghui.org/html/articles/2013/1/13/137095p.html
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