Publications

  • La presse canadienne: Un groupe parle de prisons et de torture chinoise à proximité des sites olympiques

    OTTAWA – Les défenseurs du Falun Gong disent que les autorités chinoises torturent des prisonniers de conscience dans des camps de travail et des prisons proches des sites olympiques. Ils ont publié un guide complet sur Internet avec des cartes, des descriptions et des photographies de sept centres de détention où croupissent, disent-ils, des centaines de milliers de prisonniers. La Coalition d'Investigation sur la Persécution du Falun Gong dit que les dissidents politiques et autres prisonniers travaillent 18 heures par jour dans ces camps, qu'on leur enfonce des aiguilles électriques, les torturent et qu'ils endurent des heures sans fin de "rééducation de la pensée".
  • La presse française couvre l’interruption de la diffusion de NTDTV en Chine

    Depuis l'interruption des signaux de NTDTV en Asie par l'opérateur satellite Eutelsat, la mobilisation n'a cessé de croître. En France des manifestations quotidiennes et une conférence de presse devant Eutelsat, une information aux parlementaires européens à Strasbourg suivie d' une conférence de presse, une campagne d'information devant la Caisse des dépots et consignations, un des principaux actionnaires d'Eutelsat puis devant l'Assemblée nationale, suivies d'une conférence de presse à l'Assemblée nationale le 22 juillet commencent à porter leurs fruits en dépit de la défection des rédactions en cette période estivale . Entre autres Le Monde et La Croix ont couvert la conférence de presse à l'Assemblée mercredi.
  • L’Est républicain : Des traitements inhumains – Prélèvement d’organes : des preuves – Un génocide culturel

    Le 9 juillet 2008, l’Est républicain, premier quotidien de l'est de la France, consacrait un triple article en pleine page accompagné de trois photos à la persécution du Falun Gong en Chine, qui était également publié sur leur site Internet. Ya Jun, une jeune femme chinoise qui pratique le Falun Gong et qui a pu rejoindre la France en 2006 après avoir vécu le calvaire des camps de travaux forcés chinois y était interviewée.
  • L'Est républicain : "Une pratique réprimée"

    "Les émotions sont fortes. La mémoire fait revivre de fragiles cicatrices laissées par la torture, la prison et la mort. Mais coûte que coûte, Yajun Feng , 39 ans, née dans la province de Liaoning; en Chine, est déterminée dans son nouveau combat à témoigner d'un génocide associé à une pratique aujourd'hui bannie en Chine...
  • Un mensuel français publie une interview d'une pratiquante de Falun Gong : "Le calvaire de Yajun"

    " Choc" un mensuel consacré à des enquêtes et des reportages insolites alloue, dans son numéro de mai 2008, 5 pages de sa rubrique ‘enquête’ à une interview d’une pratiquante de Falun Gong torturée et persécutée en Chine, laquelle, après avoir fui la Chine à pieds avec son frère, a obtenu un statut de réfugiée des Nations Unis et est depuis un an arrivée saine et sauve à Paris. Son frère Jian réside aujourd’hui à New-York. " Selon les dernières nouvelles venues de Chine, les noms de Yajun et de son frère figurent toujours sur la liste noire des individus activement recherchés."
  • Südwest Press (Allemagne): ‘’ Ne pas adopter ses propres standards’’

    "En réalité, la torture et les maltraitances sont légalement prohibées en Chine. En tant qu’état, on doit faire chaque effort pour mettre en application de telles prohibitions. C’est là que les difficultés apparaissent. Lorsqu’il s’agit de minorités ethniques comme les Tibétains et les Ouighours, et d'affiliations religieuses, comme le Falun Gong, nous craignons que la torture et les maltraitances ne soient acceptées. Nous pouvons dire en réalité qu’elles sont systématiquement utilisées. Malheureusement, les politiciens acceptent généralement que le seul développement économique et l’expansion du commerce en Chine amèneront un changement pour le mieux sur le long terme. Ils utilisent cette excuse depuis la fin des années 70..."
  • Le magazine de politique mondiale : Réponse à la Chine

    La vague d'importations chinoises dangereuses, allant des pneus usagers au dentifrice contaminé, rend perceptible les dangers des politiques des Etats-Unis et de l'Union Européenne envers la Chine. Depuis le Président Nixon, les Etats-Unis ont cherché des engagements constructifs afin d'encourager la réforme économique et politique. En ouvrant le commerce, les Etats-Unis cherchent à démontrer aux citoyens chinois les valeurs démocratiques, à insuffler un changement de système et, en fait, ajouter un autre état responsable et prospère à la communauté des nations occidentales...
  • Hollande : Procès à la Hayes – la déclaration d’un criminel qui prétend pratiquer le Falun Gong est rejetée par des experts du tribunal

    En octobre 2006, une tragédie a eu lieu à Alphen ann de Rjn, où un malade mentale d’origine chinoise a découpé le corps de sa victime en morceaux pour le cuire. Le procès a eu lieu à la Hayes et il était prévu que le verdict tomberait le 22 juin. Récemment les médias ont commencé à suivre l’affaire avec intérêt. Sans avoir enquêté et vérifié les éléments, le Singtao Daily, le 11 juin 2007 et le China and Holland Business le 15 juin 2007 ont rapporté que le meurtrier (G.L.L) avait un lien avec la pratique du Falun Gong...
  • La Grande Epoque : Poursuite judiciaire pour persécution signifiée au ministre chinois du Commerce en visite au Canada

    OTTAWA – Bo Xilai, le ministre du Commerce de la Chine en visite au Canada, a reçu signification d’une procédure judiciaire cet après-midi à l’hôtel Westin à Ottawa, pour sa persécution du groupe spirituel Falun Gong en Chine, ont affirmé des témoins. Lucy Zhou, de l’Association Falun Dafa du Canada a déclaré que Zhang Lingdi avait signifié les procédures à Bo dans le garage souterrain du stationnement de l’hôtel après que Bo soit revenu de sa visite au ministère des Affaires étrangères du Canada. Le père de Zhang Lingdi, Zhang Kunlun, est un citoyen canadien qui a été torturé par les autorités de Chine pour sa croyance dans le Falun Gong.
  • Royaume-Uni, Sunday Herald : Faire pression sur le gouvernement britannique pour mettre fin aux prélèvements d'organes chinois?

    Un grand expert de l'Asie a demandé à la Grande-Bretagne "d'engager maintenant une action" contre la Chine, qui dit-il continue de prélever des organes "à la carte" sur des pratiquants du mouvement Falun Gong réprimé en Chine qui sont exécutés dans les prisons. David Kilgour, ancien secrétaire d'Etat canadien pour la région Asie Pacifique, qui visitera le Parlement cette semaine, a dit au Sunday Herald que la Grande-Bretagne ne s'oppose pas à la question des prélèvements d'organes et permet ainsi aux fonctionnaires chinois de tuer des prisonniers pour leurs organes en toute impunité.
  • China Press (Malaisie) : les enquêteurs canadiens publient leur rapport sur les prélèvements d’organes

    Le 2 février, China Press, le deuxième plus grand journal chinois en Malaisie, a rapporté que David Kilgour, l'ancien député canadien et secrétaire d'état pour la région Asie-Pacifique et David Matas, un avocat international renommé des droits de l'homme ont récemment présenté "Prélèvements sanglants ", la version révisée de leur rapport sans précédent sur les prélèvements d'organes en Chine. Selon China Press, l'Armée de libération communiste chinoise prélève les organes sur des victimes, qui sont la plupart du temps des pratiquants de Falun Gong, afin de pratiquer des greffes d'organes sur beaucoup de patients y compris des étrangers.
  • Epoch Times : Le régime chinois admet prélever les organes des prisonniers

    CHINE—Au milieu du mois de janvier 2007, le site Internet chinois de la BBC a publié une interview concernant la collecte d'organes en Chine. Pour la première fois, le porte-parole du Ministère de la Santé en Chine, Mao Qunan, a admis la pratique des prélèvements d'organes sur les prisonniers exécutés en Chine, ce qu'il avait publiquement désavoué auparavant. Cependant, Mao a esquivé les preuves clés de la collecte d'organes sur les pratiquants de Falun Gong et a démenti cette accusation.
  • Bayerwald Echo (Allemagne) : Couvrir la Journée des Droits de l'Homme

    Samedi, un film a été projeté en tant que partie d'un atelier de Falun Gong afin de commémorer la Journée Internationale des Droits de l'Homme. Le D. Kiehl, un membre de la "Coalition d’Investigation sur la Persécution du Falun Gong" a parlé de la répression, de la persécution et du génocide du peuple tibétain, ainsi que de la persécution des chrétiens et des pratiquants de Falun Gong par le Parti communiste de la Chine. Par exemple, il est impossible d'expliquer la provenance des 41,000 organes utilisés pour la transplantation en Chine entre 2000 et 2005.
  • Le Soir (Journal belge) : Réprimer le tourisme des organes

    "Commander un rein sur Internet et bénéficier à cette fin de l’exécution d’un condamné à mort. Il y a peu, l’information aurait mérité de figurer dans un roman d’anticipation. Mais il semble qu’aujourd’hui, en Chine, elle puisse s’écrire au présent de l’indicatif. Le sénateur VLD Patrick Vankrunkelsven a tenté l’expérience. Par le biais d’un site Internet, il a pris contact avec un intermédiaire japonais. Celui-ci lui a confirmé que l‘organe commandé - 50.000 euros - provenait « d’une personne emprisonnée âgée d’une vingtaine d’années ».Le sénateur déposera une proposition de loi visant à réprimer cette pratique."
  • Kyodo News : Un groupe asiatique appelle la Chine à autoriser l’enquête sur les prélèvements d’organes

    Le Kyodo News a rapporté dans un reportage publié le 19 décembre 2006 que l’ancien démocrate Szeto Wah a déclaré qu'un groupe examinant les allégations de prélèvements d’organes sur les pratiquants de Falun Gong par les autorités chinoises remettra une pétition à un fonctionnaire chinois à Hong Kong, demandant la permission de lancer une enquête en Chine.