Témoignages individuels

  • La persécution insensée des pratiquants de Dafa de la ville de Qiqihar

    Mme Li Fengy a 36 ans, et fut enlevée en avril 2002, puis emmenée au poste de police. Quatre officiers de police l’ont torturée. Ils l’ont attachée sur un « Banc du tigre »*. Deux policiers lui ont saisi les jambes, chacun une jamb. Les deux autres policiers se sont alors assis sur ses jambes, pour les maintenir à terre. Ils ont menotté ses poignets derrière son dos, avec un bras par-dessus l’épaule pour rejoindre l’autre bras par derrière. La police a tiré ses bras avec tant de force que ses épaules ont été disloquées et que ses bras sont devenus plus longs que la normale. Elle a alors été envoyée à l’hôpital.
  • Informations détaillées sur la persécution de Madame Li Huixin et de ses deux soeurs par le « bureau 610 » à Shijiazhuang, province de Hebei

    « le bureau 610» * de Shijiazhuang a persécuté cruellement Li Huixin et ses deux soeurs. La soeur la plus âgée a été souvent enlevée; la seconde soeur a été torturée au point d'en rester invalide puis soumise de force à un lavage de cerveau; la plus jeune soeur a été torturée au point d'être paralysée complètement et sa famille a été brisée.
  • Les hauts murs et la torture au centre de détention n°3 de la ville de Changchun ne peuvent briser la volonté des pratiquants de Dafa

    Les pratiquants sont entièrement désintéressés. Ils continuent à aider les autres malgré cet environnement difficile. Quand un nouveau arrive et n'a pas les réserves de base, ils offrent leur aide sans condition. Ils ne font aucune distinction entre les personnes et sont très généreux face aux besoins des autres.
  • Se souvenir de notre compagnon de pratique Wang Kuming

    J’ai rencontré Wang Kuming en juillet l’an dernier. Sa personnalité insouciante et pleine d’humour et son sourire le rendaient extrêmement approchable. Après l’avoir connu pendant deux mois, et avoir fait l’expérience de son désintéressement et de son attention pour les autres, nos propres faiblesses sont devenues évidentes. Wang Kuming était toujours occupé à distribuer des documents de Dafa, mais il pensait souvent à ses compagnons de pratique. A l’époque j’ai été forcé de quitter la maison à cause de la persécution, et n’avais plus rien à moi. Lorsqu’il a remarqué le mauvais état de mes vêtements, il est allé chercher des vêtements chez d’autres pratiquants que je puisse porter. Bien que ce ne soit qu’une petite chose, cela dénotait sa grande compassion.
  • Relation prédestinée

    Après s’être rendu compte de l’état dépressif du vieil homme, le pratiquant lui apporta à manger et s’assit puis il commença a lui dire la vérité sur la persécution lui révélant les principes d’être un homme. Après leur conversation, le vieil homme changea d’état d’esprit et ne pensait plus au suicide.
  • Sept pratiquants Dafa de la ville de Guiyang, Province de Guizhou condamnés illégalement à une peine de plus de 10 ans de prison

    La police du Centre de Détention # 2 oblige les pratiquants Falun Dafa qui ont fait une grève de la faim à dormir enchaînés par les chevilles, sur le "lit de personne décédée*". Le policier Chen Gang, un membre de l’Équipe d’enquête criminelle est tout particulièrement féroce. Il a brûlé la photo de Maître sur le plancher et a forcé les pratiquants de la piétiner. Il a crié, « Ceci vous démontre le pouvoir de la police. »
  • La violence et les mensonges ne peuvent changer le cœur des gens : certains reprennent la pratique du Falun Gong.

    Certains ont senti que les mots et actions résultant du lavage de cerveau forcé étaient contraires à leur conscience. Maintenant que la pression et les mensonges n’étaient plus là , presque 100% d’entre eux ont repris la pratique du Falun Dafa .Ils ont repris, en exposant la perversité et en clarifiant les faits aux gens et ils ont travaillé très dur. Certains d’entre eux ont spontanément formé des groupes d’étude de la Loi, faisant les exercices, envoyant des pensées droites et partageant leurs expériences ensemble. L’environnement est plein de bienveillance, d’harmonie et de joie.
  • M. Liu Feng, un étudiant d'Irlande a été kidnappé pendant qu’il rendait visite à ses parents en Chine, et est maintenant détenu au Camp de Travaux Forcés de Dalian

    Je suis un pratiquant du Falun Gong. Vers la fin d’octobre 2002, j’ai été détenu dans la prison d’Yaojia de la Ville de Dalian, et M. Liu Feng était dans la cellule voisine. A ce moment, j’ai appris que M. Liu était étudiant a l’étranger en Irlande et avait été kidnappé par les policiers pervers au mois d’avril 2002, lorsqu’il était venu rendre visite à ses parents. Depuis, il avait été enfermé a la prison de Yaojia.
  • Madame Shao Ying, survivante des "atrocités du 20 juin" au camp de travaux forcés de Wandjia est à nouveau torturée

    Madame Shao Ying, pratiquante de Dafa, universitaire diplômée, a été arrêtée le 3 janvier 2003 [ calendrier lunaire chinois ] par la police de la ville de Harbin. En 1999, Shao Ying a été illégalement arrêtée pour la première fois et a été envoyée au camp de travail forcé de Wanjia où elle a été torturée pendant deux années. Elle est une survivante "des atrocités du 20 juin " [pendant cette période, beaucoup de pratiquants ont été brutalement torturés de manière prolongée]. Deux ans après, elle a été libérée et a été forcée de partir de la maison pour éviter une arrestation illégale. Son ancienne unité de travail, le bureau de la sylviculture, et le département local de police l'avaient poursuivie.
  • La lettre d'un enfant et cinq cents

    Aujourd'hui, j'ai reçu une lettre d'un jeune pratiquant de Dafa. La personne qui m'a apporté la lettre m'a dit qu'un jeune pratiquant y condamnait Jiang. J'ai déplié la feuille, et ai pu voir l'écriture enfantine de la jeune personne. Il avait remplacé les mots qu'il n'avait pas su écrire par le Pinyin ( lettres phonétiques ). La lettre disait : "Jiang,Tu m’as fait mal et m’a fait perdre ma mère. Le mal que tu as fait à ma famille a été vraiment tragique. Tu as forcé ma mère et mon père à divorcer et ma mère et moi à quitter la maison."
  • Un citoyen canadien expose la persécution de sa famille par la police de Shanghai

    La quatrième fois fut pendant la fête du printemps 2001, lorsqu’un policier de Shanghai a intimidé Li Chun en disant : « Je vais te frapper à terre si tu ne m’écoutes pas. » Li Chun a répliqué : « Je vais faire appel pour cette situation aux chefs d’en haut. S’ils ne font pas attention, je vais faire appel au gouvernement central. » Li Chun a écrit une lettre d’appel. Plus tard, des policiers ont arrêté Li Chun et l’ont gardé pendant plus d’un mois. Les policiers ont dit que Li Chun avait dit quelque chose qu’il n’aurait pas dû dire et qu’il avait écrit quelque chose qu’il n’aurait pas dû écrire.
  • Le manuscrit de Charles Li raconte en détail la situation à l’intérieur de la prison (photos)

  • Cette tyrannie effrénée est un fléau pour tous les chinois

    Un citoyen chinois envoya un message sur Internet qui disait, « il a fallu une quantité énorme de bestialité et de brutalité pour battre à mort un jeune homme innocent, mais il a fallu une double quantité de bestialité et de brutalité pour dissimuler ce crime par la force. »
  • La canadienne, Li Jinyu, appelle à l'aide pour secourir son frère, Li Chun

    J'ai téléphoné à mon frère en Chine durant la soirée du 22 mai pour juste découvrir qu'il avait été enlevé par la police. Son nom est Li Chun. Il a pratiqué Falun Dafa depuis 1998. Il a refusé de renoncer à la pratique après que la persécution ait commencé le 20 juillet 1999 et il a souffert de la persécution. Son épouse et lui ont été détenus trois fois et ont supporté la torture physique et mentale. Ils ont été privés de sommeil pendant 48 heures sans interruption. Auparavant ma belle-soeur avait été suspendue par les poignets avec des menottes pendant trois jours et nuits, avec des bras pliés vers l'arrière, juste parce qu'elle avait fait des exercices de méditation à l'intérieur du centre de détention.
  • Persécutée violemment dans un camp de travail de Pékin, la japonaise Kaneko Yoko est dans une situation critique et est envoyée à l’hôpital

    En raison de la pression exercée par la communauté internationale et de son extrême faiblesse, les dirigeants du camp de travail pour femme de Pékin ont transporté Kaneko Yoko à l’hôpital.