Guo Xiaohui, pratiquante de Dafa, fut arrêtée par les policiers du district de Lubei dans la ville de Tangshan alors qu’elle préparait des documents révélant la vérité sur la persécution dans un atelier en novembre 2003. Elle a souffert plusieurs tortures inhumaines comprenant la privation de sommeil pendant sept jours et nuits, être attachée à une chaise de métal, être brutalement battue, avoir ses cheveux tirés, être frappée au visage et les chocs électriques par des fils d’un téléphone à manivelle enroulés autour de ses dix doigts.
Gao Xiaohui a été électrocutée au point que de la mousse lui sorte de la bouche et que tout son corps se convulse. Les policiers ont versé de l’eau froide sur ses doigts et ont continué jusqu’à ce qu’elle tombe inconsciente et que son cœur se détraque. Relâchée de la chaise de métal, Mme Guo a perdu conscience. Elle a été examinée à l’Hôpital d’Ankang à Tangshan et ils ont constaté que le bas de sa colonne vertébrale était disloqué.
Mme Guo a commencé une grève de la faim pour protester d’une si inhumaine persécution. Les policiers ont utilisé la tactique du gavage forcé, pour forcer la nourriture dans son estomac par le moyen d’un tube, et en lui injectant un liquide par voie intraveineuse. Ils lui ont aussi injecté un produit dommageable pour le système nerveux.
Après 23 jours de persécution, Guo Xiaohui a été illégalement envoyée au Camp de Travail N°1 de la ville de Tangshan où ils ont continué à la torturer. Elle a été enchaînée à un lit mains et jambes immobilisés sans qu’elle puisse même aller aux toilettes.
Guo a de nouveau fait une grève de la faim pour protester de la persécution. Le directeur du camp de travail, Xuan Shujun, a ordonné au médecin Chen Zhengtang de la nourrir de force en lui insérant un tube dans l’estomac. Remuant le tube, il lui a endommagé l’estomac, causant des saignements, puis de l’eau salée a été versée amenant mme Guo à deux doigts de la mort. Les autorités du camp de travail l’ont même condamnée à 50 yuan un « tarif de gavage forcé » [500yuan équivaut au revenu moyen d’un travailleur urbain en Chine]
Le policier Liu Xianghong a attaché Guo Xiaohui sur une chaise de métal et ne l’a pas laissée aller aux toilettes. Mme Guo a développé une forte fièvre. Le directeur du camp de travail a demandé aux détenus criminels de la maintenir de force sur le lit et de lui injecter des infusions intraveineuses. Elle été giflée, insultée grossièrement et son bras a été perforé au hasard avec des aiguilles.
Guo Xiohui a été illégalement détenue pendant plus d’un an au Camp de Travail Forcé n°1. Lorsque les plus hautes autorités venaient contrôler les détentions prolongées, le camp la cachait ou la transférait ailleurs, et ils la renvoyaient après le passage des inspecteurs.
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