La Télévision Nouvelle Dynastie Tang interview un membre du Congrès, Robert Andrews du New Jersey à propos du cas de Charles Li

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Journaliste : Nous savons tous que ce citoyen américain, Charles Li, a été arrêté lorsqu’il a atterri à l’aéroport de Guangzhou et que le Gouvernement Chinois a dit qu’il avait enfreint la loi chinoise. Il a dit qu’il n’avait rien fait de mal et qu’il avait été arrêté simplement parce qu’il pratiquait le Falun Gong. Nous savons que vous avez écrit une lettre et que vous avez beaucoup fait pour essayer de le ramener aux États-Unis. Pouvez-vous en faire part au public?

Membre du Congrès, M. Andrews : C’est une question de faire connaître la vérité et d’être certain que la loi est respectée. Le Gouvernement Chinois a insinué que M. Li a enfreint la loi, mais il ne lui a pas fait savoir de quoi il était accusé, ni ne lui a donné le droit à la consultation. Il n'a pas laissé le monde savoir quelles accusations étaient portées contre M.Li, non plus. Je crois qu'il y a un question légitime à savoir si le [Gouvernement] Chinois a violé la loi en violant les droits humains de M. Li. En demandant l’attention de notre Ministère de l’Etat, nous espérons que nous pourrons obtenir une audition et un procès impartial pour M. Li et éventuellement, sa libération.

R : Nous savons que vous avez écrit une lettre à Colin Powell , avez-vous reçu une réponse?

CA : Nous attendons encore la réponse du Ministère de l'Etat et plus récemment nous avons écrit au Gouvernement Chinois lui-même, à l’Ambassade ici aux États-Unis et nous avons demandé un compte-rendu directement de l’Ambassade sur cette question. Nous avons l’intention de rester maître de la situation, d’être persistant et d’obtenir une réponse.

R : Quand pensez-vous que vous recevrez une réponse?

CA : Pas aussi vite que j'aimerais en ce qui me concerne. La lettre a été écrite le 22 janvier, il y a déjà deux semaines. Certainement dans un autre dix jours ou plus, nous allons revenir à la charge et insister pour obtenir une réponse.

R : Après que plusieurs chinois américains ont entendu cette nouvelle, ils sont devenus très inquiets au sujet de leur voyage à l’étranger, ou de leur sécurité en Chine, en tant que citoyen américain. Ils aimeraient savoir par exemple, s’ils vont en Chine en voyage d’affairs ou en visite personnelle, seront-ils toujours protégés par la loi américaine, en tant que citoyen ou résident américain?

CA : Bien, ils devraient l’être. Dans le cas de M. Li, c’est une épreuve à savoir si la réponse à cette question est « oui » ou « non ». En théorie, chaque citoyen Américain qui voyage à l’étranger est protégé par nos lois et la légitimité de notre Gouvernement. Je ne crois pas que M. Li a reçu cette protection. Et je crois que c’est important que notre Ministère de l'Etat lui offre cette protection, non seulement pour son bien, mais à l’égard de tout américain voyageant à l’étranger et en tout lieu.

R : Nous avons entendus quelques représentants dirent que M. Li a enfreint la loi chinoise et que la Chine a une loi; que nous devons vraiment faire attention à nos relations entre les États-Unis et la Chine et que nous voulons protéger nos intérêts d’affaires, et tout ça? Qu’en pensez-vous?

CA : Si quelqu’un a enfreint la loi, alors regardons les preuves. Ayons un procès public ouvert avec le droit de contre- examiner et le droit à un procès en bonne et due forme. Et si quelqu’un a enfreint la loi, alors un pays est certainement dans son droit de punir cette personne. Mais je crois que la preuve dans ce cas suggère fortement que M. Li est persécuté pour ses croyances religieuses. Et je pense que ce n’est pas une enfreinte de la loi par M. Li, je pense que c’est une violation de la loi internationale par le Gouvernement Chinois. Je pense que c’est un droit humain fondamental pour quelqu’un de pouvoir pratiquer sa religion sans contrainte, comme il (elle) l’entend. Et je crois que c’est la situation ici avec M. Li.

R : Et nous savons aussi que vous avez fait beaucoup de travail pour secourir les membres de la famille de citoyens américains qui sont pratiquants du Falun Gong et sont détenus en prison et persécutés en Chine. Comment avez-vous commencé ceci? Nous savons aussi que vous avez commencé une lettre au New Jersey, que vous avez co-signé ainsi que neuf membres du Congrès et qui a été envoyée au Département d'État.

CA : J’ai été visité dans mon bureau par un nombre d'électeurs qui demeurent dans la région, qui ont des membres de leur famille qui pratiquent le Falun Gong et qui sont inquiets au sujet de cette persécution religieuse. Ils m’ont informés et m’ont demandé de m’en mêler et j’ai pensé que c’était mon devoir et de ma responsabilité de le faire. Mon travail est d’écouter mes électeurs. Et lorsque ces électeurs discutent de ce problème très important de droits humains, je les écoute.

R : Quel est votre impression des pratiquants de Falun Gong du New Jersey que vous connaissez ?

CA : Je pense qu’ils sont pacifiques, de bons citoyens, qui veulent simplement pratiquer leur croyance religieuse en toute liberté. Je pense que c’est un droit fondamental, non seulement en Amérique, mais partout dans le monde. Et lorsqu’ils me disent que 572 pratiquants du Falun Gong sont morts dans les prisons chinoises, par la torture et que des dizaines de milliers ont été arrêtés, harassés ou forcés par d’autres façons par le Gouvernement Chinois, je crois que c’est une offense pour chaque individu dans le monde. Si les droits d’une personne sont enfreints alors les droits de tout le monde sont enfreints. Et je crois que ce qui arrive aux pratiquants du Falun Gong est une indication de la faiblesse du Gouvernement Chinois et sa mauvaise volonté à entreprendre un dialogue humain. Ce sera finalement la défaite de cette autorité en Chine. Une autorité qui n’est par assez forte pour permettre la dissidence n’est pas assez forte pour survivre. Une autorité qui est assez forte pour reconnaître et honorer la dissidence possède une confiance en elle-même et une force morale pour survivre. Le jour où le gouvernement chinois permettra la vraie dissidence, permettra le vrai désaccord, est le jour ou le gouvernement chinois sera assez fort pour survivre dans le futur.

R : Pensez-vous qu’il survivra dans le futur?

CA : Je pense que la Chine sera un pays démocratique, capitaliste, dans deux ou trois décennies. Et je pense que c’est une nouvelle formidable pour le monde entier. C’est mon souhait et mon ambition et ma prédiction que dans 20 ou 30 ans, la Chine sera la plus grande démocratie dans le monde. Je pense que ce sera un développement incomparable, des bonnes nouvelles pour le monde. Je pense que la Chine sera une source de progrès économique, de progrès de la santé et progrès culturel, pas seulement pour les citoyens de la Chine, mais aussi pour les citoyens du monde. Et la raison pour laquelle je pense ceci est qu’il y a une longue tradition de respect des droits humains et respect de l’éducation dans la culture de la Chine et lorsque l’on combine cette longue tradition avec la croissance de la technologie et le courriel sur l’Internet, cela devient impossible d’étouffer l’esprit humain et les dizaines de millions de Chinois, les centaines de millions de Chinois, qui je crois languissent pour le droit d’élever leurs enfants comme ils le désirent, avec autant d’enfants qu’ils le désirent, qui languissent pour le droit de s’exprimer et de gouverner leurs affaires et qui ont le talent, la force et l’ambition, et lorsqu’on combine tout ça, je pense que nous verrons la Chine naître comme une grande force pour le bien dans le futur, comme une nation démocratique.

R : Je pense, dans le passé, il y a beaucoup de choses que le Gouvernement des États-Unis a fait, par exemple faire appel pour les droits humains en Chine, par exemple, secourir les pratiquants du Falun Gong, et pour quelqu’autre activité démocratique et de droits humains, mais plusieurs fois le Gouvernement Chinois dit : « Arrêtez, ce sont nos affaires internes, les Etats-Unis ou autre pays étranger ne devraient pas se mêler de nos affaires internes. » Qu’est-ce que vous en pensez, comment y répondez-vous?

CA : Je ne crois pas que la liberté est une affaire nationale quelconque, je pense que c’est une obligation internationale et humaine pour chacun. Et je ne crois pas que ça signifie que nous devrions imposer nos propres points de vue au Gouvernement Chinois. Ça signifie que nous devons garder nos principes. Et nos principes sont que chaque personne, que ce soit quelqu’un dans le nord du New Jersey ou dans un village rural de la Chine, devrait avoir le droit de vivre sa vie comme il l’entend. Et l’Amérique soutiendra ce principe tout partout. Je ne crois pas que c’est une affaire de politique interne, je crois que c’est une question de droit humain. Et si on garde l’œil sur cet objectif, alors je crois que nous améliorerons non seulement les conditions pour les gens en Chine, mais les conditions des gens partout dans le monde, incluant aux Etats-Unis.

R : Nous avons vus que vous avez beaucoup fait pour obtenir la libération d’activistes de droits humains, et quelques pratiquants du Falun Gong persécutés en Chine. Par exemple, le Gouvernement d’Etat a donné une liste de gens au Gouvernement Chinois, dont vous avez pris l’initiative, pendant qu’ils étaient en Chine pour le APACC, mais seulement deux d’entre eux ont été libérés parmi les cinq ou sept, (je ne me souviens pas exactement). Aussi, au sujet de Dr. Teng Chunyan, Chen Gang, et aussi la sœur du Dr. Jingduan Yang, il y a quelques temps, y a-t-il du nouveau à ce sujet?

CA : Non, Il n’y en a pas, parce que le Gouvernement Chinois refuse de progresser – vous savez – il est obstiné. Mais la façon de résoudre le problème est d’être persistant; pour les gens aux États-Unis qui aiment et respectent la liberté – de continuer. Continuer à demander, à enquêter sur la liberté de ces gens. Et comme vous savez, les dissidents qui sont éventuellement sortis de l’Union Soviétique dans les années 70 et 80, nous ont dit que la seule espérance qu’ils avaient, était la certitude que les gens dans le monde libre étaient encore intéressés à leur situation et ne les avaient pas oubliés. Nous devons leur laisser savoir, nous devons faire savoir au Gouvernement Chinois, nous devons le laisser savoir au monde, que les Américains aiment la liberté et que les citoyens du monde qui nous joignent avec l’amour de la liberté, n’oublieront pas ces gens. Qu’ils sont peut-être un sur un billion et trois, qu’ils sont peut-être un sur des centaines de milliers persécutés, mais nous connaissons leurs noms et nous ne les oublierons pas. Et je pense que si nous sommes persistants en se souvenant d’eux, que nous réussirons.

R : J’ai aussi entendu dire qu’il y a un citoyen australien du nom de Nancy Chen, aussi une pratiquante du Falun Gong et qu’elle a été également arrêtée le même jour que Charles Li. Mais, elle a été remise en liberté par le Gouvernement Chinois, sous la pression du Ministère des Affaires Étrangères et d’autres représentants officiels. Et Charles Li est encore là; pourquoi pensez-vous que ceci est arrivé?

CA : Je crois que le Gouvernement Australien, et c'est tout à son crédit, a été plus insistant que le Gouvernement des États-Unis en poursuivant la liberté de ces individus. Et la raison que neuf de mes collègues du Congrès du New Jersey et moi-même demandons au Secrétaire Colin Powell de s’impliquer dans cette affaire est que nous voulons être plus insistant que le Gouvernement Australien ne l’a été. Je crois que plus nous sommes persistants en faisant appel au manque de liberté, c’est plus probable que nous obtiendrons la liberté.

R : Qu’est-ce que le Ministère de l'État fait, en venant au secours de Charles Li?

CA : Le Ministère de l'Etat, doit sans aucun doute, exprimer au Gouvernement Chinois que le monde attend un compte rendu complet des accusations; s’il y a un procès, un procès libre et ouvert, un procès ou M. Li aurait un conseiller indépendant et compétent. Je vous prédis que si les Chinois comprennent, que le Gouvernement Chinois comprend que ce sont les règlements de fond en ce qui concerne le cas de M. Li, ils relâcheront M. Li parce que les charges sont légères, le terrain est chancelant et le Gouvernement Chinois ne veut pas souffrir l’embarras d’avoir son ordre du jour exposé au monde entier, dans ce cas-ci, ce que je crois être la persécution de gens qui ont des croyances différentes de celles du Gouvernement. Les gens forts encouragent la controverse, le désaccord sain, parce qu’ils apprennent de ceci. Et le régime qui mène la Chine a échoué : il doit encore atteindre ce niveau d’auto assurance.

R : Et nous espérons que vos efforts, combinés avec la pression internationale, aideront à libérer ces pratiquants de l’emprisonnement. Cependant, avant que la politique de la persécution des pratiquants du Falun Gong du Gouvernement en Chine prenne fin, ils sont encore sujets à l’harassement et l’arrestation possible. Seriez-vous prêt à aider ceux qui ont de la parenté en Chine à venir aux États-Unis, pour qu'ils soient protégés contre une persécution ultérieure?

CA : Oui, le serais, le monde entier à une obligation de fournir un refuge pour les victimes de persécution politique. L’Amérique a une part d’obligation. L’espace n’est pas illimitée aux États-Unis, mais il devrait toujours avoir de la place en Amérique pour les victimes de persécution politique. Si nous allons critiquer d’autres Gouvernements pour refus des droits humains, alors nous devons aussi être actifs à offrir un refuge pour les droits humains, la où on les refuse ailleurs. Donc, je m’attendrais à ce que d’autres pays, qui aiment la liberté fournissent aussi leur part d’efforts. Et pour moi, ça s’étend à offrir le refuge politique, dans des cas comme celui dont nousparlons.

R : Vous venez juste de mentionner au sujet de l’Internet, qu’essayer de censurer l'Internet, est comme d’essayer de retenir l’Océan Pacifique. Vous pouvez construire des murs et des barrages, mais vous ne pouvez pas y arriver. Parce qu’il y a quelqu’un quelque part qui est assez intelligent et assez agile qu’ils contourneront. Et vous savez, dans la mythologie grecque, il y a le mythe de Sisyphus, qui avait la tâche de rouler un rocher en haut de la colline. Et Sisyphus, roulait le rocher en haut de la colline et atteignait presque le sommet et se fatiguait, et lentement laissait aller le rocher et le rocher roulait de nouveau jusqu’au pied de la colline. Censurer l’Internet est comme le mythe de Sisyphus, c’est impossible. Je suis bien au courant des efforts du Gouvernement Chinois de censurer l’Internet. Mais je suis vraiment confiant que ses efforts échoueront. Si vous regardez la croissance exponentielle de l’Internet, les dernières statistiques que j’ai vues indiquent qu’à peu près 15 millions de chinois ont un accès régulier et facile à l’Internet. Ce qui n’est rien sur un billion trois. Mais le nombre grandit continuellement, je pense que c’était seulement 5000 personnes en 1995, maintenant il y a plus de 15-20 et 30 millions de personnes en 2002. Mon impression est que presque tout le monde en Chine urbaine aura accès à l’Internet très bientôt et qu’avec la baisse du prix des communication sans fil, un grand nombre de personnes en la Chine rurale auront le même accès à l’Internet très bientôt. L’une des raisons pour laquelle l’Empire Soviétique s’est effondré dans les années 1980 a été causé par le courrier électronique. C’est devenu absolument impossible avec les téléphones cellulaires et les courriers électroniques de censurer l’information. Les gens de l’ancienne Allemagne de l’Est, la Pologne, Tczéchoslovaquie, la Hongrie et la Roumanie, au lieu de recevoir seulement les nouvelles censurées de l'État officiel, ont commencé à entendre de leur parenté de New York ou de Los Angeles, ou de Paris, ou Rome, ce qui se passait. Et une fois que le déluge d’information a atteint un point élevé, c’est devenu impossible pour les Gouvernements d’Etat du Pacte de Warsaw de retenir l’inondation de liberté. Je pense que de même, des dizaines de millions de gens en Chine deviennent conscient du fait, que dans des endroits, vous choisissez d’avoir autant d’enfants que vous voulez avoir et si vous voulez pratiquer une certaine croyance, vous le faites. Le Gouvernement ne vous dit pas que vous ne pouvez pas. Et si vous avez une idée, que l'enseignement dans les écoles devraient être donné d’une certaine façon au lieu de celle du Gouvernement, vous commencez votre propre école. Je pense que lorsque les gens entendrons ces idées et comprendrons qu’un nombre substantiel de gens dans le monde vivent sous ses règles, alors ils se diront : « Pourquoi pas nous? » « Pourquoi ne pourrions-nous pas ? » Ceci n’est pas de l’impérialisme culturel, ce ne sont pas les États-Unis qui disent aux Chinois: « Vous devez vivre comme nous. Ici est notre Constitution, vivez comme tel! Ce sont les États-Unis et les autres gens aimant la liberté qui disent: « Nous respectons et honorons tellement les hommes et les femmes et les enfants de la Chine que nous croyons qu’ils devraient avoir les mêmes droits que nous ». Ce qui veut dire, que si les gens de la Chine décide d’organiser leur Gouvernement sous une Monarchie, nous ne le ferions pas, mais ils pourraient. S’ils choisissaient de mener leur Gouvernement sous une Démocratie agraire, comme mentionné par Thomas Jefferson et théorisé par Mao Tse-Tung, mais jamais réalisé, alors ils le pourraient. Si les gens de la Chine choisissaient d’organiser leur économie avec un mélange d’entreprises privées et d’entreprises d’état, alors ils le pourraient. Mais ce qu’ils ne devraient pas avoir à subir est de vivre dans une nation – ma femme et moi avons deux filles – c’est impensable pour moi, impensable pour moi, que ma femme enceinte de quatre mois avec notre seconde fille, que le gouvernement pourrait venir et dire « tu dois éteindre cette vie, parce que nous ne voulons pas que vous l’ayiez ». Je crois que personne ne devrait vivre sous ces règles. Et je crois que l’Amérique devrait faire tout ce qu'elle peut, au sein de notre pouvoir diplomatique et économique pour changer ceci.

R : Vous semblez très optimiste. Quand pensez-vous que Charles Li, ou la sœur de Jingduan ou le frère de Ying pourront nous revenir aux Etats-Unis?

CA : Je ne connais pas la réponse exacte, mais voici ce que je sais. Nous continuerons à demander et à enquêter et à demander que ces bonnes personne obtiennent un procès en bonne et due forme et reçoivent les droits que les gens partout ailleurs dans le monde mérite. Et je ne sais pas si ce sera la semaine prochaine ou l’année prochaine, ou plus longtemps que ça. Mais je sais que nous continuerons à le demander. Et j’ai assez de foi que si on continue à demander, éventuellement on gagnera la liberté pour les gens.

R : Merci beaucoup.

CA : Merci beaucoup, ce fut un plaisir.

R : C’était une bonne conversation.

CA : J'ai vraiment apprécié.


Traduit au Canada le 19/2/2003
http://www.clearwisdom.net/emh/articles/2003/2/16/32182.html

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